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Nouveau MG ZS Hybrid dès 259.000 DH au Maroc
MG Maroc accélère l’électrification de sa gamme et dévoile la deuxième génération de son SUV à succès, le MG ZS Hybrid+. Plus affirmé, mieux équipé et toujours accessible, ce modèle vise clairement le haut du podium. Revue de détails.
Forte de son ascension fulgurante sur le marché marocain, MG entend capitaliser sur la diversité de son offre électrifiée pour renforcer son positionnement dans le segment des SUV compacts. Dans cette catégorie particulièrement disputée, le nouveau MG ZS Hybrid+ n’arrive pas les mains vides. Il succède à un best-seller, mais avec l’ambition décuplée de faire mieux encore.
Face à lui, un adversaire de taille : la Toyota Corolla X Air Hybrid, dont les dimensions (longueur 4,46 mètres) se rapprochent sensiblement de celles du ZS Hybrid+ (4,43 mètres). Une proximité qui rend la comparaison naturelle, d’autant plus que les deux modèles misent sur une technologie hybride non rechargeable, sobre et efficiente. Mais le challenger a du répondant, à commencer par un look qui en jette.
Plus de caractère
L’un des premiers atouts du nouveau ZS Hybrid+ réside dans son design modernisé et musclé. Dès le premier regard, la face avant se distingue par une imposante calandre hexagonale redessinée, soulignée de prises d’air latérales façon boomerang qui renforcent l’agressivité du bouclier. Le capot plongeant façon "nez de requin", combiné aux feux LED reliés par un fin bandeau lumineux, imposent immédiatement un air de dynamisme.
Sur les flancs, le vitrage souligné d’un jonc chromé, les passages de roues marqués et les jantes aux dessins inédits confirment le soin apporté aux détails. À l’arrière, le style se fait plus sage mais non moins élégant, avec des feux à LED retravaillés, un hayon redessiné et un bouclier raffiné.
Montée en gamme évidente
L’intérieur du ZS Hybrid+ marque un véritable bond qualitatif. La planche de bord présente un design épuré, modernisé par l’utilisation de matériaux moussés agréables au toucher et des inserts au fini métallisé. L’assemblage est rigoureux, les volumes équilibrés, et l’ensemble respire la maturité stylistique.
La digitalisation est au rendez-vous avec un cockpit numérique de 7 pouces, secondé par un écran central tactile HD de 10,25 pouces, compatible Apple CarPlay et Android Auto. Le tout est fluide, ergonomique et intuitif. Le sélecteur de vitesses compact libère de l’espace sur la console centrale, dégageant un petit espace de rangement.
Pour ce qui est du confort, les sièges avant se révèlent accueillants et enveloppants, offrant un bon maintien. À l’arrière, l’espace aux jambes est correct, bien qu’un peu juste pour trois adultes sur de longs trajets.
Dotation généreuse
Le nouveau ZS Hybrid+ est proposé en deux finitions : MG ZS Hybrid Drive et MG ZS Hybrid Ultimate, toutes deux riches en équipements.
Finition Drive :
Régulateur de vitesse adaptatif
Aide au maintien dans la voie
Freinage d’urgence autonome
Caméra de recul et radars
Climatisation automatique
Capteurs de pluie et de luminosité
Jantes alliage 16 pouces
Finition Ultimate (en plus) :
Écran multimédia élargi à 12,3 pouces
Sièges en similicuir avec réglage électrique côté conducteur
Caméras à 360°
Toit panoramique
Accès et démarrage mains-libres
Jantes en alliage 18 pouces
Une dotation qui place le ZS parmi les SUV compacts les mieux équipés dans sa tranche tarifaire.
Motorisation hybride efficiente
Sous le capot, le MG ZS Hybrid+ combine un moteur thermique 1.5 VTi de 102 ch avec un moteur électrique de 100 kW (136 ch), pour une puissance combinée de 197 ch. Une valeur remarquable pour un SUV de ce gabarit, qui permet de concilier performances honorables et sobriété.
La batterie de 1,83 kWh, qui se recharge automatiquement à la décélération et au freinage, permet une consommation moyenne contenue autour de 5,1 l/100 km — un atout majeur pour le porte-monnaie au quotidien.
Tarif compétitif
Le MG ZS Hybrid+ est proposé à partir de 259.000 DH en finition Drive, tandis que la version Ultimate culmine à 279.000 DH. Un tarif particulièrement agressif compte tenu de sa dotation, de sa motorisation hybride efficiente et de son style moderne.
Avec cette nouvelle génération du ZS Hybrid+, MG envoie un message clair : il est désormais un acteur incontournable du segment des SUV hybrides. Design séduisant, habitacle soigné, dotation généreuse et technologie efficiente, le tout à un prix contenu : tous les ingrédients sont réunis pour faire vaciller les références déjà bien établies sur le marché marocain. Autant dire que le MG ZS Hybrid+ n’est pas là pour faire de la figuration, mais il vise clairement la pole position.
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Dacia Spring 2025 : nouveau look, prix choc au Maroc
Restylée en profondeur, enrichie en équipements et toujours aussi accessible, la Spring 2025 entend bien conserver sa place de leader des citadines électriques au Maroc.
Le best-seller électrique de la marque Dacia s’offre un joli lifting. Nouveau design affirmé, technologies modernes et équipements revus à la hausse : la mini-citadine électrique la plus abordable du marché revient plus aboutie que jamais. Sans toucher à sa recette gagnante, elle renforce tout ce qui a fait son succès. Toujours aussi économique, désormais plus séduisante, elle reste fidèle à sa mission : démocratiser la voiture 100 % électrique dans le Royaume.
Une silhouette revisitée
Dès le premier regard, la DACIA Spring, millésime 2025, ne laisse pas indifférent. Fini le look de petite voiture sage : la mini-citadine électrique adopte désormais le nouveau langage stylistique de Dacia, inauguré par le dernier Dacia Duster. À l’avant, on découvre un nouveau bandeau noir horizontal qui relie les feux de jour en forme de « Y » – la nouvelle signature lumineuse de la marque. Le capot se muscle avec des nervures affirmées tandis que les boucliers redessinés accueillent de nouveaux stickers décoratifs qui renforcent l’impression de robustesse.
