Essais Automobiles au Maroc

Arborant un design élégant, offrant une polyvalence inédite, réclamant un tarif très compétitif, tels sont les points forts du Renault Kardian qui, produit au Maroc, tente de séduire les acheteurs de SUV urbains. Verdict de l’essai réalisé sur les routes escarpées de la région du nord. Renault Maroc lance un nouveau pavé dans la mare de ses concurrents, en commercialisant le tout nouveau Renault Kardian. Svelte et racé, ce dernier joue dans la catégorie plume des SUV compacts, où la lutte se fait à couteaux tirés. Le nouveau venu semble bien armé pour relever le défi, en vertu de son positionnement tarifaire plutôt agressif. Pas de miracle! Étant fabriqué à la Somaca, le «fils de Aïn Sebaâ» tire profit de nombreux avantages, notamment la réduction des charges logistiques… Au-delà du prix, le Kardian recèle les ingrédients d’un SUV moderne, compte tenu de ses équipements évolués et de sa polyvalence accrue. C’est du moins le sentiment que nous avons perçu lors de l’essai routier effectué sur les routes tortueuses de la région du nord, plus précisément entre Tanger et M’Diq. Mais avant de parler des sensations au volant, faisons le tour du propriétaire. Look fringant Mélangeant des lignes épurées et des volumes généreux, la silhouette du Renault Kardian arbore des proportions compactes. Sa face avant retranscrit à merveille la nouvelle identité stylistique Renault avec le logo «Nouvel’R» relié à la signature lumineuse par un bandeau brillant. Son look est également reconnaissable par l’éclairage à double étage. Mais aussi par sa calandre composée d’une multitude de petits losanges, son capot moteur horizontal, ou encore son bouclier renforcé par des skis de protection. Bien sapé, le profil est mis en valeur par des jantes (16 pouces) taillées en aluminium noir brillant, et des barres de toit modulables. Supportant jusqu’à 80 kg, la particularité de ces dernières réside dans leur changement de position longitudinale à transversale, en deux temps trois mouvements. Ajoutez à ce look baroudeur une garde au sol élevée de 20 cm, et vous obtenez un SUV prêt à en découdre avec tous les types de route. Vocation familiale Dès qu’on prend place à bord, on retrouve l’ambiance caractéristique des véhicules à vocation familiale, comme en témoignent les multiples espaces de rangement. Long de 4,12 m et large de 1,75 m, Renault Kardian prend place dans le segment B. Son empattement de 2,60 mètres rehausse les côtes d’habitabilité, au profit des occupants des places arrière. Affichant un volume de 398 litres, le coffre est un autre marqueur de sa polyvalence. Question agencement, le tableau de bord se distingue par son ergonomie remarquable. Face au conducteur, l’écran d’instrumentation numérique (7 pouces) recoupe toutes les informations de la conduite. Il est secondé par l’écran multimédia (8 pouces) flottant au centre de la planche, et compatible avec les applications Android Auto et Apple CarPlay. Outre les fonctions de divertissement, l’interface numérique donne la possibilité d’accéder aux réglages Multi-Sense. Du coup, le conducteur peut non seulement régler l’ambiance à bord, mais aussi activer le mode de conduite qui lui convient (Eco, Sport et MySense). Sur le plan mécanique, le Renault Kardian donne le choix entre deux moteurs. D’un côté, on trouve le 4-cylindres Diesel 1.5 Blue dCi développant 102 ch, associé à la boîte manuelle à 5 rapports. De l’autre, le 3-cylindres essence de 1.0 litre de 100 ch, s’acoquine avec la transmission automatique. Agilité surprenante J’appuie sur le bouton Start/Engine, le Diesel 1.5 Blue dCi de notre modèle d’essai s’ébroue rapidement. L’agrément du 4-cylindres est bien palpable dès les premiers tours de roue à Tanger : le Kardian fait preuve de vivacité et s’inscrit rapidement dans la circulation urbaine. Sur la route côtière, en direction de Ceuta, le Kardian affiche une belle tenue de route. Grâce à ses porte-à-faux réduits et son gabarit compact, il fait preuve d’une agilité surprenante. L’adhérence et la motricité étant au rendez-vous, il est même possible d’aborder les virages serrés en toute sécurité et de placer le train avant dans la bonne trajectoire. C’est justement sur ce type de routes qu’on peut découvrir tout l’intérêt de sa suspension qui concilie fort bien le confort et la conduite sportive. Pour ce qui est de la sobriété, le Kardian réclame 4,8 litres/100 km, en ville. Mais sur un parcours routier, la consommation peut baisser jusqu’à 3,9 litres/100 km. C’est d’ailleurs ce que nous avons constaté à notre arrivée à la petite ville de M’Diq. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de Renault Kardian Il nous reste à parler des prix. Renault a décidé d’offrir au Kardian des équipements à la hauteur de ses ambitions, sans pour autant gonfler la facture. Comptez 179 000 DH pour partir au volant de la version de base : 1.5 blue dCi Equilibre. La version la plus huppée, Iconic, réclame une rallonge de 26 000 DH.Avis aux passionnés des SUV urbains ! Galerie

