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Nouveautés Automobiles au Maroc
Nouveautés | Skoda Kodiaq 2.0 TDI 150 ch : Progrès notables
Le | Par Hicham Atabi
Le renouveau du Skoda Kodiaq rime avec un design plus expressif et des équipements sophistiqués.
Chez Skoda Maroc, les lancements de nouveaux modèles se suivent et ne se ressemblent pas. Après la commercialisation des Skoda Fabia, Scala et Kamiq, la marque tchèque dégaine le tout nouveau Skoda Kodiaq. Design extérieur empreint de robustesse, habitacle assez généreux pour embarquer jusqu’à 7 passagers, propulsion Diesel secondée par boîte automatique DSG, le Skoda Kodiaq ne fait plus dans la demi-mesure. Sa polyvalence évoluée est un véritable tour de force. Outre ses prestations d’un bon SUV à vocation familiale, ce baroudeur est armé d’une transmission à 4 roues motrices lui permettant de s’aventurer hors des sentiers battus.
Autant dire qu’il semble déterminé plus que jamais à racoler auprès des acheteurs de ses concurrents : Hyundai Santa-Fe, Kia Sorento, Peugeot 5008… Sauf que, le Kodiaq manque un peu de notoriété face à ces derniers… Mais une chose est sûre, sa nouvelle dotation en équipements sophistiqués, tout autant que son tarif bien étudié, favoriseraient à coup sûr sa position.
Gabarit imposant
Long de 4,75 m et large de 1,86 m, le nouveau Kodiaq prend de la stature. Les designers Skoda se sont littéralement surpassés pour lui donner une allure audacieuse. Plus affirmée, la face avant arbore les derniers codes stylistiques de la marque. Ceci passe par une calandre à contour chromé surplombant un bouclier massif flanqué d’une prise d’air avec grille en nid-d’abeilles.
Plus impressionnante encore, la finition la plus huppée, Sportline, se distingue par ses phares Matrix LED ainsi que par sa calandre noir brillant. Celle-ci est totalement raccord avec les rétroviseurs, les rails de toit et les jantes en aluminium de 19 pouces. Le design des projecteurs procure un look plus expressif au faciès.
Le profil, pour sa part, met en évidence le tempérament baroudeur de l’engin avec des bas de caisse et des passages de roue noirs. Idem pour la ceinture de caisse surélevée qui, s’étendant des phares avant jusqu’aux feux arrière, souligne le gabarit imposant de l’engin.
Bien dessiné, le bandeau lumineux reliant les feux arrière ajoute une touche d’élégance à la poupe, tandis que le pare-chocs noir renforce son aspect robuste.
Intérieur spacieux
Spacieux et confortable, le Skoda Kodiaq offre un niveau de bien-être respectable. A commencer par les sièges avant à réglage électrique et fonction mémoire, ce qui permet au conducteur de trouver la position de conduite idéale. Si les occupants de la banquette arrière se sentiront à l’aise dans des assises confortables, les occupants de la troisième rangée devront composer avec un espace plutôt réduit pour caser leurs jambes.
Pour ce qui est de l’agencement, le levier de vitesse a été repositionné plus proche du volant, optimisant ainsi l’ergonomie du poste de conduite. Face au conducteur, la dalle d’instrumentation numérique Virtual Cockpit défilant les paramètres de fonctionnement du véhicule, se double de l’écran tactile de 10 pouces qui permet de naviguer entre les fonctions d’infodivertissement.
Par ailleurs, le système Kessy Full permet un accès et un démarrage sans clé, tandis que le SmartLink avec Apple CarPlay et Android Auto sans fil assure une connectivité fluide.
Il faut aussi souligner que la dotation en système de sécurité et d’assistance à la conduite est remarquable : caméras panoramiques 360°, régulateur de vitesse adaptatif, assistance au stationnement… Sans oublier le Front Assist qui détecte les piétons et cyclistes lorsque le véhicule roule à faible vitesse, gage d’une protection optimale.
Moteur robuste
Sous le capot, le baroudeur tchèque abrite un seul moteur Diesel 2.0l TDI développant 150 ch pour un couple de 340 Nm. Ce 4-cylindres fait bon ménage avec la boîte automatique à 7 rapports, ce qui se traduit par une consommation moyenne de 6,6 litres/100 km. Les performances sont au rendez-vous avec une vitesse maximale de 194 km/h.
Au final, le Skoda Kodiaq marque une nouvelle étape dans la saga Skoda, compte tenu de ses progrès techniques et pratiques. Il est disponible à partir de 359 900 DH dans tous les showrooms Skoda au Maroc.
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Nouveautés | BMW Série 1 2025 : Evolution sans Révolution
Le | Par Hicham Atabi
Le renouveau de la BMW Série 1 réside dans son tempérament affirmé par l’adoption d’un châssis amélioré, mais aussi par une nouvelle gamme de motorisation à hybridation légère. Sauf que sur le marché marocain, elle reste fidèle au 2.0 litres Diesel 118d de 150 ch, qui animait la précédente génération.
Le segment des berlines compactes premium connaît une incomparable effervescence. A peine l’Audi A3 restylée est-elle lancée, que BMW Maroc réplique en commercialisant la toute nouvelle BMW Série 1. Ces deux modèles, qui se disputent âprement le leadership de cette catégorie, disposent de solides arguments pour séduire. Pour consolider sa position, la BMW Série 1, quatrième du nom, n’y va pas avec le dos de la cuillère.