L’arrière n’est pas en reste : là aussi, un bandeau noir strié relie les feux arrière, eux aussi en forme de « Y ». Le lettrage DACIA s’étire fièrement au centre, remplacé par le nouveau logo en relief. Avec ses nouvelles jantes de 15 pouces, une garde au sol optimisée et quatre teintes contemporaines, dont les très tendances Kaki Lichen et Bleu Ardoise, la Spring affirme une toute nouvelle personnalité, plus adulte, plus moderne.
Intérieur modernisé
À bord, la métamorphose se poursuit. La planche de bord entièrement repensée donne un sérieux coup de jeune à l’habitacle. Exit l’ancienne instrumentation, place à un combiné numérique de 7 pouces désormais de série. Plus ergonomique, l’écran tactile central de 10 pouces positionné plus haut, donne la possibilité de piloter intuitivement le système Media Display avec réplication smartphone, Bluetooth et ports USB.
Un nouveau volant réglable en hauteur améliore la position de conduite, tandis que la console centrale modernisée accueille un levier de vitesses plus pratique que le précédent sélecteur rotatif. Celui-ci donne accès au mode de conduite « B » qui active un freinage régénératif renforcé : un vrai plus en ville pour gagner en autonomie.
Et pour la première fois sur la Spring, on découvre les accessoires YouClip, bien connus des fans du nouveau Duster. Trois points de fixation permettent d’installer des éléments pratiques comme un porte-gobelet ou un support smartphone. Simple, intelligent, typiquement Dacia.
Toujours efficiente
Techniquement, la Spring reste fidèle à sa mission : faire simple, efficace, et électrique. Elle repose toujours sur une base légère – seulement 1032 kg –, un atout décisif pour la consommation. Sa batterie de 26,8 kWh alimente un moteur 100 % électrique de 65 ch, qui permet d’atteindre les 100 km/h en 13,7 secondes. Pas de sport ici, mais une vraie réactivité en usage urbain.
Côté autonomie, 220 km en cycle mixte WLTP et 305 km en ville suffisent amplement pour les trajets quotidiens. La recharge ? Elle se fait en 11 heures sur une simple prise domestique, 4 heures sur une wallbox 7 kW, et 45 minutes seulement pour passer de 20 à 80 % via une borne en courant continu 30 kW.
Mais la vraie nouveauté technologique de cette version, c’est la fonction V2L (Vehicle to Load) baptisée « Power to Object ». Elle permet d’utiliser la voiture comme une batterie géante pour alimenter des appareils électriques : une glacière, un ordinateur, ou même un projecteur pour une soirée ciné en plein air. Ingénieux, utile et unique à ce niveau de prix.
La Spring 2025 soigne aussi son comportement en ville. Avec une nouvelle direction assistée électrique, une colonne de direction revue, un nouveau volant, et un rayon de braquage encore réduit, elle se manœuvre plus facilement que jamais. Elle confirme ainsi sa place de choix dans l’univers des petites citadines 100 % électriques, avec une touche de praticité en plus.
Une offre taillée pour le Maroc
Toujours fidèle à son ADN, la Dacia Spring ne sacrifie rien sur l’essentiel : le rapport prix/prestations reste imbattable. Le modèle restylé est désormais commercialisé dans tout le réseau Dacia Maroc à partir de 204 000 DH TTC. Pour son lancement, une offre de financement exceptionnelle (à partir de 1 190 DH/mois), risque bien de faire réfléchir les conducteurs de citadines thermiques.
En définitive, plus moderne, plus valorisante, mais toujours aussi accessible, la Spring coche toutes les cases pour séduire les citadins marocains à la recherche d’une solution propre, fiable et abordable. La révolution électrique n’attend plus : elle roule, et elle s’appelle Spring.
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Renault Boreal 2025 : cap sur l'international
Avec son look affûté et son habitacle connecté, le Renault Boreal veut imposer sa signature sur les routes du monde. Développé pour les marchés internationaux, ce nouveau SUV compact réunit tous les ingrédients d’un futur best-seller. Revue de détails.
Avec le Boreal, Renault passe à la vitesse supérieure sur les marchés extra-européens. Ce tout nouveau SUV compact, à la fois statutaire et technologique, a été dévoilé officiellement en juillet et s’apprête à sillonner plus de 70 pays à partir de fin 2025. Produit entre le Brésil et la Turquie, il incarne une nouvelle offensive de la marque au losange sur le segment C. Décryptage.
Après les Kardian, Duster et Grand Koleos, le Boreal prend la relève dans le cadre du plan « Renault International Gameplan 2024-2027 ». Un programme ambitieux, doté d’un investissement de 3 milliards d’euros, visant à lancer huit modèles hors d’Europe, dont cinq sur les segments C et D. Objectif : doubler le chiffre d’affaires unitaire à l’international et renforcer la montée en gamme de Renault sur des marchés clés comme l’Amérique latine, la Turquie, le Moyen-Orient ou encore l’Afrique du Nord.
Taillé pour séduire
Inspiré du Dacia Bigster dont il partage la plateforme CMF-B LS, le Renault Boreal affirme néanmoins une personnalité bien à lui. Long de 4,56 mètres, large de 1,84 mètre, il se positionne comme un SUV statutaire et élégant, pensé pour répondre aux attentes spécifiques des marchés émergents où le design extérieur est souvent un critère d’achat déterminant.
À l’avant, le Boreal arbore une calandre pleine, flanquée du nouveau logo « Nouvel’R » et encadrée par une signature lumineuse à deux niveaux, directement héritée du concept Niagara. Les projecteurs à LED étirés vers les ailes, combinés à un bandeau noir et un sabot couleur alu, imposent immédiatement la prestance.
Côté profil, les proportions équilibrées et les arches de roue musclées soulignent son ADN SUV. Jantes 19 pouces, toit noir contrastant, sabots de protection alu, toit panoramique et barres de toit viennent renforcer son allure robuste et raffinée. À l’arrière, la signature lumineuse en trois parties renforce la largeur perçue.