Restée fidèle à sa genèse esthétique, la R5 des temps modernes procure un plaisir de conduire vivifiant aussi bien en zone urbaine que sur les routes sinueuses. Essai. «C’est dans les vieilles marmites qu’on fait les meilleures soupes». Ce proverbe soutient une vérité culinaire, a priori transposable au domaine automobile. Il suffit de scruter la silhouette de la nouvelle Renault 5 E-Tech, pour s’en rendre compte. On constate d’emblée que la nouvelle venue nous ressert la même recette stylistique ayant fait les beaux jours de son aînée. Mais, elle la rehausse d’ingrédients dans l’air du temps : propulsion 100% électrique assortie d’une autonomie remarquable, systèmes numériques à la pointe de la technologie, confort à bord indéniable et, surtout, une agilité débordante sur la route. Voici le verdict des sensations perçues lors du test-drive qu’Autonews a réalisé sur les routes escarpées de l’arrière-pays et de la zone côtière niçoise, en France. Ligne craquante La nouvelle R5 E-Tech Electric multiplie les clins d’œil à ses aînées (R5 originelle, Supercing et R5 Turbo), sans pour autant verser dans le néo-rétro. Ceci passe par une silhouette carrée marquée par un capot avant court, mais aussi par un large pare-brise très incliné et une ceinture de caisse assez haute. A l’avant, les phares rectangulaires sont reliés par un bandeau strié qui, soulignant le capot, accueille, en son centre, le logo Renault surdimensionné. En tant que véhicule, la R5 E-Tech est dépourvue de calandre ajourée, mais son bouclier est creusé de trois évents au-dessus de la plaque d’immatriculation et d’une large entrée d’air en partie basse. Comme un smartphone, le capot moteur abrite un indicateur de charge lumineux composé de cinq segments sous forme du chiffre «5», tous illuminés quand la batterie est pleine. Le profil se signale par des ailes élargies permettant d’accueillir les jantes de 18 pouces, livrées de série. Mais aussi par un toit flottant qui, souligné d’un liseré coloré rappelant les gouttières de la R5 originelle, se termine par un becquet discret. La poupe, quant à elle, met en évidence ses feux verticaux, façon Supercinq, qui ajoutent une touche d’élégance et de dynamisme à l’engin. Ergonomie remarquable L’intérieur est du même acabit avec des sièges enveloppants inspirés de ceux de la R5 Turbo. Le ciel de toit capitonné et le bandeau matelassé de la planche de bord accentuent la touche rétro. Or, on est plus frappé par l’ergonomie remarquable de la dalle digitale incurvée, composée de deux écrans (10 pouces pour le panel d’instrumentation et autant pour celui de l’infodivertissement). Ce dernier est pilotable via l’interface OpenR Link, rehaussé de l’avatar Reno. Il s’agit d’un système combinant l’intelligence artificielle Chat GPT et la reconnaissance vocale, qui agit tel un assistant personnel. Pratique, le levier de vitesse placé derrière le volant permet de dégager davantage d’espace sur la console centrale, où l’on découvre un chargeur de smartphone par induction et un vaste espace de chargement. Avec 326 litres, le volume du coffre se situe dans la moyenne supérieure du segment. Belle souplesse Changer d’époque consiste aussi à adopter un mode de propulsion dans l’air du temps. Notre modèle d’essai est doté d’un moteur électrique synchrone à rotor bobiné. Développant 150 ch pour un couple de 245 Nm, il se révèle largement puissant pour tracter sa masse de 1 449 kg. A la lumière de son rayon de braquage réduit, cette citadine affiche une belle souplesse en zones urbaines. Sur les lignes droites, en revanche, elle se relance comme une GTI, en passant de 0 à 100 km/h en 8 secondes chrono. Or, la vitesse maximale est limitée à 150 km/h pour des raisons d’économie d’énergie. Et tant qu’à faire, la R5 est animée par la batterie 52 kWh autorisant une autonomie de 412 km, en cycle mixte WLTP. Sa recharge via une prise domestique à courant alternatif (AC) 11 kW, s’effectue en 4h30 min pour passer de 10 à 100%. Or, sur une borne publique de 100 kW la recharge de 15 à 80%, ne nécessite que 30 min. La R5 est aussi très joueuse sur routes sinueuses, faisant preuve d’une agilité déconcertante lors des changements de cap dans les virages. Ceci elle le doit à sa direction très précise, mais aussi au train arrière multibras qui la maintient collée à sa trajectoire. Par ailleurs, le frein by wire (sans liaison physique entre la pédale et le circuit hydraulique) est bien dosé pour calmer ses ardeurs, et contribue à la recharge des batteries. La récupération d’énergie s’effectue grâce au mode B à chaque relâche de l’accélérateur. Question tarification, la version haut de gamme (Renault 5 E-Tech Autonomie Confort) que nous avons essayée, est facturée à environ 380 000 DH.  L’arrivée d’une version moins puissante (95 ch) et moins onéreuse (280 000 DH) interviendra courant 2025. Galerie

Première voiture électrique du programme « Renaulution », la Mégane E-Tech Electric adopte une propulsion sobre et silencieuse à l’usage, alimenté par la batterie la plus fine du marché. Esthétiquement, la nouvelle Mégane semble bien plus compacte que la version thermique, ce qui lui procure l’élégance d’un SUV Coupé. Mais on apprécie surtout la fluidité des lignes, marquant une belle harmonie entre ses proportions équilibrées et ses porte-à-faux réduits. La face avant se distingue par son bouclier sculpté flanqué d’écopes d’aération. Mais aussi par des feux (Full LED) finement ciselés, ce qui lui procure un regard aguichant. Il faut souligner que l’impression de robustesse est omniprésente avec des roues de 18 pouces, des protections de bas de caisse bien marquée, ainsi qu’une ceinture de caisse haut perchée. Ajoutez à cela un pavillon fuyant vers l’arrière, et des poignées de porte à fleur de la carrosserie, et vous obtenez une silhouette qui ne passe pas inaperçue. Outre l’ambiance cossue rehaussée de matériaux réservés aux catégories supérieures, l’instrumentation numérique, elle, se veut entièrement personnalisable. Face au conducteur l’écran, 12,3 pouces, recoupe toutes les informations de conduite, tandis que la dalle centrale, 12 pouces, est bien orientée vers le conducteur. Autre innovation et non des moindres, le report du sélecteur de marche sur la colonne de direction, donne la possibilité de dégager davantage d’espace entre les sièges. Si le conducteur et le passager avant sont choyé par des sièges enveloppants, les occupants de la