Son style dynamique dans la continuité de l’ancien modèle revêt un réel changement. Idem pour son habitacle qui reçoit une interface numérique évoluée avec des fonctionnalités d’infodivertissement dernier cri; ou encore son agrément de conduite soigné par l’adoption de nouvelles aides à la conduite. Sans parler de sa plateforme revisitée, ce qui accentuera à coup sûr le plaisir au volant. Il est temps de faire le tour du propriétaire.
Allure plus dynamique
On ne change pas une recette qui plaît ! Sans trop bousculer les proportions dynamiques de la Série 1, les designers BMW ont réussi tout de même à lui offrir un nouveau visage. Plus basse que celle de sa devancière, la face avant se montre plus imposante. La calandre saillante vers l’avant, dont la structure de la grille est verticale, surplombe une large prise d’air. Livrés de série, les phares à LED intégrant les feux de jour et les clignotants, procurent à la nouvelle venue une belle identité visuelle. Reconnaissables par leur accent bleu, les projecteurs LED adaptatifs et directionnels, assortis de feux matriciels, sont disponibles de série sur la M Edition. Mais optionnels sur les autres finitions.
Le profil, pour sa part, se signale par son pare-brise incliné, sa ligne de toit légèrement prolongée par un becquet, ainsi que par ses bas de caisse bien marqués. L’entourage des vitres en noir brillant, lui aussi, est désormais livré de série. Pour améliorer ses caractéristiques aérodynamiques, la BMW Série 1 intègre des réflecteurs d’air verticaux, secondés par un imposant diffuseur d’air arrière. Et tant qu’on en parle, la poupe se distingue par des feux scindés en deux parties qui se prolongent dans les jupes latérales.
Outre les deux teintes unies et sept teintes métallisées, le catalogue de la Série 1 propose une large gamme de teintes issue du programme BMW Individual. Et si ce n’est pas assez, vous pouvez opter pour une teinte de toit noir contrastant, optionnelle.
Cachet typiquement BMW
Dès qu’on prend place à bord, on découvre une ambiance typiquement BMW. Les sièges avant étant bien rembourrés, ils offrent un excellent maintien latéral.
Mais le réglage électrique avec mémoire côté conducteur, n’est disponible que sur la finition M Edition.
A l’arrière, les passagers bénéficient d’un espace aux jambes et une garde au toit respectables. Rabattable et fractionnable (40/20/40), le dossier de la banquette donne la possibilité de moduler le volume du coffre de 380 à 1 200 litres.
Pour ce qui est de l’agencement, la planche de bord arbore un design délicat, en particulier la forme affinée des aérateurs. Ici, l’ergonomie est portée à son paroxysme avec une nouvelle interface numérique. Face au conducteur, le combiné d’instrumentation (10,25 pouces) défile l’essentiel des paramètres de fonctionnement du véhicule. Il est juxtaposé à l’écran central incurvé, livré de série, dont la diagonale atteint 10,7 pouces (10,3 sur l’ancienne génération). Du coup, le nombre de boutons et de commandes dans le cockpit a été considérablement réduit.
Autre amélioration et non des moindres, le sélecteur de vitesse plus discret permet de dégager de l’espace sur la console centrale… En revanche, les palettes de commande de la transmission automatique, placées derrière le volant M en cuir, sont spécifiques aux deux finitions Pack M et M Edition.
2.0 litres Diesel conservé
Sur le plan mécanique, la bavaroise offre le choix entre deux blocs Turbo TwinPower, gage d’un agrément moteur soigné. D’un côté, on retrouve la version BMW 118d équipée du 2.0 L Diesel qui développe 150 ch pour un couple de 360 Nm. Ce 4-cylindres autorise des accélérations de 0 à 100 km/h en 8,3 secondes, tout comme il revendique une vitesse maximale de 222 km/h. Sa consommation moyenne tourne autour de 4,9 l/100 km. De l’autre côté, il y a la version BMW 118i qui développe 156 ch. Les deux versions s’associent exclusivement à la boîte automatique à 7 rapports.
Si la finition d’entrée de gamme, Privilège, enfile des jantes en alliage léger de 17 pouces, son homologue la plus huppée, Pack M, adopte des jantes en alliage léger de 18 pouces. Tout comme elle se paye le luxe de proposer la Suspension Adaptative M permettant d’abaisser la hauteur de la caisse jusqu’à 8 millimètres, ce qui procure une conduite sportive incomparable. Des jantes en alliage léger jusqu’à 19 pouces et un système de freinage M Sport sont également disponibles en option.
Au final, le tarif de la finition la plus basique, BMW 118d Privilège, s’affiche à 387 000 DH, tandis que la finition intermédiaire, BMW 118d Pack M, se négocie à partir de 438 000 DH.Pour ne rien dire de la finition haut de gamme, BMW 118d M Edition, qui réclame 468 000 DH. Sans compter les options, bien sûr !
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Nouveautés | Toyota Land Cruiser Prado 2024 : Prix dissuasifs
Le | Par Hicham Atabi
Très attendu par les acheteurs des tout-terrain purs et durs, le Toyota Land Cruiser Prado opère un retour spectaculaire sur le marché marocain. Le légendaire baroudeur nippon a fait l’objet de nombreuses améliorations techniques, mais il conserve son bon vieux Diesel 2.8 de 204 ch. Or, son tarif suscite stupeur et étonnement. Revue de détail.