À bord : connectivité et confort
À l’intérieur, Renault joue la carte de la modernité. Le Boreal inaugure une planche de bord inédite, équipée de deux écrans 10 pouces (instrumentation + écran central OpenR Link). Ce système d’info-divertissement intègre l’écosystème Google Automotive Services : navigation via Google Maps, assistant vocal, Google Play et une foule d'applications embarquées, y compris Amazon Music, Radioplayer ou encore Prime Video.
L’ergonomie est soignée : e-shifter compact, volant multifonction élégant, matériaux valorisants, éclairage d’ambiance LED à 48 couleurs et ambiance personnalisable via le système Multi-Sense. Mention spéciale pour les sièges avant chauffants, massants et électriques avec mémoire de position. La banquette arrière, rabattable 40/60, cache un coffre de 586 litres, extensible à 1.770 litres une fois les sièges rabattus.
Motorisation essence
Au lancement, le Boreal embarquera un bloc essence 1.3 TCe turbocompressé de 138 ch (240 Nm), associé à une boîte automatique EDC à double embrayage et six rapports. Cette combinaison assure des relances franches et une conduite souple, tout en maîtrisant les consommations grâce au Stop & Start. Des versions Flex Fuel (jusqu’à 163 ch) sont également prévues pour certains marchés d’Amérique latine. À terme, le Boreal recevra des motorisations micro-hybrides 48 V, voire des déclinaisons 4x4.
Sécurité et assistances à la pointe
Sur le plan technologique, Renault frappe fort. Le Boreal propose jusqu’à 24 aides à la conduite : alerte de franchissement de ligne, assistant de maintien dans la voie, freinage automatique d’urgence, alerte d’angle mort, détection de trafic arrière, et même alerte de sortie sécurisée pour les passagers. À cela s’ajoute le système Active Driver Assist (conduite semi-autonome de niveau 2), qui combine un régulateur adaptatif avec un centrage actif dans la voie.
Les manœuvres sont également facilitées grâce au système Hands-Free Parking, avec caméras à 360° et radars à ultrasons, permettant au véhicule de se garer tout seul, que ce soit en créneau ou en bataille.
Avec le Boreal, Renault ne se contente pas de cocher toutes les cases du SUV compact moderne. Elle entend surtout marquer les esprits sur les marchés hors Europe, en misant sur un cocktail bien dosé de design, de technologie, de confort et de performance. Plus qu’un simple modèle, le Boreal symbolise une nouvelle étape dans la stratégie mondiale du constructeur français, déterminé à transformer son empreinte internationale en véritable levier de valeur.
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Ferrari Amalfi : The Italian Job
Ferrari lève le voile sur sa toute dernière création : Amalfi. Un coupé GT 2+ qui succède à la Roma. Plus sculpturale, plus affûtée, et toujours fidèle au V8 biturbo, la Ferrari Amalfi est un condensé d’émotions et de plaisir de conduire.
L’Amalfi ne remplace pas simplement la Roma : elle en prolonge l’esprit, tout en le sublimant. Ferrari ne parle pas de révolution stylistique, mais bien de raffinement, de précision, d’un travail de joaillerie sur quatre roues. Il s’agit d’un coupé 2+, comprenez une configuration à deux vraies places à l’avant, et deux sièges d’appoint à l’arrière — idéals pour quelques sacs ou des valises, mais guère plus. Le coffre, lui, affiche 273 litres, un volume modeste qui rappelle que chez Ferrari, la priorité ne va pas à la praticité, mais au plaisir.
Ligne Sculpturale
Esthétiquement, l’Amalfi conserve les proportions de la Roma, mais tous les panneaux de carrosserie (à l’exception du toit et du pare-brise) ont été redessinés. Le design est axé sur l’élégance sensuelle pour l’inscrire dans une nouvelle forme de pureté.
Le museau abandonne la calandre traditionnelle au profit d’un nez lisse et tendu, presque liquide dans ses lignes. Le regard s’affine, souligné par un bandeau noir qui relie les projecteurs. La prise d’air inférieure, plus ajourée que sur la Roma, vient compenser l’absence de calandre et assure un meilleur refroidissement.
Le profil reste fidèle à la philosophie GT de Ferrari, mais s’enrichit d’un pli marqué sur les portières qui guide le regard vers une poupe plus verticale, moins rebondie. À l’arrière, l’aileron actif a été revu pour offrir un appui aérodynamique accru : +15 kg à 250 km/h, soit un total de 110 kg. Le diffuseur proéminent est encadré par quatre sorties d’échappement, tandis que les feux se résument à deux fines signatures horizontales.
Un habitacle tourné vers l’excellence
À bord, l’Amalfi abandonne la tablette verticale de la Roma au profit d’une interface horizontale de 10,25 pouces, intégrée avec élégance. Cet écran centralise toutes les commandes : climatisation, médias, réglage des sièges, configuration du véhicule.
Le conducteur fait face à un combiné numérique de 15,6 pouces et retrouve avec satisfaction un vrai bouton de démarrage physique, abandonnant le capteur tactile de la Roma. Le volant, lui aussi, revient à des commandes physiques, bien plus ergonomiques. Le manettino, toujours présent, permet d’alterner entre les différents modes de conduite.
Le passager avant bénéficie quant à lui d’un écran de 8,8 pouces, lui donnant accès à diverses informations en temps réel : vitesse, régime moteur, forces G, ou encore ses propres applications via Apple CarPlay ou Android Auto. Ferrari intègre désormais un chargeur à induction pour smartphone, un détail moderne bienvenu.
Quant aux sièges, ils sont proposés en version “Comfort”, disponibles en trois tailles, avec ventilation, chauffage et massage. Le tout servi par une qualité d’assemblage irréprochable et des matériaux nobles — cuir pleine fleur, aluminium, surpiqûres soignées… Maranello reste fidèle à son niveau d’exigence.