banquette arrière ne manquent pas d’espace pour caser leurs jambes. Le coffre étant assorti d’un profond logement pour planquer les câbles de recharge, son volume global atteint 389 litres. La Mégane proposé sur le marché marocain est animé par un moteur électrique développant 218 ch pour un couple de 300 Nm. Il est alimenté par une batterie de 60 kWh, ce qui lui assure une autonomie théorique de 450 km. C’est ce que on a pu vérifier lors d’un essai routier entre Casablanca et Marrakech, au cours duquel notre modèle n’a épuisé qu’environ 65% de la réserve de la batterie. Il faut avouer qu’on a adopté un mode de conduite normal, avec tout ce que cela entend en matière d’accélération, de décélération et de freinage. Mais, bien sûr, dans les limites des vitesses autorisées sur autoroute. Tout comme on ne s’est pas privé ni de la climatisation ni des autres fonctionnalités de confort à bord. Verdict, l’autonomie annoncé par le constructeur Renault est plutôt justifiée. A noter que la durée de recharge dépend avant tout du genre de bornes utilisées : un peu plus de 9 h sur une prise domestique, 3h10min sur une Wallbox, et seulement 1h13min avec une borne de recharge rapide de 130 kW. Tout compte fait, la Renault Mégane E-Tech Electric dispose d’un paquet d’arguments qui inciteront vraisemblablement les automobilistes marocains à s’intéresser à ce modèle. Étant disponible en une seule version très bien équipée, le tarif de la Mégane E-Tech Electric s’affiche à 478 000 DH. Galerie

L'Alpine A110 est désormais disponible au Maroc, au grand bonheur des inconditionnels de Coupés deux-places légers et agiles. Nous l'avons testée sur le circuit UTAC de Khouribga. Il y avoir du sport ! Fondée en 1955, la marque Alpine a connu ses heures de gloire au cours des années 60 et 70. Ensuite, elle a fusionné avec Renault Sport, en 1976, avant de sombrer dans l’oubli quelques années plus tard. En 2016, sa renaissance fut au rendez-vous avec la relance du célèbre Coupé deux-places : Alpine A110. Plus tard, celui-ci a été décliné en deux versions : A110 S et A110 GT. https://www.youtube.com/watch?v=atpgx4Y-DVQ « C’est une nouvelle page qui s’écrit dans l’histoire de Renault Group au Maroc. Nous accueillons aujourd’hui un nouveau membre de la famille et non des moindres. Nous sommes heureux d’apporter dans le Royaume, l’excellence et la passion pour le sport automobile avec la célèbre et iconique marque Alpine. », dixit Fabrice Crevola, Directeur Général de Renault Commerce Maroc et Alpine Maroc. Style authentique Bien qu’elle conserve l’ADN originale de son aînée, la nouvelle Alpine adopte au passage des sophistications à la pointe de la technologie. De prime abord, on découvre que toutes les versions sont animées par le même bloc turbo essence 1.8 TCe, qui se décline en deux niveaux de puissance : 252 ch pour l’A110 originale, contre 300 ch pour les versions A110 GT et A110 S. Poids plume Ayant fait l’objet d’une bonne cure d’amincissement à base d’aluminium, la berlinette française affiche 1 102 kg sur la bascule. Du coup, elle revendique un rapport poids/puissance digne des meilleures sportives. A titre comparatif, avec 3,8 kilogramme/cheval, l'Alpine A110 S détient un rapport équivalent à celui de la Porsche 718 Cayman S. Légère et rapide, l’A110 standard fait preuve d’agilité et de vivacité en toutes circonstances. Or, la version A110 GT, en tant que Coupé de Grand Tourisme, marie à la perfection la polyvalence d’une voiture utilisable au quotidien et les performances d’une bête de course. Performances démesurées En vertu de sa sportivité débridée, la version A110 S enfile une tenue digne d’une supercar. Ceci passe par des monogrammes «S», flanqués à l’arrière et sur les seuils de porte, mais aussi par des jantes 18 pouces qui laissent entrevoir les étriers de freins Brembo. Pour ne rien dire du «Kit Aéro» qui décuple ses capacités dynamiques. De la lame en carbone sur le bouclier avant, jusqu’au gigantesque spoiler arrière, en passant par la grande sortie d’échappement creusée au centre du diffuseur arrière, tout évoque la sportivité. Et bien sûr les performances sont au rendez-vous avec le 0 à 100 km/h expédié en 4,2 secondes et la vitesse maximale qui pointe à 275 km/h. Interface télématique L’intérieur est de même acabit avec un mobilier haut de gamme, à l’instar des sièges baquet réglables sur 2 voies, un pédalier sport en aluminium, ainsi qu’un revêtement qualitatif. Les dispositifs numériques ne sont pas en reste. Outre l’écran tactile (7 pouces), permettant de commander toutes les fonctions d’infodivertissement, les pilotes chevronnés apprécieront le système Telemetrics, proposé en option. Il s’agit d’une interface qui affiche en temps réel la pression du turbo et la température de la boîte de vitesses. Tout comme elle indique les valeurs instantanées du couple, de la puissance et de l’accélération. Vivacité surprenante Sur circuit comme sur la route, le plaisir de conduire est porté à son paroxysme, grâce à une personnalisation selon 3 modes : Normal, Sport et Track. Si le mode «Normal» privilégie le confort, les modes «Sport» et «Track» permettent de monter en régime ou de rétrograder d’une manière fulgurante. C’est du moins le feeling que nous avons eu lors de l’essai de ce modèle sur le circuit UTAC, à Khouribga. Slalomer entre les bornes ou accélérer sur les lignes droites, rend compte de l’efficacité des freins et de la précision de la direction. Idem pour négocier les épingles : la manœuvre de «l’appel contre appel» s’exécute sans perte de motricité, et il suffit d’un filet de gaz pour repartir en toute sérénité. La note est salée Alpine A110 originale étant un bijou à ne pas mettre entre toutes les mains, son prix plancher démarre à 695 000 DH. La version A110 GT, quant à elle, réclame une rallonge de 100 000 DH, soit 795 000 DH. Mais, si le budget n’est pas un obstacle pour vous, optez pour la version A110 S. Pour 815 000 DH, vous aurez le summum de l’élégance et de la sportivité. Prix Alpine A110 252 ch : 695 000 DH Alpine A110 GT 300 ch : 795 000 DH Alpine A110 S 300 ch : 815 000 DH Galerie