Aussi solide qu’increvable, le Toyota Land Cruiser détient l’un des records de longévité automobile les plus impressionnants. Couronné de succès, le Prado s’est vendu, même bien vendu, à plus de 11 millions dans plus de 170 pays. Ce record, il le doit avant tout à sa capacité de se réinventer au fil des générations.
Le Land Cruiser Prado, millésime 2024, perpétuera à coup sûr cette tradition, à la faveur de sa nouvelle plateforme GA-F. Fiable et robuste, cette dernière lui permet de franchir les obstacles en tout-terrain. Mais aussi d’assurer une tenue de route saine sur la chaussée. En même temps, cette nouvelle génération du Toyota Land Cruiser Prado adopte des aides à la conduite dans l’air du temps, conjuguées à des évolutions notables en matière de confort et de connectivité. Le tour du propriétaire fait forte impression.
Carrosserie efficace
Trapue et racée, la silhouette du Prado 2024 est inspirée des premières itérations du Land Cruiser, notamment les séries 40 et 70. Sa face avant est immédiatement reconnaissable par le logo Toyota flanqué sur la calandre. Mais aussi par les phares LED parfaitement intégrés et un capot surélevé, ce qui permet de mieux dominer la route.
Comparativement à son prédécesseur, le nouveau venu se signale également par son profil athlétique, marqué par des porte-à-faux plus courts, des angles sculptés et des bas de caisse rapetissés.
Pas de changements notables sur la partie latérale qui conserve les lignes horizontales de son prédécesseur. Bonne nouvelle, toutes les pièces de la carrosserie ont été conçues avec des surfaces plates, afin de les remplacer facilement en cas d’endommagement.
Ergonomie remarquable
A bord, la montée en gamme est bien palpable, en vertu des revêtements plus qualitatifs et d’une finition soignée. L’habitacle du nouveau Land Cruiser Prado se distingue également par son ergonomie remarquable, pensée pour offrir un bon confort même sur les terrains accidentés. Ceci passe par des sièges, chauffants et ventilés, facilement ajustables pour offrir un bon soutien latéral. Mais aussi par une console centrale qui, équipée d’un écran tactile HD, regroupe toutes les commandes à portée de main. Sans oublier le combiné d’instrumentation numérique qui offre une lisibilité impeccable, quelles que soient les conditions de la route. A l’instar de son prédécesseur, le nouveau venu peut embarquer jusqu’à sept passagers. Or, le coffre étant plus modulable, son volume s’adapte en fonction des objets à charger.
Consommation gargantuesque
Sous le capot, l’aventurier japonais abrite le bloc turbo Diesel 2,8 litres développant 204 ch pour un couple de 500 Nm. Ce 4-cylindres s’accompagne de la boîte automatique Direct Shift à huit rapports, ce qui assure des performances plutôt timides : la vitesse maximale ne dépasse guère 165 km/h. En revanche, la sobriété n’est pas au rendez-vous avec une consommation moyenne qui grimpe à 8,4 litres/100 km. En ville, elle devrait être astronomique, mais Toyota du Maroc a omis de la mentionner sur la fiche technique. En guise de consolation, le nouveau Prado revendique une capacité de remorquage herculéenne, lui permettant de tracter des charges allant jusqu’à 3 500 kg.
Selon le communiqué de presse, ce tout-terrain est facile à manœuvrer et fait preuve d’agilité sur la route. Cette qualité, il la doit probablement à la rigidité renforcée (+30%) de son châssis et, surtout, à l’optimisation de sa suspension.
Pour ce qui est des aides à la conduite en hors-piste, le Land Cruiser Prado 2024 intègre le système Multi-Terrain Select, qui ajuste automatiquement la traction et le freinage selon le terrain (boue, sable, roches, neige profonde). Tout comme il bénéficie du Crawl Control qui donne la possibilité de traverser les ornières et les passages en devers sans effort, laissant ainsi le conducteur se concentrer sur la direction.
Facture salée
Toutes ces améliorations sont les bienvenues. Mais de là à réclamer un tarif de 723 000 DH pour la finition la plus basique, Toyota Land Cruiser Prado Explorer, ne manquera pas de faire grincer les dents de ses nombreux adeptes.
Pour info, la finition intermédiaire, Adventure, s’affiche à 817 000 DH, tandis que la finition haut de gamme, Ultimate, culmine à 921 000 DH. En guise de compensation, sachez que Toyota Maroc fait preuve de générosité et accorde une remise d’environ 20 000 DH, en tant que promo de lancement.
https://www.youtube.com/watch?v=iOcQ6a87yHk&t=4s
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Nouveautés | Audi A3 35 TDI Sportback et Berline : Evolution En douceur
Le | Par Hicham Atabi
La quatrième génération de l’Audi A3 Sportback a fait l’objet d’une légère cure de jouvence, histoire de reconquérir la sympathie des passionnés de berlines compactes. Tour d’horizon des changements les plus marquants.
Lancée en 2020, la quatrième génération de l’Audi A3 n’a pas connu le succès escompté en raison des aléas de la pandémie et tous les tracas qui s’en sont suivis (logistiques, approvisionnement en semi-conducteurs…). Quatre ans plus tard, Audi Maroc remet les petits plats dans les grands et relance les versions restylées de l’Audi A3 Sportback et Audi A3 berline. Sans surprise, l’opération de lifting apporte son petit lot de changements stylistiques et techniques, histoire de séduire les acheteurs de berlines compactes. Et en même temps de barrer la route à son éternelle rivale la BMW Série 1 qui opère un retour spectaculaire sur le marché marocain.