Un V8 pour les puristes
Sous le long capot sculpté de l’Amalfi, on retrouve le V8 3.9 litres biturbo bien connu, ici poussé à 640 chevaux pour 760 Nm de couple. Entièrement en aluminium et associé à une boîte DCT à 8 rapports, ce moteur catapulte la GT de 0 à 100 km/h en 3,3 secondes, pour une vitesse maximale flirtant avec les 320 km/h.
L’Amalfi ne cède pas à la tendance de l’électrification. Et c’est volontaire. Ce choix assumé permet de conserver une sonorité naturelle, encore peaufinée par un nouveau silencieux, et un caractère moteur plus brut, plus immédiat. Les turbos ont été optimisés pour offrir un temps de réponse plus court et une montée en régime linéaire.
Le freinage est géré par un système brake-by-wire, avec des disques perforés de 390 mm à l’avant (chaussés en 245/35 ZR20) et 360 mm à l’arrière (en 285/35 ZR20). Un arsenal parfaitement calibré pour dompter la fougue du V8.
Tarifs élitistes
Bien que positionnée comme l’une des Ferrari les plus “accessibles” du catalogue, l’Amalfi s’affiche à partir de 240 000 € — soit 30 000 € de plus que la Roma. Un prix d’appel qui reste théorique : entre personnalisation, selleries exclusives et équipements optionnels, la facture peut vite grimper au-delà des 350 000 €.
Les premières livraisons sont attendues courant 2026, après l’ouverture des commandes prévue d’ici la fin de l’année. Une version Spider est d’ores et déjà prévue, mais sera dévoilée ultérieurement. Ferrari propose également un programme d’entretien de 7 ans, gage de sérénité pour les futurs propriétaires.
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Nissan Magnite Maroc : un SUV stylé à 149.900 DH
Produit à Chennai, en Inde, le Nissan Magnite incarne la nouvelle philosophie du constructeur : proposer des modèles abordables, bien équipés et adaptés aux réalités des marchés émergents. Depuis son lancement initial en 2020, ce SUV compact a déjà séduit plus de 150.000 clients à travers le monde. En 2025, il entame un nouveau chapitre avec un déploiement dans plus de 65 pays.
Avec son style affirmé, son prix contenu et son arsenal technologique inattendu à ce niveau de gamme, le nouveau Nissan Magnite joue les trublions dans l’univers des SUV urbains. Et c’est au Maroc, terrain d’essai stratégique, que le modèle a été révélé aux médias.
C’est sous le soleil de Tanger que Nissan a choisi d’organiser les essais internationaux de son nouveau Magnite. Un choix hautement symbolique : le Royaume est non seulement le premier marché africain à accueillir ce nouveau SUV, mais aussi l’un des tout premiers pays au monde à en entamer la commercialisation. Cette opération s’inscrit dans la vaste offensive produit de Nissan qui vise à faire du Maroc une véritable tête de pont vers les marchés du continent africain.
Un look qui en impose
Dès le premier regard, le Nissan Magnite affiche une allure robuste et affirmée. Sa face avant, marquée par une large calandre trapézoïdale soulignée de chrome, est encadrée de projecteurs LED acérés et de feux de jour en forme de boomerang qui lui donnent un regard incisif. Le bouclier, rehaussé d’antibrouillards logés dans des inserts sculptés, renforce son caractère audacieux.
Le profil ne manque pas de personnalité, avec des passages de roue généreusement protégés, des bas de caisse contrastés et une ligne de vitrage ascendante qui dynamise l’ensemble. Le dessin des jantes alliage de 16 pouces, spécifique selon les versions, accentue encore le côté athlétique du véhicule.
À l’arrière, les feux en relief qui débordent sur le hayon créent un effet de largeur, tandis que le spoiler de toit intégré et le pare-chocs sculpté parachèvent un style résolument sportif. Bref, un SUV compact qui ne manque pas d’originalité.
Vie à bord : techno, confort et astuce
À l’intérieur, le Magnite fait le pari d’une dotation généreuse. Écran tactile 8 pouces, compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto, éclairage d’ambiance à quatre couleurs, ioniseur d’air, boîte à gants réfrigérée… autant d’éléments qu’on ne s’attend pas à trouver dans ce segment. À cela s’ajoutent des fonctions de confort avancées comme le démarrage moteur à distance et le verrouillage/déverrouillage automatique à l’approche du conducteur.
Malgré ses dimensions contenues (3,99 m de long), le Magnite offre une habitabilité correcte grâce à un empattement bien exploité. Cinq passagers peuvent prendre place à bord dans des conditions tout à fait convenables. Mention spéciale pour le système « Around View Monitor » à 360°, inédit à ce niveau de prix, qui facilite les manœuvres en ville.
Sous le capot : sobriété et efficacité
Sous le capot, le Nissan Magnite embarque un moteur 3 cylindres en ligne turbocompressé de 999 cm³. Ce bloc essence développe une puissance de 100 chevaux et un couple maximal de 160 Nm, disponible dès les bas régimes, offrant ainsi des relances souples et une conduite dynamique en ville comme sur route.
Deux types de transmission sont proposés selon les versions : une boîte manuelle à 5 rapports pour les plus puristes, et une boîte automatique à variation continue (CVT), pensée pour ceux qui recherchent davantage de confort au quotidien.
Côté performances, le Magnite atteint une vitesse maximale de 173 km/h, tout en maintenant une consommation mixte maîtrisée de 5,3 litres/100 km, ce qui en fait un allié économique pour les trajets urbains et périurbains.
Une offre taillée pour séduire
Au Maroc, le Nissan Magnite se décline en quatre finitions judicieusement pensées pour répondre aux besoins variés des automobilistes urbains. De la finition d’entrée de gamme à la plus sophistiquée, chaque version propose un rapport prix/équipements particulièrement compétitif :
Nissan Magnite Visia 1.0T – boîte manuelle : 149.900 DHUne version d’accès bien équipée, idéale pour les budgets serrés, sans compromis sur l’essentiel.
Nissan Magnite Acenta 1.0T – boîte manuelle : 164.900 DHUn cran au-dessus, cette finition ajoute des équipements de confort et de style.