Fort d’un arsenal technologique de haut vol et d’un look élégant, le Honda HR-V s’est profondément métamorphosé pour séduire les amateurs de petits SUV. Animé d’un seul bloc à essence, il devra tout de même faire face à des adversaires plutôt coriaces. Après une carrière plutôt discrète, l’ancienne génération du Honda HR-V passe le témoin à un nouveau modèle entièrement repensé pour s’inscrire dans la tendance actuelle du marché. Néanmoins, cette opération de redéploiement sera tout sauf une promenade de santé. Le SUV nippon devra composer avec des stars qui jouissent d’un immense succès, à l’instar du Peugeot 2008. Qu’à cela ne tienne, le HR-V a plus d’un tour dans son sac. A commencer par sa dégaine extérieure attrayante, doublée d’une polyvalence et d’un réel plaisir de conduire. De surcroît, le nouveau venu se montre plus grand et plus accueillant que son prédécesseur, tout comme il se veut plus confortable en vertu des Magic Seats (traduisez sièges magiques), qui offrent un niveau de modularité de premier ordre. Influences de style Fidèle à la philosophie Honda en matière de design, le nouveau HR-V mélange les influences du style conventionnel et sportswear, ce qui lui offre une allure plutôt charismatique. Du coup, le dessin expressif de la calandre est raccord avec le capot moteur allongé et les phares à LED effilés. Le profil, pour sa part, se révèle plus audacieux avec une ligne aussi fluide qu’élancée, mise en valeur par le toit panoramique à faible émissivité. Il s’agit d’une technologie innovante qui réduit le rayonnement infrarouge, ce qui donne de la fraîcheur à l’habitacle pendant les journées ensoleillées. Idem pour les stores arrière qui peuvent être retirés ou installés en quelques secondes, offrant ainsi un niveau de confort individuel aux passagers arrière. La partie arrière, en revanche, adopte des feux à diodes électroluminescentes, reliés par une baguette à LED qui traverse le hayon de bout en bout, ce qui procure un aspect plus élégant que celui de l’ancien modèle. Pour plaire à tous les goûts, le Honda HR-V propose une belle palette de couleurs extérieures et intérieures : le blanc Opale Argenté nacré, le bleu Sport Brillant Métallisé, le gris Météorite Métallisé, le noir Perlé Cristallin et le rouge Cerise Métallisé. L’habitacle est de même acabit, comme en témoigne l’agencement de la planche de bord. A la fois sobre, celle-ci offre une ergonomie remarquable, grâce à l’écran d’infodivertissement qui se veut très intuitif. Ici, le design met l’accent sur la facilité d’utilisation et la sensation d’espace. Or, les habillages de tissus (pour la finition LX) ou de cuir (pour la finition EX), combinés à des revêtements de bonne facture, ajoutent une note de raffinement à cette ambiance. Modularité à la carte Si, à l’avant, le conducteur et son homologue sont bien choyés, à l’arrière, trois passagers peuvent prendre place dans les ultra innovants sièges Magic Seats. Dotés d’une modularité bien étudiée, ces derniers se déploient en un claquement de doigts, et dégagent suffisamment d’espace dans le coffre pour embarquer des objets encombrants, de la taille d’un vélo. Fidèle à la longue tradition de Honda, le HR-V présente de nombreux systèmes de sécurité active et passive : 6 airbags, une large caméra de vision arrière, le contrôle de la descente en pente (HDC), ainsi que le contrôle de la structure de la carrosserie (ACE), baptisé Advanced Compatibility Engineering. Lequel assure une meilleure protection des occupants en cas de collision frontale. Un seul bloc à essence Sous le capot, le SUV nippon adopte le moteur à essence 1,5 litre qui développe la puissance de 119 ch pour un couple de 145 Nm. Il s’accompagne de la très efficace transmission à variation continue (CVT) qui contribue à la réduction de la consommation, soit environ 6 litres de sans plomb en conduite mixte. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de le Honda HR-V Sur la route, le Honda HR-V fait preuve de sérénité et offre un confort de roulement bien meilleur que celui de la plupart de ses concurrents. Pour ce qui est de la tarification, le nouveau Honda HR-V se positionne un cran au-dessus de ses concurrents en réclamant 320 000 DH pour la finition LX et 340 000 DH pour la version EX. Galerie

Avec son look élégant, son habitacle sophistiqué et ses équipements high-tech, la Peugeot 308, millésime 2022, opère une évolution spectaculaire. La nouvelle Peugeot 308 fait table rase du passé et marque une montée en gamme surprenante. De sorte qu’elle manifeste clairement le désir de venir chasser sur les terres des concurrentes allemandes : BMW Série 1, Audi A3 et VW Golf. Auréolée de prestige, la berline française est la digne héritière d’un best-seller mondial, vendu à plus de 7 millions d’exemplaires, et qui a raflé, tenez-vous bien, 42 titres de Voiture de l’année, y compris celui des Trophées de l’automobile au Maroc, en 2015. https://www.youtube.com/watch?v=mdoQZUO5DvM Regard carnassier Arborant un style aussi audacieux que charismatique qui saisit l’observateur dès le premier regard, la nouvelle lionne prend de l’assurance et de la stature. Son tempérament félin est mis en évidence par la signature lumineuse en forme de crocs, combinée à une grille de calandre ultra agressive. Le tout surmonté d’un capot nervuré et d’un pare-brise incliné. Décochant