Changements discrets
Noter la différence entre la nouvelle venue et l’ancienne Audi A3 Sportback, relève du jeu des sept erreurs. A l’avant, le bouclier entièrement redessiné, adopte des prises d’air latérales surdimensionnées. Idem pour la large calandre sans contour qui domine le faciès, ou encore les feux de jour dotés de quatre signatures lumineuses différentes. La compacte allemande joue également la carte du dynamisme en intégrant un petit aileron sur la partie basse du bouclier.
L’impression de dynamisme est encore plus palpable à l’arrière avec un diffuseur spécifique inspiré des modèles RS. Son design progressif est particulièrement notable sur la finition S Line, dont les nouvelles teintes métallisées Vert District et Rouge Progressif accentuent la sportivité de l’engin. Passons maintenant à l’intérieur.
Ambiance chic et élégante
Totalement raccord avec le style extérieur, le traitement de la partie intérieure recèle des évolutions discrètes, mais qui revêtent une tendance actuelle. Du levier de vitesse compact aux sorties d’aération parées de tissu, en passant par les éclairages d’ambiance, tout évoque la modernité.
Bénéficiant d’un nouvel effet de finition, la console centrale adopte un accoudoir réglable en longueur et en inclinaison, tout comme elle comporte deux porte-gobelets. Il faut souligner que cet intérieur chic et élégant est rehaussé d’un éclairage d’ambiance, livré de série, mettant en valeur les portières et l’espace pour les pieds. Or, celui entourant les seuils de porte et l’écran MMI, reste optionnel !
Sur le registre de la connectivité, outre le combiné d’instrumentation Virtual Cockpit qui défile les paramètres de fonctionnement du véhicule, l’écran tactile (10,1 pouces) donne la possibilité de piloter la plupart des fonctions d’infodivertissement.
Sécurité renforcée
La sécurité n’est pas en reste avec l’«Audi Pre-Sens Front» qui, comme son nom l’indique, permet d’éviter les chocs frontaux, notamment en ville lorsque le véhicule roule à faible vitesse. Pour ce qui est des assistants électroniques à la conduite, l’Audi A3 se bonifie de l’aide au changement de direction, ainsi que du système d’alerte de franchissement de ligne. Il s’agit d’un dispositif qui gère l’accélération, le freinage et la direction à des vitesses allant jusqu’à 210 km/h, et aide également pour le changement de voie à des vitesses supérieures à 90 km/h sur autoroute. Et puis, ceux qui peinent à stationner leur véhicule dans des emplacements étroits apprécieront à coup sûr le système «Park Assist Plus». En deux temps trois mouvements, celui-ci aide le conducteur à se garer et à sortir d’une place de parking en effectuant des manœuvres de direction ciblées. Il faut souligner que la plupart de ces systèmes utilisent des radars évolués, ce qui procure un sentiment de sécurité et de confort accrus.
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les prix et les équipements de Audi A3 Sportaback
Proposée en quatre finitions (Dynamic, Emotion, Performance et S-Line), l’Audi A3 35 TDI, millésime 2024, est animée du Diesel 2.0 litres TDI qui développe 150 ch pour un couple de 360 Nm. Ce 4-cylindres s’accompagne exclusivement de la boîte automatique S-Tronic à double embrayage, et 7 rapports.
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les prix et les équipements de Audi A3 Berline
Disponible dans tous les showrooms de la marque aux anneaux, la finition de base, Audi A3 Sportback 35 TDI Dynamic, s’affiche au prix de 370 000 DH. La version berline, quant à elle, se négocie à partir de 386 000 DH. Si vous optez pour la finition haut de gamme, Audi A3 Sportback 35 TDI S-Line, vous devrez vous acquitter de la somme rondelette de 503 000 DH (la berline en finition S-Line réclame 540 000 DH).
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Nouveautés | Renault Kangoo : Montée en gamme
Le | Par Hicham Atabi
Le renouveau du Renault Kangoo réside dans son design extérieur revisité, sa polyvalence accrue et, surtout, dans le traitement de son espace intérieur rehaussé d’une belle modularité. Mais à quel prix !
Avec la relance du nouveau Kangoo, troisième du nom, Renault Maroc remet le couvert dans le segment des ludospaces. En ce sens que son arrivée consolidera à coup sûr l’indéniable succès rencontré par l’actuel Renault Express. Sur un total de 18 000 ludospaces commercialisés au Maroc, en 2023, ce dernier détient 13% de parts de marché. Dès lors, on peut dire que la marque au «Losange» est bien partie pour régner sans partage sur cette catégorie de véhicules prisée à la fois par les artisans, les professionnels du transport ainsi que par de nombreux particuliers.
Mission honorable
Joindre l’utile à l’agréable, telle a été la première mission du nouveau Kangoo lors du premier jour de son lancement sur le marché national. Ce véhicule a servi pour transporter un don offert par Renault Maroc à l’Association marocaine de l’écoute et du développement, sise à Aïn Sebaâ, qui s’occupe des enfants atteints de handicap d’autisme. Cette belle action RSE (Responsabilité sociale de l’entreprise) consistait en la livraison de plusieurs produits de première nécessité, des appareils électroménagers, des fournitures scolaires… Des choses somme toute indispensables qui réconforteront un tant soit peu de nombreux enfants. C’était donc dans cette ambiance empreinte de valeurs de partage et d’humanisme que nous avons pu tester le nouveau Kangoo.