Nissan Magnite Acenta 1.0T – boîte CVT : 179.900 DHLa même dotation que l’Acenta manuelle, avec la souplesse d’une boîte automatique pour un usage urbain plus détendu.
Nissan Magnite Tekna 1.0T – boîte CVT : 199.900 DHLa version haut de gamme, richement dotée en technologies d’aide à la conduite, en équipements connectés et en finitions soignées.
Nissan Magnite : Prix, Fiches Techniques et Equipements
À moins de 200.000 dirhams en finition haut de gamme, le Magnite bouscule les codes du segment avec une proposition particulièrement compétitive. Un SUV stylé, bien équipé, accessible et taillé pour la jungle urbaine : autant d’atouts qui pourraient faire mouche dans le paysage automobile marocain.
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Nouveau Soueast S06 : techno, style et garantie XXL
Fraîchement introduite sur le marché marocain, la marque chinoise Soueast frappe fort avec le lancement du S06. Avec son look audacieux, son arsenal technologique dernier cri, ce SUV compact vise à séduire une génération urbaine, connectée et exigeante.
Le marché marocain s’ouvre à une nouvelle ère de mobilité électrifiée. Sous les projecteurs : le Soueast S06, un SUV compact hybride rechargeable qui signe l’entrée en scène de la marque chinoise Soueast, importée par M-Automotiv. D’entrée de jeu, le ton est donné : design affirmé, technologie embarquée à profusion et garantie moteur inédite de 10 ans ou 1 million de kilomètres. De quoi susciter l’intérêt des automobilistes marocains en quête d’un SUV efficient, stylé et bien équipé.
Un design qui ne laisse pas indifférent
Le S06 joue la carte du style affirmé et statutaire. Inspiré par le thème du « King of the Jungle », il affiche une silhouette musclée, portée par des lignes tendues et une calandre béante qui assoit son autorité visuelle. La signature lumineuse LED, très travaillée, dessine un regard perçant tandis que les jantes de 20 pouces complètent une posture volontairement dynamique.
Cliquez ici pour découvrir prix et équipements Soueast S06
À l’arrière, le dessin est tout aussi soigné avec un bandeau lumineux qui renforce l’impression de largeur. Rien n’a été laissé au hasard : des nervures de capot jusqu’aux passages de roues marqués, chaque élément de carrosserie semble taillé pour affirmer son allure athlétique.
Ambiance haut de gamme
Une fois installé à bord, le S06 poursuit sa démonstration de force. L’habitacle fait la part belle à la technologie, au confort et à la praticité, avec une ambiance contemporaine et épurée. Au centre de la planche de bord s’érige un grand écran tactile vertical de 15,6 pouces, avantageusement orienté vers le conducteur, qui pilote l’ensemble des fonctions d’infodivertissement. Le combiné d’instrumentation 100 % numérique vient renforcer cette atmosphère high-tech.
L’équipement est pléthorique : clim automatique, éclairage d’ambiance personnalisable, chargeur sans fil 50 W, démarrage à distance, télécommande intelligente… Le S06 transforme chaque trajet en expérience connectée. La qualité perçue est au rendez-vous avec des matériaux du tout premier choix et une ergonomie bien étudiée. À bord, on est loin du minimalisme : tout est pensé pour offrir une ambiance haut de gamme.
Propulsion hybride rechargeable
Contrairement à d’autres modèles qui multiplient les motorisations, le S06 opte pour la clarté : au Maroc, il est proposé uniquement en version hybride rechargeable. Et pas n’importe laquelle. Baptisée S06 DM, cette version combine un moteur thermique 1.5 turbo de 156 ch avec un moteur électrique de 204 ch, pour une puissance combinée de 360 ch et un couple généreux de 530 Nm.
Doté d’une batterie lithium-ion de 19,4 kWh, le Soueast S06 revendique jusqu’à 114 km d’autonomie en mode 100 % électrique, selon le cycle NEDC. Une performance qui permet de couvrir sans effort les déplacements urbains, sans solliciter le moteur thermique. En usage combiné, la consommation est annoncée à seulement 4,9 l/100 km, tandis que l’autonomie globale dépasserait les 1 000 km. Des chiffres prometteurs sur le papier, en attendant de les confronter à la réalité du terrain.
Technologie embarquée à la page
Le S06 coche toutes les cases en matière d’équipements connectés et d’aides à la conduite. Il embarque les principaux systèmes ADAS : régulateur de vitesse adaptatif, alerte de franchissement de ligne, aide au maintien dans la voie, surveillance des angles morts, freinage automatique d’urgence. Le tout s’accompagne d’une caméra panoramique 360°, d’un affichage tête haute, de la reconnaissance vocale et d’une compatibilité Apple CarPlay / Android Auto.
Mention spéciale au copilote virtuel, capable d’envoyer des rappels intelligents (comme l’oubli d’un téléphone), et à l’écosystème numérique fluide qui facilite l’usage au quotidien.
Avec un tarif fixé à 329.900 DH, le S06 hybride rechargeable se positionne de manière très agressive face à des rivaux souvent plus chers ou moins équipés. Côté après-vente, M-Automotiv accompagne ce lancement avec une garantie moteur de 10 ans ou 1 million de kilomètres, du jamais vu au Maroc… Autant dire que le S06 n’est pas un simple outsider, mais un sérieux prétendant.
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Jaecoo 7 hybride rechargeable : le trouble-fête est arrivé
Avec son autonomie de 90 km en mode 100% électrique, ses 346 ch et son équipement ultra-complet, le nouveau Jaecoo 7 hybride rechargeable débarque au Maroc avec des arguments solides. Plus compact que le BYD Seal U mais proposé à un tarif similaire, il entend bien jouer les trouble-fêtes.
Sur un marché marocain encore largement dominé par le Diesel, mais où l’électrification progresse lentement, CFAO Mobility entre en scène avec le Jaecoo 7 SHS, un SUV hybride rechargeable aux dimensions compactes (4,5 m de long), mais aux ambitions bien affirmées. En face, le BYD Seal U, avec ses 4,78 mètres, joue dans une catégorie plus imposante. Pourtant, les deux modèles se retrouvent sur un terrain commun : celui de la technologie hybride rechargeable et, surtout, celui du tarif, puisque leurs prix s’avèrent presque équivalents. Dans ce duel inédit, le Jaecoo 7 pourrait bien créer la surprise en misant sur une grosse autonomie, une puissance généreuse et un équipement ultra-complet, le tout dans un gabarit plus maniable et à un prix contenu.