un regard carnassier, la finition GT, que vous voyez sur ces images, se signale par des feux full LED, typés Matrix. Sculptural, le profil est souligné de bout en bout par une ligne tendue qui fait office de ceinture de caisse. Celle-ci est raccord avec les surfaces et les volumes épurés de la réduction du coefficient de traînée aérodynamique. Inspirée de la 208, la partie arrière adopte un hayon légèrement bombé, surplombant un bouclier noir laqué et des enjoliveurs sur le contour des sorties d’échappement, ce qui procure un tempérament plus sportif à la poupe. Dotation riche A bord, l’ergonomie progresse nettement avec le petit volant à méplat, derrière lequel se tient l’interface i-Cockpit,  dont l’écran de 10 pouces offre un affichage 3D. L’écran tactile de 10 pouces, placé au milieu du tableau de bord, est avantageusement orienté vers le conducteur. Pour le reste, l’agencement se veut plus soigné, en particulier la console centrale qui accueille le bouton de démarrage, et le sélecteur des modes de conduite. Outre les systèmes numériques, livrés de série, la finition d’entrée de gamme Active propose : 8 airbags, détection de sous-gonflage des pneus, aide au stationnement AR, clim auto bi-zone, capteurs de pluie et de lumière, démarrage mains libres, régulateur et limiteur de vitesse, sièges conducteur et passager réglables en hauteur (avec réglage lombaire côté conducteur), et des jantes alliage de 16’’. La finition intermédiaire Allure, quant à elle, renforce la donne avec la recharge smartphone par induction, aide au stationnement AV et caméra de recul, vitres latérales AR et lunette AR surteintées, reconnaissance étendue des panneaux de signalisation, régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop&Go, surveillance d’angles morts longue portée et des jantes alliage 17’’. Finition GT plus charmante Enfin, la finition GT s’offre une touche esthétique plus suggestive avec une calandre AV noir verni avec inserts chromés et écopes noir brillant, seuils de porte AV en alu, décor alu sur panneaux de porte, pédalier Sport et repose pied alu, volant cuir chauffant, navigation, toit ouvrant électrique avec velum, projecteurs matrix LED, feux AR avec allumage dynamique. Sans oublier le Driver Sport Pack qui accentue la sportivité de l’engin. Sur le chapitre mécanique, la compacte française est animée exclusivement par le Diesel 1,5 litre BlueHDi développant 130 ch pour un couple de 300 Nm. Ce bloc s’accompagne, au choix, de la boîte manuelle à 6 rapports – disponible uniquement sur la finition de base Active. Autrement, c’est l’excellente transmission automatique à 8 rapports qui officie sur toute la gamme. De nouvelles versions électriques et hybrides arriveront bientôt pour compléter la gamme. Question tarification, la Peugeot 308, dans sa finition Active avec boîte manuelle, s’affiche à 249 900 DH. L’automatique, elle, réclame une rallonge de 20 000 DH. Les finitions Allure et GT, pour leur part, s’affichent respectivement à 299 900 DH et 339 900 DH. Un positionnement somme toute compétitif au regard de la riche dotation en équipements à la fois modernes et valorisants. Fiche technique Equipements Sur la finition Active Pack : 8 airbags, ESP, détection de sous-gonflage, frein de stationnement électrique, aide au stationnement AR, bandeau entre les feux AR noir brillant, coques de rétros ext. noir brillant, accoudoir central AV avec compartiment de rangement, air conditionné auto bi-zone, allumage auto des feux de croisement, essuie-vitre AV à déclenchement auto, démarrage mains libres, sélecteur de modes de conduite, lève-vitres AV/AR électriques et séquentiels avec anti-pincement, rétros ext. électriques dégivrants et rabattables électriquement avec répétiteurs de feux clignotants à LED, volant croûte de cuir, Peugeot i-Cockpit avec combiné d’instrumentation numérique 10’’ personnalisable, écran central tacticle 10’’ avec fonction Mirroir Screen (Apple Carplay/Android Auto) sans fil, projecteurs Peugeot LED avec feux diurnes à LED sous projecteurs, régulateur et limiteur de vitesse, calandre AV et écopes noir, rétro intérieur électrochrome, jupe AR noir, sièges conducteur et passager réglables en hauteur, réglage lombaire conducteur, sellerie tissu tri matières «Renze», jantes alliage 16’’ Auckland. En plus sur Allure Pack BVA : accès et démarrage mains libres, recharge smartphone par induction, feux diurnes à LED sous projecteurs nouvelles signature Peugeot, commutation auto des feux de route, aide au stationnement AV et caméra de recul, calandre AV noir avec inserts chromés et écopes noir, jupe AR noir brillant avec décors chromés, vitres latérales AR et lunette AR surteintées, rétros intérieur photosensible Frameless, accoudoir central AR, reconnaissance étendue des panneaux de signalisation, régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop&Go, surveillance d’angles morts longue portée (Lane Change Assist) + Alerte de trafic AR transversal (Rear Cross Traffic Alert), sellerie tri matières TEP / tissu «Falgo» surpiqûres bleu, jantes alliage 17’’ Halong diamantées. En plus sur GT BVA : projecteurs Peugeot matrix LED, feux AR spécifiques avec allumage dynamique griffe à griffe, calandre AV spécifique noir verni avec inserts chromés et écopes noir brillant, seuils de portes AV en alu, décor alu sur panneaux de porte, pédalier Sport et repose pied alu, volant cuir chauffant, navigation connectée avec écran central tactile 10’’ et écran avec i- Toggles virtuels personnalisables, toit ouvrant électrique avec velum, Driver Sport Pack : personnalisation du combiné spécifique sonorité du moteur amplifiée et plus sportive, sellerie tri matières tissu / TEP / Alcantara «Fraxx Knit» surpiqûres vert.  