Apparence robuste
Sur le plan esthétique, le nouveau Kangoo assume pleinement son rôle de ludospace. Aux rondeurs un peu marquées de son prédécesseur, il préfère une stature plutôt svelte rythmée par des lignes épurées et des surfaces lisses.
Robuste, la partie avant interpelle par sa calandre imposante encadrée par de larges optiques, et surmontée d’un capot nervuré. Idem pour le bouclier avant qui, accueillant les antibrouillards sur les côtés, est flanqué d’une entrée d’air surdimensionnée. Contrastant avec le reste de la carrosserie, les skis de protection, à l’avant comme à l’arrière, accentuent la robustesse de l’auto.
La partie arrière, quant à elle, se signale par un nouveau becquet de toit, surplombant le hayon du coffre.
Le profil, en revanche, se distingue par de larges surfaces vitrées, inondant l’intérieur de lumière. Mais aussi par des barres de toit innovantes, livrées de série, qui permettent de passer d’une position longitudinale à une position transversale, pouvant transporter jusqu’à 80 kg. L’aspect pratique s’accentue au niveau des portières avant, dont l’ouverture de 90° permet d’accéder à bord sans avoir à se contorsionner. Idem à l’arrière où l’accès est facilité par la large ouverture (615 mm) des portes latérales coulissantes… Outre la praticité, le Kangoo propose un habitacle bien plus spacieux que celui de la plupart de ses concurrents.
Modularité à la carte
La modularité est le maître mot à bord. Rabattre le dossier de la banquette arrière et escamoter le siège passager avant, donne la possibilité de dupliquer le volume du coffre (775 à 3 500 litres). Sans oublier les 49 litres supplémentaires des espaces de rangement disséminés çà et là dans l’habitacle.
L’ambiance intérieure est plus sereine et gagne en qualité. Ceci passe par une nouvelle planche de bord intégrant un bandeau couleur bois sombre brossé, rehaussé d’inserts chromés.
Pour ce qui est des équipements, le catalogue du Kangoo propose deux finitions. Proposée à partir de 249 000 DH, la finition de base «Equilibre» offre à la clé : rétro intérieur électrochromatique, climatisation manuelle, radar de recul avec caméra, écran tactile 8’’ avec interface multimédia Easy Link compatible avec Android Auto et Apple CarPlay et jantes aluminium de 17 pouces. Facturée 304 000 DH, la finition la plus huppée «Techno» ajoute son petit lot de raffinements : phares Full LED, chargeur de smartphone par induction, climatisation automatique, frein de parking électrique, carte d’accès et de démarrage mains libres et rétroviseurs rabattables électriquement.
Diesel efficace
Sous son capot, le nouveau venu abrite le Diesel 1.5 litre Blue dCi développant 115 ch. Ce 4-cylindres s’accompagne, au choix, de la boîte manuelle à 6 rapports ou de la transmission automatique (EDC) à double embrayage et 7 rapports. Dans les deux configurations, la sobriété est au rendez-vous avec une consommation mixte de 4,9 litres/100 km. Grâce au sélecteur de mode de conduite, le conducteur peut activer la cadence en fonction des conditions de la route : Normal, Eco et Perf. A noter que la commercialisation du Kangoo 100% électrique interviendra, en 2025.
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les prix et les équipements de Renault Kangoo
En résumé, à défaut de s’afficher à un prix accessible, le nouveau Kangoo propose des équipements dernier cri, conjugués à un confort bien supérieur à celui de l’Express (facturé à partir de 179 900 DH). Avec ce double positionnement sur le segment des ludospaces, Renault Maroc tente de ratisser large pour répondre à tous les budgets.
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Nouveautés | Q6 e-tron Sportback : Autonomie et bien plus si affinités
Le | Par Hicham Atabi
«Toujours plus de SUV Sportback dotés de propulsion électrique», telle est la devise de la marque aux anneaux qui propose une nouvelle déclinaison plutôt aérienne de l’Audi Q6 e-tron.
Dévoilée au Mondial de Paris 2024, l’Audi Q6 e-tron Sportback arbore une ligne à couper le souffle et promet une autonomie de 650 km. De prime abord, cette déclinaison reprend le style extérieur du SUV hyponyme, notamment le dessin de la calandre Singleframe taillée d’un seul tenant, reliée à une signature lumineuse personnalisable. Mais elle s’en distingue par sa ligne de toit fuyant vers l’arrière et sa silhouette très aérienne. Vitres basses, pare-brise et lunette arrière très inclinés, long capot. Quelle allure !
Silhouette aérienne
Long de 4,77 m et large de 1,96 m, le nouveau venu conserve à l’identique les mensurations du SUV dont il est dérivé, mais sa hauteur a été revue à la baisse (-3,5 cm). Sa résistance à l’air restreinte implique un coefficient de trainée aérodynamique (Cx) réduit (0,26 au lieu de 0,28 sur le modèle standard), ce qui contribue à l’efficacité énergétique. Sur le papier, l’autonomie de la version Performance, développant 306 ch et alimentée par la batterie 94,9 kWh, peut dépasser 650 km, en cycle mixte WLTP. Rien d’étonnant s’il offre 100 km d’autonomie supplémentaires, par rapport au SUV standard.
Bien qu’elle soit moins haute, la version Sportback n’en demeure pas moins accueillante. Idem pour sa capacité de chargement avec un coffre généreux de 511 litres, secondé par un espace de rangement (61 litres) dissimulé sous le capot avant.