Allure statutaire
Avec ses 4,5 mètres de long et sa silhouette haute sur pattes, le Jaecoo 7 SHS affirme une présence visuelle forte. Sa face avant verticale, dominée par une large calandre rectangulaire et un capot parfaitement horizontal, lui confère une allure imposante, presque statutaire. Le profil n’est pas en reste, avec une ceinture de caisse haute, des surfaces vitrées réduites et des passages de roues soulignés par des protections en plastique noir, accentuant son côté baroudeur chic. Les jantes alliage de 19 pouces et les optiques full LED complètent une signature stylistique résolument moderne. Quatre teintes extérieures sont proposées, dont certaines exclusives au modèle.
Un habitacle orienté confort
Une fois installé à bord du Jaecoo 7 SHS, le ton est donné : technologie et raffinement. L’ambiance intérieure tranche avec l’austérité de certains concurrents en misant sur une présentation moderne, une ergonomie bien pensée et une dotation riche.
La planche de bord est dominée par un écran tactile central de 10,25 pouces, flanqué d’un combiné numérique lisible et d’un affichage tête haute pour garder un œil sur les informations clés sans quitter la route. Le volant multifonction, bien en main, donne accès aux commandes principales, tandis que le sélecteur de vitesses logé au volant libère l’espace sur la console centrale.
Côté confort, le Jaecoo 7 soigne ses occupants : sièges avant ventilés à réglages électriques, climatisation automatique bi-zone autonettoyante, chargeur à induction rapide de 50 W, sans oublier l’éclairage d’ambiance personnalisable qui accentue la dimension premium. Le volet sonore est assuré par un système audio Sony à 8 haut-parleurs, pour une ambiance acoustique à la hauteur du standing annoncé.
Équipements high-techs
Mais c’est surtout sur la partie sécuritaire et technologique que le Jaecoo 7 impressionne. Le SUV embarque pas moins de 20 systèmes d’aide à la conduite (ADAS), tous paramétrables via l’écran central. On y retrouve les indispensables : régulateur de vitesse adaptatif, freinage autonome d’urgence, alerte de collision frontale, maintien dans la voie, assistant en cas d’embouteillage, détection de fatigue, surveillance des angles morts, ou encore freinage multi-collision.
Par ailleurs, la structure du véhicule, conçue à 80 % en acier à haute résistance, abrite sept airbags et une batterie Blade conçue pour résister aux chocs, aux incendies et aux températures extrêmes.
Une autonomie qui change la donne
Le Jaecoo 7 SHS (Smart Hybrid Solution) s’impose comme une alternative crédible pour les conducteurs tentés par l’électrification, mais pas encore prêts à basculer vers le tout électrique. Sa promesse ? Lier performance, autonomie et flexibilité, sans les contraintes des bornes de recharge à chaque coin de rue.
Sous le capot, ce SUV embarque un moteur 1.5 turbo essence secondé par deux moteurs électriques, le tout délivrant 346 ch et 525 Nm de couple. De quoi abattre le 0 à 100 km/h en 8,5 secondes, tout en maîtrisant la consommation : 5,99 l/100 km en cycle mixte.
Avec sa batterie Blade LFP de 18,3 kWh, le Jaecoo 7 SHS propose jusqu’à 90 km d’autonomie 100% électrique, idéale pour les trajets urbains du quotidien. Et quand il s’agit des voyages au long cours, les 60 litres du réservoir prennent le relais pour une autonomie cumulée annoncée de 1.300 km. Côté recharge, l’utilisateur a le choix entre courant alternatif 6,6 kW ou courant continu jusqu’à 40 kW, avec une charge de 30 à 80% réalisable en 20 minutes seulement. Mieux encore, la fonction V2L (Vehicle-to-Load) permet d’alimenter des appareils électriques externes jusqu’à 3,3 kW.
Tarif compétitif
En définitive, avec un prix de lancement fixé à 369.000 DH TTC (ou 374.000 DH avec toit noir), le Jaecoo 7 SHS joue la carte du haut-de-gamme rationnel. Il se positionne en face du BYD Seal U PHEV (proposé à partir de 359.900 DH), mais avec un format plus compact et une approche tout aussi technologique.
CFAO Mobility table aussi sur une garantie de 7 ans/200.000 km pour le véhicule (8 ans pour la batterie) et des entretiens espacés tous les 20.000 km. De quoi rassurer les acheteurs et inscrire ce modèle dans une stratégie durable.
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Kia Sportage 2025 : Plus charismatique
Avec un restylage audacieux, le Kia Sportage 2025 repart à l'assaut du segment des SUV compacts. Son design repensé rime avec des équipements modernisés. Tour d’horizon des changements les plus marquants.
Kia remet les pendules à l’heure avec un restylage profond pour son best-seller, le Sportage. Lancé en 2021, la cinquième génération du SUV compact sud-coréen s’offre aujourd’hui un sérieux coup de jeune pour continuer à jouer les premiers rôles face à des rivaux affûtés comme le Hyundai Tucson ou le Renault Austral. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce facelift ne passe pas inaperçu.
Un design qui bascule du côté électrique
Premier changement frappant, le Kia Sportage, millésime 2025, adopte une face avant entièrement repensée, empruntant certains codes esthétiques aux modèles électriques de la marque, à l’image du nouveau Kia EV3 qui vient de rafler le titre de Voiture Mondiale de l’Année 2025. Exit les feux diurnes en forme de boomerang, place à une signature lumineuse plus fluide, qui souligne la jonction entre le bouclier et les ailes.
La célèbre calandre « nez de tigre » adopte une forme plus rectangulaire, tandis que les boucliers avant et arrière sont redessinés avec davantage de volume et de caractère. À l’arrière, un bandeau noir plus imposante s’ntègre dans la poupe, et les feux se bonifient d’un nouveau graphisme interne. Pour parfaire cette mise à jour, des jantes spécifiques en alliage de 17, 18 et 19 pouces font leur apparition.