Avec son look élégant, son habitacle sophistiqué et ses équipements high-tech, la Peugeot 308, millésime 2022, opère une évolution spectaculaire. La nouvelle Peugeot 308 fait table rase du passé et marque une montée en gamme surprenante. De sorte qu’elle manifeste clairement le désir de venir chasser sur les terres des concurrentes allemandes : BMW Série 1, Audi A3 et VW Golf. Auréolée de prestige, la berline française est la digne héritière d’un best-seller mondial, vendu à plus de 7 millions d’exemplaires, et qui a raflé, tenez-vous bien, 42 titres de Voiture de l’année, y compris celui des Trophées de l’automobile au Maroc, en 2015. Regard carnassier Arborant un style aussi audacieux que charismatique qui saisit l’observateur dès le premier regard, la nouvelle lionne prend de l’assurance et de la stature. Son tempérament félin est mis en évidence par la signature lumineuse en forme de crocs, combinée à une grille de calandre ultra agressive. Le tout surmonté d’un capot nervuré et d’un pare-brise incliné. Décochant un regard carnassier, la finition GT, que vous voyez sur ces images, se signale par des feux full LED, typés Matrix. Sculptural, le profil est souligné de bout en bout par une ligne tendue qui fait office de ceinture de caisse. Celle-ci est raccord avec les surfaces et les volumes épurés de la réduction du coefficient de traînée aérodynamique. Inspirée de la 208, la partie arrière adopte un hayon légèrement bombé, surplombant un bouclier noir laqué et des enjoliveurs sur le contour des sorties d’échappement, ce qui procure un tempérament plus sportif à la poupe. Dotation riche A bord, l’ergonomie progresse nettement avec le petit volant à méplat, derrière lequel se tient l’interface i-Cockpit,  dont l’écran de 10 pouces offre un affichage 3D. L’écran tactile de 10 pouces, placé au milieu du tableau de bord, est avantageusement orienté vers le conducteur. Pour le reste, l’agencement se veut plus soigné, en particulier la console centrale qui accueille le bouton de démarrage, et le sélecteur des modes de conduite. Outre les systèmes numériques, livrés de série, la finition d’entrée de gamme Active propose : 8 airbags, détection de sous-gonflage des pneus, aide au stationnement AR, clim auto bi-zone, capteurs de pluie et de lumière, démarrage mains libres, régulateur et limiteur de vitesse, sièges conducteur et passager réglables en hauteur (avec réglage lombaire côté conducteur), et des jantes alliage de 16’’. La finition intermédiaire Allure, quant à elle, renforce la donne avec la recharge smartphone par induction, aide au stationnement AV et caméra de recul, vitres latérales AR et lunette AR surteintées, reconnaissance étendue des panneaux de signalisation, régulateur de vitesse adaptatif avec fonction Stop&Go, surveillance d’angles morts longue portée et des jantes alliage 17’’. Finition GT plus charmante Enfin, la finition GT s’offre une touche esthétique plus suggestive avec une calandre AV noir verni avec inserts chromés et écopes noir brillant, seuils de porte AV en alu, décor alu sur panneaux de porte, pédalier Sport et repose pied alu, volant cuir chauffant, navigation, toit ouvrant électrique avec velum, projecteurs matrix LED, feux AR avec allumage dynamique. Sans oublier le Driver Sport Pack qui accentue la sportivité de l’engin. Sur le chapitre mécanique, la compacte française est animée exclusivement par le Diesel 1,5 litre BlueHDi développant 130 ch pour un couple de 300 Nm. Ce bloc s’accompagne, au choix, de la boîte manuelle à 6 rapports – disponible uniquement sur la finition de base Active. Autrement, c’est l’excellente transmission automatique à 8 rapports qui officie sur toute la gamme. De nouvelles versions électriques et hybrides arriveront bientôt pour compléter la gamme. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de Peugeot 308 Question tarification, la Peugeot 308, dans sa finition Active avec boîte manuelle, s’affiche à 249 900 DH. L’automatique, elle, réclame une rallonge de 20 000 DH. Les finitions Allure et GT, pour leur part, s’affichent respectivement à 299 900 DH et 339 900 DH. Un positionnement somme toute compétitif au regard de la riche dotation en équipements à la fois modernes et valorisants. Galerie

Doté d’une robustesse mémorable, d’une efficacité à toute épreuve et d’un accastillage extérieur spécifique qui rime avec un écrin douillé, le Volkswagen Touareg R-Line recèle toutes les qualités requises pour un SUV haut de gamme. C’est justement l’occasion de le tester sous toutes ses coutures. Sortie en 2018, la troisième génération du Volkswagen Touareg s’est vite fait décliner en une livrée R-Line, l’appellation prestigieuse portée exclusivement par les variantes les plus somptueuses et les plus tape-à-l’œil. Comme ce que l’on peut également constater sur la berline Golf VIII ou le dernier Tiguan, tous deux récemment relancés sur le marché marocain, dont la désignation R-Line évoque solennellement charisme extérieur et exubérance intérieure. Le Touareg R-Line endosse ainsi une dégaine plus attirante que celle du Touareg standard, qui pourtant est loin d’être ridicule avec sa carrure imposante, ses proportions équilibrées et ses dispositifs high-tech. Une recette qui fait mouche auprès des clients de gros SUV de luxe, lui permet de narguer ses cousins germains : BMW X5, Audi Q7 et Mercedes GLE. Accastillage spécifique Parmi les attributs distinctifs de la version la plus huppée des Touareg, on discerne le logo «R» flanqué sur la monumentale calandre, qui surmonte des prises d’air cerclées d’un enjoliveur noir brillant. Pour donner plus de charisme, le soubassement du pare-chocs avant, le vitrage latéral, ainsi que la lunette du hayon sont assombris. Le profil, pour sa part, exhibe fièrement le logo «R» sur les ailes, qui s’acoquine avec des jantes en aluminium de 21 pouces, couleur Dark Graphite. Ajoutez à ces améliorations stylistiques, des feux IQ Light aussi efficaces en matière d’éclairage qu’agréables du point de vue stylistique, et vous obtenez un Touareg qui fait tourner les têtes partout où il passe. Il s’agit bien d’un éclairage intelligent composé, à l’avant, de projecteurs Matrix LED avec régulation dynamique du faisceau lumineux. Et de feux arrière à LED, équipés de clignotants séquentiels, qui en mettent plein les yeux. Ecrin douillé L’autre point fort du Touareg R-Line réside dans son habitacle raffiné, bonifié de sièges avant