Autonomie remarquable
A son lancement, l’Audi Q6 e-tron Sportback sera propulsée par le moteur 251 ch. Alimentée par une batterie de 83 kWh, son autonomie atteint 545 km. Outre la version Performance citée plus haut, ce modèle sera disponible en deux versions plus puissantes, à savoir Quattro (387 ch) et SQ6 (489 ch), qui disposeront d’une transmission intégrale. Pour ce qui est des performances, la vitesse absolue de toutes ces variantes est bridée à 210 km, excepté celle de la SQ6 qui culmine à 230 km. Cette dernière revendique également des accélérations dignes d’une belle sportive : le 0 à 100 km/h est expédié en 4,3 secondes.
Reposant sur la plateforme PPE inaugurée par le Porsche Macan, l’Audi Q6 e-tron Sportback est doté d’une architecture autorisant la puissance de charge de 270 kW sur une borne (DC) à courant continu. Résultat : la récupération de 255 km d’autonomie s’effectue en seulement 10 min, tandis que la recharge de la batterie de 10 à 80% ne nécessite que 21 minutes. Or, sur une prise domestique (AC) à courant alternatif, la durée est bien moins impressionnante. Au final, le nouveau Q6 e-tron Sportback sera disponible à la commande, en Europe, à partir de novembre, à un tarif d’attaque de 800 000 DH.
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Nouveautés | Peugeot E-408 : Le félin électrisant
Le | Par Hicham Atabi
Bien sapée, la silhouette de la nouvelle Peugeot E-408 rime avec une motorisation 100% électrique et des systèmes numériques ultra-modernes.
Après le lancement de la Peugeot 408 hybride rechargeable en 2022, la marque au lion récidive en dévoilant sa déclinaison 100% électrique au Salon de Paris 2024. Ce modèle concilie l’efficience aérodynamique d’une carrosserie fastback et le plaisir de conduire boosté par une cavalerie de 210 ch. Son design sophistiqué, est mis en valeur par une posture féline rythmée par des lignes dynamiques.
Elle sort ses griffes
Le regard félin de la Peugeot E-408 est rehaussé par des projecteurs Matrix LED, reliés à une signature lumineuse sous forme de crocs. En vertu de sa couleur caisse, la calandre fusionne complètement dans le volume général du pare-chocs.
Le profil, pour sa part, se signale par des passages de roue bien marqués et des bas de caisse élargis. Mais aussi par des jantes spécifiques de 19 pouces, chaussées de pneus à très basse résistance.
A l’arrière, on retrouve les trois griffes à LED inclinées qui procurent un zest de dynamisme. Cette sensation est d’autant plus accentuée par le traitement bien marqué des surfaces, en particulier le volet du coffre et les ailes, ce qui crée un véritable jeu d’ombre et de lumière.
Numérisation en marche
L’ambiance intérieure est axée sur la digitalisation avec un écran d’infodivertissement (10 pouces), permettant de piloter l’interface i-Connect Advanced, livrée de série. Qui plus est, cette nouvelle itération intègre la fonction ChatGPT qui, activée via la commande vocale, donne des renseignements sur le parcours ou génère des quiz pour occuper les enfants…
Pour ce qui est du confort, les sièges avant ont obtenu le label AGR (Aktion für Gesunder Rücken) attribué par une association allemande indépendante d’experts de l’ergonomie et de la santé du dos. Réglables électriquement selon 10 voies, ces derniers sont dotés de la fonction massage. Outre les espaces de rangement disséminés dans l’habitacle, le coffre offre un volume de 471 litres, extensible à 1 545 litres lorsque le dossier de la banquette est rabattu.
Autonomie respectable
Question électrification, son moteur qui développe 210 ch pour un couple de 345 Nm, est alimenté par une batterie de 58,2 kWh, ce qui permet à la Peugeot E-408 de revendiquer une autonomie de 453 km, en cycle mixte WLTP. A l’aide des palettes situées derrière le volant, le conducteur peut activer le freinage régénératif selon 3 niveaux, ce qui permet de contribuer à l’autonomie de l’engin. Si la recharge complète de la batterie s’effectue en 7h 05 min sur une prise domestique (8A), la même opération ne nécessite que 1h 40 min sur une Wall Box 7,4 kW.
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Nouveautés | Dacia Bigster : Montée en gamme
Le | Par Hicham Atabi
Plus grand, plus spacieux et mieux équipé que le Duster dont il s’inspire, le Bigster marque une réelle montée en gamme. Est-ce un tournant dans la stratégie de la marque roumaine en matière d’offre produit ?
Sur le stand Dacia au Mondial de Paris 2024, le Bigster se dévoile fièrement sous les feux de la rampe. Sa silhouette sculpturale et ses proportions bodybuildées ont littéralement captivé les observateurs. Il faut avouer que la marque roumaine a franchi un cap dans son offre produit en proposant un SUV de grande taille, aussi raffiné que confortable. Ce repositionnement est probablement soutenu par les bons résultats commerciaux des modèles Dacia qui se vendent bien, même très bien, un peu partout dans le monde, y compris au Maroc où la marque occupe la première marche du podium. Le nouveau Bigster incarne quantitativement et qualitativement cette montée en gamme.