Côté mensurations, le Sportage gagne 1,5 cm pour atteindre désormais 4,54 m de long. Un allongement modeste, mais qui lui permet d’affirmer un peu plus sa prestance sur la route. En revanche, le volume du coffre reste inchangé, offrant entre 587 et 1 776 litres dans sa déclinaison hybride – l’une des plus généreuses du segment.
Modernité et raffinement
Le changement se poursuit à l’intérieur, où l’ambiance fait un bond en avant. La présentation intérieure gagne en modernité avec une planche de bord redessinée autour d’une double dalle digitale. Face au conducteur, le combiné d’instrumentation numérique de 10 pouces, se double d’un écran tactile central incurvé de 12,3 pouces, pour une ergonomie au goût du jour.
Les aérateurs, désormais intégrés dans un bandeau qui court sur toute la largeur, participent à une présentation plus épurée. Juste en dessous, les commandes de climatisation conservent des molettes physiques, un bon point pour l’intuitivité.
Entre le nouveau volant à deux branches et la console centrale, plusieurs commandes sont désormais dédiées aux aides à la conduite : maintien dans la voie, conduite semi-autonome de niveau 2, caméra 360°, chargeur à induction... L’équipement promet d’être au rendez-vous, même si le détail des finitions pour l’Europe – et à fortiori pour le Maroc – reste encore à préciser.
Diesel et hybride reconduits
Sous le capot pas de révolution ntables. Le bloc 1.6 CRDi Diesel mild-hybrid, proposé actuellement sur le marché marocain, poursuit sa carrière. Ce 4-cylindres de 136 ch s’associe à la boîte automatique à double embrayage à 7 rapports, connue pour sa douceur de fonctionnement. Résultat, la consommation tourne autour autour de 4,8 l/100 km, et les performances sont correctes avec une vitesse de pointe de 180 km/h.
Or, la chaîne de traction hybride a été légèrement dopée. Le moteur 1.6 turbo hybride, désormais disponible en deux ou quatre roues motrices, voit sa cavalerie combinée grimper de 210 à 239 chevaux. De quoi donner un petit coup de boost au Sportage, sans compromettre son efficience.
Au final,le Kia Sportage 2025 fera ses débuts en Europe au quatrième trimestre 2025. Sa commercialisation au Maroc devrait intervenir un peu plus tard. Mais une chose est sûre : avec ce restylage ambitieux, Kia entend bien consolider sa position sur un segment des SUV compacts plus disputé que jamais.
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Toyota RAV4 2026 : Tout change, sauf l’ADN
Entièrement repensé, le Toyota RAV4 s’apprête à entamer sa sixième génération avec un design modernisé, une technologie revue et une gamme désormais 100 % hybride. En attendant son arrivée prévue en 2026, le modèle actuel bénéficie de promos exclusives au Maroc. Décryptage.
Sorti en 2019 et restylé en 2021, le Toyota RAV4, cinquième du nom, tire sa révérence pour laisser place à une toute nouvelle génération. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce best-seller mondial n’a pas fait les choses à moitié. Avec plus de 15 millions d’unités écoulées depuis sa naissance en 1994, le SUV japonais revient aujourd’hui avec un tout nouveau visage.
Fidèle à son ADN, le nouveau RAV4 franchit une étape décisive : exit les motorisations thermiques traditionnelles, place à une gamme 100 % électrifiée, exclusivement hybride ou hybride rechargeable. C’est une excellente manière pour reprendre l’avantage dans un segment où la concurrence s’est musclée.
Car ces dernières années, le RAV4 a vu son statut de référence sérieusement challengé par une nouvelle génération de rivaux affûtés : Hyundai Tucson, Kia Sportage, Volkswagen Tiguan… Une concurrence de plus en plus agressive, y compris sur le marché marocain, où le modèle a marqué le pas. En 2024, seulement 467 unités ont trouvé preneur dans le Royaume, un chiffre en net recul pour un SUV pourtant emblématique. Face à cette érosion, Toyota riposte avec une sixième génération entièrement revisitée, qui mise sur un design plus affirmé et un arsenal technologique à jour.
Allure charismatique
Dès le premier regard, le nouveau RAV4 impose son caractère. S’il conserve globalement ses proportions, cette sixième génération revendique un style nettement plus affirmé. La face avant se distingue par des feux effilés, mais aussi par un capot au dessin parfaitement horizontal, surplombant une nouvelle calandre à motif nid d’abeille. Celle-ci est encadrée par des entrées d’air factices, intégrant astucieusement les antibrouillards. L’ensemble est renforcé par un bouclier redessiné et un logo central redimensionné.
Le profil est de même acabit avec des passages de roue anguleux soulignés par des arches marquées, ce qui lui procure une vraie prestance athlétique. Reposant sur des jantes de 19 ou 20 pouces selon les versions, et doté d’une garde au sol rehaussée de 20 mm, le nouveau RAV4 affiche une posture plus baroudeuse que jamais.
À l’arrière, la filiation avec le Land Cruiser se confirme. Le hayon reprend des codes similaires, notamment un bandeau noir laqué reliant les feux, tandis que le ski de protection contrasté vient dynamiser la poupe avec une touche à la fois robuste et élégante.
Plus accueillant
À bord, le nouveau RAV4 monte en gamme sans trahir sa vocation familiale. La planche de bord accueille désormais une dalle centrale tactile de 12,9 pouces, légèrement orientée vers le conducteur, pour un pilotage plus intuitif de l’infodivertissement. Idem pour le combiné numérique de 12,3 pouces qui défile l’ensemble des paramètres de conduite avec un graphisme haut en couleurs.
La qualité perçue n’est pas en reste avec des plastiques moussés qui s’étendent jusqu’aux contre-portes et la console centrale, tandis que la commande de boîte adopte un nouveau sélecteur compact, plus ergonomique.