chauffants et rafraîchissants avec fonction massage, d’habillages en cuir plein fleur, de clim auto diffusée sur 4 zones avec réglage individuel, d’une interface téléphonique «Business», ainsi que d’un pack d’éclairage de l’ambiance intérieure personnalisable selon 30 couleurs. Ici, l’efficacité digitale et l’exubérance des équipements sont le combo gagnant. Jugez-en vous-mêmes, l’écran d’instrumentation de 12 pouces associé à l’immense display de 15 pouces, constituent l’une des interfaces numériques les plus gigantesques. Une fois illuminé, ce tableau de bord fait penser au cockpit d’un jet privé. TDI increvable Raffiné, le troisième opus du Touareg n’en demeure pas moins fougueux, malgré son embonpoint dépassant les 2 tonnes. Cette vivacité, il la doit à son 3.0 litres TDI de 259 ch et 600 Nm. Outre le silence de fonctionnement, ce 6-cylindres en V répond instantanément à l’appel de l’accélérateur. Le bloc TDI s’accompagne de la boîte automatique à double embrayage et 8 rapports, secondée par la transmission intégrale 4Motion qui répartit le couple sur les 4 roues motrices. Distillant un confort royal sur les grandes voies rapides, la suspension pneumatique, réglable en hauteur, se montre très efficace pour enjamber les obstacles en off-road. Le système à 4 roues directrices, quant à lui, accentue la maniabilité sur les passages sinueux, offrant ainsi une sensation de légèreté et un plaisir de conduire autrement fascinant. En cumulant toutes ces qualités routières, on peut dire que le bilan dynamique est tout simplement impressionnant. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de Volkswagen Touareg En définitive, grâce à ses raffinements sublimes et ses liaisons au sol perfectionnées, le Touareg R-Line a conquis ses lettres de noblesse dans le giron des gros SUV de luxe. Question financement, la version R-Line est tout sauf donnée, puisqu’elle réclame une enveloppe de 834 000 DH.  Galerie

Le look viril et la forme athlétique du Kia Niro Hybrid riment avec un confort proverbial et une sobriété exemplaire. Mais est-ce suffisant pour disputer la place du leader Toyota C-HR qui jouissait, jusque-là, d’un monopole absolu ? Impossible n’est pas Niro. La marque Kia opère un double lancement hybride, en présentant à sa clientèle marocaine deux joyaux de sa gamme verte, à savoir la grande berline Kia K5 qui se veut un véritable modèle de luxe et de raffinements et le Kia Niro, un SUV urbain aussi fringant que polyvalent à l’usage. Grâce à sa propulsion hybride, ce modèle combine avec brio d’excellentes prestations dynamiques à une sobriété exemplaire. Lancé en 2017 et restylé en 2019, le Kia Niro a réussi à réconcilier plus de 300 000 automobilistes avec le bien-être de la conduite proprement hybride. Fort de ce joli succès international, il ambitionne sereinement de conquérir le marché national, où l’attend de pied ferme un sérieux rival, le Toyota C-HR. Ce dernier, jouissant d’une position de monopole absolu, a pu dominer le marché marocain des années durant, ce qui lui a permis d’installer une certaine notoriété… Mais il lui en faut beaucoup plus pour décourager le Kia Niro qui, disposant d’un sacré paquet d’avantages, est bien destiné à devenir un best-seller. Voici quelques clés pour comprendre les éléments de différenciation entre ces deux modèles. Esthétique Les goûts ne se discutent pas, certes, mais force est de constater que, contrairement au design torturé d’inspiration manga du tenant du titre japonais, le challenger coréen dégaine une carrure svelte avec des lignes épurées. Jugez-en vous-mêmes, la face avant est mise en valeur par la calandre «Tiger Nose», surplombant un bouclier puissant, encadré d’une belle signature lumineuse, composée de deux flèches. Même constat à l’arrière où le dessin des feux à LED et des antibrouillards est très distinctif, tout comme la protection en aluminium du pare-chocs. Notre modèle d’essai, Finition Executive, qui repose sur des jantes de 18 pouces, exhibe ses barres de toit en aluminium soulignant sa hauteur de caisse. Son profil se distingue également par le large vitrage latéral qui, cerclé de chrome satiné, procure une bonne sensation de luminosité et d’espace à bord. Vie à bord L’ambiance intérieure ne manque pas de charme et l’agencement se veut bien soigné. On apprécie le style élégant du tableau de bord, en particulier le revêtement souple couvrant sa partie supérieure, la garniture noire laqué sur sa partie frontale. Sans oublier la baguette en aluminium satiné qui procure une note d’élégance à cette atmosphère. Face au conducteur, se tient un combiné d’instrumentation à affichage TFT 4,2’’, livré de série. Or, le Niro propose, en option, l’affichage 100% digital avec un écran TFT 7,0’’. Lequel permet au conducteur de suivre la navigation GPS et de surveiller le flux d’énergie hybride directement sur le combiné d’instrumentation. Du coup, les autres passagers peuvent continuer à sélectionner leurs tubes préférés sur l’écran tactile central (8,0 pouces). Implémenté de la multi-connexion Bluetooth, ce dernier permet de piloter toutes les fonctions d’infodivertissement, tout comme il donne la possibilité de connecter deux smartphones simultanément, même s’ils tournent sous deux systèmes d’exploitation différents (Apple CarPlayTM ou Android AutoTM). Mais le point fort du Niro réside dans son espace généreux inondé de lumière, ce qui procure une véritable sensation de bien-être à bord. En revanche, l’intérieur du Toyota C-HR est un véritable cocon dans lequel les plus claustrophobes se sentiront mal à l’aise. Il ne fait donc aucun doute que le Niro remporte haut la main la première manche. Dotation en équipement Pour ce qui est de la dotation, la version d’entrée de gamme, Motion, offre à la clé 7 airbags, avertisseur de pression des pneus, régulateur de vitesse, climatisation automatique bi-zone, volant et levier de vitesse en cuir, boîte automatique avec palettes au volant, caméra de recul, Bluetooth avec reconnaissance vocale et streaming audio…  Je me borne à ne citer que ces équipements livrés d’office, sans détailler ceux de la finition intermédiaire, Active, ni ceux de la variante haut de gamme, Executive, qui ajoutent leur petit lot de raffinements. Sur la version de base, Dynamic + du Toyota C-HR, on trouve les équipements précités, excepté les rétroviseurs extérieurs rabattables et les commandes multimédia au volant. Ceux-ci ne sont accessibles