Plus long de 23 cm que le Duster, le Bigster s’annonce aussi pratique pour l’utilisation quotidienne que pour les voyages au long cours. Cette belle polyvalence est rehaussée par une motorisation hybride sobre à l’usage, mais aussi par un tarif d’attaque plutôt accessible qui devrait tourner autour de 280 000 DH.
Baroudeur attitré
Sur le plan esthétique, les designers maison n’y sont pas allés par quatre chemins. Le Bigster reprend l’essentiel des attributs stylistiques de la gamme Dacia. La sensation de robustesse s’accentue avec une face avant massive, flanquée d’une large calandre brillante. La signature lumineuse en Y est raccord avec le capot moteur sculpté. Des éléments graphiques sur les portes avant et sur la plaque d’immatriculation arrière, apportent une touche d’élégance à l’ensemble.
Le Bigster est taillé pour s’aventurer hors des sentiers battus, comme en témoignent les skis de protection avant et arrière teintés dans la masse, ainsi que la garniture en plastique sur les flancs et les passages de roue. Si les jantes en alliage de 17 ou 18 pouces, sont livrés en série, celles de 19 pouces sont optionnelles. Les clients peuvent même opter pour une couleur carrosserie bi-ton, dont le toit noir soulignant harmonieusement les lignes.
Le confort d’abord
A l’intérieur, la planche de bord verticale accroît la sensation de l’espace. Ici, les informations liées à la conduite s’affichent sur l’écran d’instrumentation numérique de 7’’ ou 10’’, selon les finitions. Or, les fonctions multimédia sont activées par l’interface tactile de 10.1’’. Les deux écrans sont reliés par un trait de couleur verte, ce qui favorise leur intégration visuelle.
Trois types de consoles centrales sont proposés : basse, intermédiaire ou haute. Outre un accoudoir avec compartiment réfrigéré, cette dernière intègre un chargeur de smartphone par induction.
Le nouveau SUV familial de Dacia offre la garde au toit la plus généreuse du segment, gage d’un bon confort lors des longs trajets. Les deux passagers des places latérales arrière se sentiront à l’aise, en abaissant le dossier du siège central doté de porte-gobelets et de supports pour smartphones. Pour le reste, le volume du coffre atteint 667 litres, ce qui le situe au-dessus de ses concurrents.
Chaîne de traction hybride
Sur le plan mécanique, le Bigster fait l’impasse sur le Diesel, et propose un bloc hybride de 155 ch. Associant un 4-cylindres essence 1,8 litre de 107 ch à deux moteurs électriques, l’ensemble est alimenté par une batterie de 1,4 kWh. Dans le catalogue, on trouve également le bloc essence 1,2 litre turbocompressé développant 140 ch, à hybridation légère 48V et boîte de vitesses manuelle à six rapports.
Enfin, les passionnés des escapades hors des sentiers battus apprécieront la version à quatre roues motrices, dont la transmission intégrale permanente s’adapte aux différents modes de conduite.
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Nouveautés | Renault 4 E-Tech : Renaissance d’une icône
Le | Par Hicham Atabi
Adulée par des millions d’automobilistes, la Renault 4, produite de 1961 à 1992, reprend vie aujourd’hui. Et elle le fait de belle manière en adoptant une motorisation 100% électriques et des systèmes électronique dernier cri. Revival !
La dernière édition du Mondial de l’Automobile de Paris, qui a ouvert ses portes du 14 au 20 octobre, a constitué une belle vitrine pour de nombreux constructeurs automobiles. C’est le cas de Renault qui a dévoilé trois modèles 100% électriques, à savoir les nouvelles Twingo E-Tech, R5 E-Tech (page XX) et, surtout, la R4 E-Tech. Sous la houlette de Luca De Meo, DG de Renault Group, le renouveau du «Losange» s’inscrit dans la tendance nostalgique visant à redonner vie aux modèles iconiques ayant marqué l’histoire de la marque Renault. Les designers se sont littéralement surpassés pour conserver leur originalité, quand bien même les contraintes actuelles liées à l’électrification et à l’aérodynamisme ne facilitaient pas la tâche.
Originalité conservée
Totalement inédite, la Renault 4 se réinvente aujourd’hui pour écrire une nouvelle page de son histoire. Inspirée de la R4 originelle, ce nouvel opus électrisant lui en reprend les mêmes proportions, mais aussi un bon nombre d’éléments stylistiques. Or, la R4 des temps modernes quitte le segment des citadines pour rejoindre celui des SUV urbains, comme en témoigne ses passages de roues teintes en noir, des barres de toit bien marqués, ainsi qu’une garde au sol surélevée. Ajoutez à ce déguisement des roues de 18 pouces, livrés de série, et vous obtenez un baroudeur prêt à en découdre avec la jungle urbaine. Mais une chose est sûre, les attributs stylistiques de la nouvelle R4 font référence au passé. Ceci passe par un capot plat, une calandre rectangulaire cerclée d’un jonc lumineux et flanqué du losange éclairé au milieu, les feux circulaires à l’avant et verticaux à l’arrière, la forme de la vitre de custode. Plus insolite encore, on retrouve même les protections rainurées en plastique au bas des portières.
Plus grande
Reposant sur la plate-forme AmpR Small, la nouvelle venue revoit ses mensurations à la hausse avec une longueur qui pointe à 4,14 m. Résultat, la longueur de l’empattement, tout autant que le volume du coffre (420 litres), en ressortent grands gagnants. Doté d’un hayon électrique, ce dernier dispose d’un seuil très bas, ce qui facilite l’opération de chargement et de déchargement des bagages.