Enfin, le confort à bord fait un bond en avant. Les nouveaux sièges avant, plus enveloppants, assurent un meilleur maintien sur les longs trajets, tandis que la banquette arrière séduit par sa générosité, aussi bien en garde au toit qu’en espace aux jambes. Bien en phase avec les attentes des familles, le volume du coffre atteint 585 litres, ce qui l’inscrit dans la moyenne supérieure du segment.
Finition GR Sport, une sportivité assumée
Pensée pour ceux qui veulent conjuguer SUV et sensations, la finition GR Sport pousse le curseur dynamique un cran plus loin. Ceci passe par des voies élargies de 20 mm totalement raccord avec des jantes en alliage spécifiques de 20 pouces. À l’intérieur, l’ambiance sportive est mise en valeur par des sièges en simili-cuir et daim, des touches rouges sur le volant, des pédaliers en aluminium et le logos GR rappellent l’ADN de Toyota en WRC et WEC.
Bientôt en Europe, en promo au Maroc
Le lancement de la sixième génération du Toyota RAV4 suivra un déploiement progressif sur le marché européen. La version hybride à deux roues motrices arrivera en concession au premier trimestre 2026, suivie quelques mois plus tard par la déclinaison AWD-i à transmission intégrale, puis par la version hybride rechargeable (PHEV).
En attendant cette nouvelle génération, le modèle actuel reste bien présent au Maroc, où il fait même l’objet de promotions attractives. La version d’entrée de gamme « Dynamic » bénéficie par exemple d’une remise pouvant atteindre 97.000 DH, ramenant son prix à 358.900 DH au lieu de 454.000 DH. Un bon plan pour qui souhaite profiter des qualités reconnues du RAV4 avant l’arrivée du prochain opus.
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Jeep Avenger 4xe 2025 : SUV hybrid 4x4 bientôt au Maroc
Cap sur Florence, puis direction les chemins escarpés de Toscane : c’est dans ce décor carte postale que nous avons pris le volant du tout nouveau Jeep Avenger 4xe. Plus qu'une simple déclinaison hybride, ce modèle marque le retour de la transmission intégrale dans la gamme, renouant ainsi avec l’ADN baroudeur de la marque américaine. Compact, intelligent et électrifié, ce petit SUV promet de conjuguer les plaisirs de la ville avec ceux de l’aventure. Mais avant de prendre le volant faisons ensemble un petit tour du propriétaire.
Un look musclé
Si l’Avenger classique joue la carte du style urbain, la version 4xe affiche d’emblée sa vocation plus robuste. Le badge bleu sur le hayon ne trompe pas : on a affaire à un Jeep qui n’a pas peur de s’aventurer hors des sentiers battus. Parmi les détails spécifiques à cette version à quatre roues motrices, on note le pare-chocs avant renforcé, les protections de soubassement, les nouveaux antibrouillards, le sticker mat anti-reflet sur le capot, les barres de toit fonctionnelles et un crochet de remorquage arrière bien visible.
Bien plus que de simples artifices esthétiques, ces équipements remplissent une véritable fonction. Le Jeep Avenger 4xe a été conçu pour s’aventurer en dehors de la ville, sans pour autant sacrifier sa maniabilité exemplaire en milieu urbain grâce à ses 4,09 m de long.
Une motorisation hybride bien pensée
C’est sous le capot que se cache l’une des principales nouveautés. Le Jeep Avenger 4xe adopte une motorisation 145 ch à hybridation légère à 48V, calquée sur celle de l’Alfa Romeo Junior Ibrida Q4. Le bloc essence trois-cylindres 1.2 PureTech développe 136 ch, auquel s’ajoute un premier moteur électrique intégré à la transmission e-DCS6 à double embrayage. Mais l’élément déterminant, c’est le second moteur électrique monté sur l’essieu arrière, qui permet une vraie transmission intégrale – une rareté dans ce segment.
Résultat : une consommation maîtrisée (5,4 l/100 km) et la possibilité de rouler ponctuellement en tout-électrique à basse vitesse, notamment lors des manœuvres ou en milieu urbain.
En ville comme en off-road
Sur les routes de Florence, le Jeep Avenger 4xe fait immédiatement valoir son agilité. Son format compact permet de se faufiler avec aisance, et sa boîte à double embrayage assure des transitions en douceur. C’est un SUV plaisant à conduire au quotidien, avec une direction précise et une belle réactivité.
Mais c’est lorsque l’asphalte laisse place aux pistes toscans que le 4xe dévoile toute sa personnalité. Grâce à sa transmission intégrale intelligente (activée automatiquement jusqu’à 90 km/h selon les conditions d’adhérence), à sa garde au sol de 21 cm et à des angles d’attaque supérieurs à la version deux roues motrices, ce petit gabarit s’autorise des escapades que bien d’autres SUV n’oseraient pas tenter.
Habitacle pratique
L’intérieur conserve la présentation des autres versions d’Avenger, avec quelques touches spécifiques comme les logos 4xe sur la planche de bord et la console centrale. Les sièges ont été repensés pour une meilleure résistance, avec des matériaux imperméables adaptés aux activités de plein air.
L’empattement de 2,56 m assure une habitabilité correcte aux places arrière, mais l’intégration du moteur électrique arrière réduit le volume de coffre à 325 litres, soit 55 litres de moins que les versions classiques. Un compromis à accepter pour bénéficier de la transmission intégrale.
Côté technologie, rien à redire : le combiné numérique de 10,25 pouces et l’écran tactile central de même taille offrent une interface intuitive, fluide et bien pensée.
Verdict Autonews
Avec ce 4xe, Jeep redonne des couleurs à son image de marque tout-terrain, sans pour autant renier les impératifs de l’ère hybride. Le pari semble réussi : l’Avenger 4xe combine efficacité en ville, sobriété à la pompe, et vraies aptitudes en tout-terrain.
Un SUV compact certes, mais au caractère bien trempé, qui parlera autant aux aventuriers urbains qu’aux amateurs de liberté. Sa commercialisation au Maroc est prévue à partir du 15 juin 2025, et il pourrait bien séduire une clientèle en quête d’un véhicule compact et polyvalent.
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