qu’à partir de la finition intermédiaire Distinctive. Sous le capot Animé par le bloc à essence 1,6 litre GDI de 105 ch, couplé au module électrique de 43 kw, le Niro peut rouler en trois modes : thermique, électrique ou hybride. Au démarrage, aucun bruit, aucun son n’est perceptible. L’énergie électrique fournie par la batterie permet de parcourir plusieurs kilomètres à allure modérée. Ensuite, le bloc thermique prend le relais pour propulser l’engin et recharger la batterie. L’énergie dégagée en phase de ralenti ou de freinage alimente régulièrement la batterie. Le Niro parvient ainsi à réaliser une bonne économie de «sans plomb», soit 3,4 l/100 km contre3,8 l/100 km pour le Toyota C-HR. Tout compte fait, le Kia Niro montre que sobriété et plaisir de conduire ne sont pas incompatibles. Il faut souligner que la boîte automatique à 6 rapports (DCT) contribue, elle aussi, à l’économie du carburant grâce à son double embrayage assurant en permanence la continuité de transmission des rapports. Avec les palettes au volant, les vitesses se passent à la volée dans une fluidité remarquable. Si sobre et calme soit-il, le Niro n’en demeure moins nerveux et répond instantanément à l’appel de l’accélérateur. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de le Kia Niro Hybrid Le dernier point fort du Niro reste incontestablement sa robustesse proverbiale. Pour preuve, la marque Kia n’hésite plus à offrir 5 ans de garantie pour le Niro, contre seulement 3 ans pour le C-HR. Disponible au tarif promotionnel de 295 000 DH, le Niro affiche un rapport sobriété/prestations/équipements meilleur que celui du Toyota C-HR dont le prix de base est de 290 000 DH. Avis aux passionnés de voitures hybrides. Galerie

La nouvelle Citroën C3 est disponible sur le marché marocain. La citadine se distingue par son look séduisant et ses nombreux équipements. Elle met davantage l’accent sur le confort. Citroën capitalise toujours sur son best-seller C3 pour ratisser encore plus large sur le marché notamment au Maroc. En dépit d’une forte concurrence dans la catégorie particulièrement de la part de Clio 5 ou de Peugeot 208, le modèle dispose de plusieurs atouts lui permettant de se démarquer aisément dans son segment. Le dicton veut qu’on ne change pas une équipe qui gagne mais la loi de l’évolution impose d’introduire des modifications pour être au diapason des tendances de la catégorie. A cet égard, la citadine fétiche de la marque aux chevrons a eu droit à un restylage qui se manifeste déjà au niveau du design. La face avant a connu quelques retouches. Citroën inaugure sur cette C3 la nouvelle calandre qui sera diffusée sur les futurs modèles. Elle donne un regard agressif et conforte l’identité visuelle de la marque. Les optiques ont évolué et abritent dorénavant des feux à LED sur toutes les versions. Les nombreux éléments en noir sur le bas de la carrosserie et le capot font référence à l’univers des crossovers. A l’arrière, les changements sont moins visibles. On distingue toutefois les feux avec effet 3D. L’autre élément saillant de cette nouvelle C3, ce sont les Airbumps sur les côtés. Cette protection de la carrosserie, apparue sur l’ancien modèle, est conservée pour des raisons esthétiques puisqu’ils représentent un élément distinctif de la marque et donnent une silhouette plus dynamique au véhicule. Auparavant, ils étaient proposés uniquement dans la version haut de gamme. 97 combinaisons extérieures Pour répondre au besoin des clients qui souhaitent personnaliser leur véhicule, le constructeur propose plusieurs teintes et packs. Ainsi, le catalogue de la voiture regroupe 97 combinaisons extérieures, 3 stickers de toit, 3 ambiances intérieures et deux nouvelles jantes. S’agissant du gabarit, les mensurations sont réparties entre 3,99 m pour la longueur, 1,75 m de largeur et 1,45 m de hauteur optimisant la compacité du véhicule. Le coffre dispose d’un volume de 300 litres, qui peut être étendu à 922 l une fois les sièges arrières rabattus. L’habitacle est agrémenté par de nouveaux sièges Advanced Confort qui sont déjà disponibles sur C4 Cactus et C5 Aircross. Dotés d’une mousse d’une grande densité, ils assurent un bon maintien pour les passagers. Ils sont de série sur la version haut de gamme et en option sur les autres. La voiture est dotée de plusieurs rangements à l’avant comme à l’arrière. On remarque également la présence d’un accoudoir pour le conducteur, fait rarissime pour une citadine. Comme le véhicule est polyvalent, il sera d’une grande utilité dans les grands parcours. Doté d’un écran tactile 7 pouces, la planche de bord bénéficie d’un système d’infodivertissement compatible avec Apple CarPlay et Android Auto, qui permet de connecter un smartphone et dupliquer son écran sur celui de la citadine. Les touches de commande sont à portée de main et faciles à utiliser. Motorisation efficiente Au niveau mécanique, la nouvelle C3 est disponible au Maroc en motorisation diesel. Le bloc 1.6 HDi qui a fait ses preuves dans d’autres modèles du groupe PSA, développe une puissance de 92 chevaux. Il est accouplé à une boîte de vitesses manuelle à 5 rapports. La consommation mixte tourne autour d’une moyenne de 4,4 litres/100 km. Dès l’entrée de gamme, la voiture dispose d’une panoplie d’équipements : airbags frontaux, latéraux et rideaux, ABS, ESP, alerte de franchissement involontaire de ligne, direction assistée électrique, rétroviseurs électriques et chauffants, etc. Sur les autres versions, l’offre englobe la climatisation automatique, les feux diurnes à LED, les projecteurs Eco LED, le pavillon Bi-ton, l’allumage automatique des projecteurs, les essuie-vitres automatiques, l’aide au stationnement arrière, la caméra de recul… L’équipe d’Autonews a eu l’occasion de tester le véhicule. Le ressenti est que la voiture présente des aptitudes de conduite d’un bon niveau par rapport aux normes du segment que ce soit en cycle urbain ou sur route. Les reprises de vitesse sont fluides et l’environnement à l’intérieur est agréable. S’agissant des prix, Sopriam, importateur exclusif de la marque Citroën au Maroc, propose une tarification de lancement à partir de 153 900 DH. Elle est commercialisée à partir de170 900 DH pour la version Business, qui est dédiée aux professionnels et au marché des flottes. Le prix passe à 180 900 DH pour la version Feel Pack et pour la version haut de gamme ou Shine, il faut débourser 190 900 DH. Galerie