Par ailleurs, l’accès à bord devient plus aisé grâce à la large ouverture des portières. Si les passagers avant se sentiront à l’aise dans des sièges enveloppant, leurs homologues de la banquette arrière se sentiront un peu à l’étroit, en particulier l’occupant de la place centrale.
Personnalisation à profusion
Pour ce qui est de l’aménagement intérieur, la nouvelle venue adopte la même planche de bord que la sœurette R5. Ici, l’expérience optico-tactile est édifiante avec deux écrans juxtaposés de 10,1 pouces chacun. L’interface openR Link avec Google, donne la possibilité de piloter les fonctions d’infodivertissement, y compris le planificateur d’itinéraire de la navigation GPS.
La personnalisation de l’ambiance est illimitée avec des accessoire vintage, tels que les autocollants, stick de commande de la boîte, couvercles de rangement, et l’incontournable panier à pain en osier.
Autonomie à la carte
Question motorisation, le nouveau SUV Renault se décline en deux versions électrifiées. D’une part, on trouve la version 120 ch alimentée par une batterie de 40 kWh, ce qui offre l’autonomie de 300 km. De l’autre, la version 450 ch, alimentée par la batterie de 52 kWh, revendique une autonomie de 400 km. Pour les deux, le chargeur domestique (AC) de 11 kW est livré de série. En revanche, la puissance du chargeur rapide (DC) atteint 80 kW pour la petite batterie, et 100 kW pour la grande.
A la fois nostalgique et captivante, la R4 des temps modernes sera disponible, en Europe, à la fin du premier semestre 2025, à un tarif d’attaque d’environ 300 000 DH.
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Nouveautés | Audi Q7 - Q8 Hybride Rechargeable : Le plumage et le ramage
Le | Par Hicham Atabi
La marque aux anneaux réalise en tire groupé en commercialisant trois nouveaux modèles, à savoir la citadine A1 et les SUV hybrides rechargeables Q7 55 TFSI et Q8 55 TFSI.
Audi Q7 Hybride Rechargeable
L’Audi Q7 s’offre une belle cure de jouvence en adoptant un design affermi et des équipement évolués. La face avant reçoit des phares HD Matrix LED assortis d’un faisceau laser. Ces blocs optiques sont soulignés de feux diurnes dont la signature lumineuse est personnalisable.
A l’arrière, les nouveaux feux OLED numérique qui font leur apparition, sont différentiables selon quatre graphismes. Le profil, lui, n’a pas fait l’objet de modifications, mais s’agrémente de nouvelles jantes à 5 branches de 21 pouces.
Même constat à l’intérieur où l’on distingue de nouvelles surpiqures sur les sièges, pas plus. Mais les changements il faut les chercher ailleurs, sous le capot par exemple.
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les prix et les équipements de l'Audi Q7 Hybride rechargeable
Le Q7 accueille une nouvelle chaîne de traction hybride rechargeable, composée d’un 6-cylindres en V de 3.0 litres de cylindrée, et d’un module électrique alimenté par une batterie lithium de 25,9 kWh. Au total, la puissance atteint 394 ch et le couple grimpe à 600 Nm. L’ensemble fait bon ménage avec la transmission automatique Tiptronic à 8 rapports, secondé par la transmission intégrale Quattro.
L’autonomie étant de 89 kilomètres en zones urbaines, la recharge de la batterie s’effectue en 3h 45 min sur une borne à courant continue. Plus sobre et mieux stylé, l’Audi Q8 55 TFSI Hybrid Rechargeable n’en demeure pas moins cher. Son tarif d’attaque se négocie à partir de 1,2 Millions de DH.
Audi Q8 Hybrid Rechargeable
Le restylage de l’Audi Q8 apporte son petit lot de changements esthétique, mais aussi une nouvelle propulsion hybride recharge plutôt sobre et efficace à l’usage. Noter la différence entre le précédent modèle, introduit au Maroc en 2019, et le nouveau venu relève du jeu des sept erreurs.
La face avant se distingue néanmoins par sa calandre Singlefrane assortie d’une nouvelle grille, mais aussi par son bouclier redessiné avec des entrée d’air latérales surdimensionnées. Imposant, les blocs optique HD Matrix LED se bonifie d’un puissant laser améliorant considérablement la portée de l’éclairage sur route. Ils sont surmontés de feux de jours offrant le choix entre 4 signatures lumineuses. L’arrière est de même acabit avec des changements discrets, sinon les l’apparition de feux OLED proposés avec 4 graphismes différents.
Les évolutions intérieures sont, elle aussi, discrètes. Outre les quelques touches décoratives placées ça et là dans l’habitacle, des surpiqures embellissent les sièges. Très bien rembourrés, ces derniers offrent un excellent maintien quelles que soient les conditions du roulage.
Sous le capot, l’Audi Q8 abrite une propulsion hybride rechargeable qui équipe les deux finitions Hybrid S et Hybrid Signature. Développant une cavalerie de 395 ch et un couple de 600 Nm, le bolide allemand revendique des performances respectables : le 0 à 100 km/h est abattu en 5,7 secondes et la vitesse de pointe atteint 240 km/h. Autorisant une autonomie de 75 à 85 km, en fonction des conditions et du mode de conduite, la batterie se recharge en 2h 30 min sur une borne à courant continu. Le tarif du Q8 55 TFSI Hybrid Rechargeable s’affiche à 1,28 Millions de DH, sans compter les options.
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