Mon compte autonews


Matchs | Comparatifs Automobiles au Maroc

Toyota c rh hyundai kona maroc autonews 245
Nouveautés,Matchs | Comparatifs | Comparatif - Hyundai Kona vs Toyota C-HR - Auto-Moto 29/1/2023
Le  | Par Hicham Atabi
La Guerre des boutons Les deux SUV citadins, Toyota C-HR et Hyundai Kona, sont très en vogue sur notre marché, et visent la même clientèle. Or, leurs prestations et leur positionnement tarifaire sont différents. Nous allons les comparer pour comprendre laquelle des deux prétendantes correspond le mieux aux aspirations des acheteurs. Verdict. Plus que jamais, les SUV rencontrent un succès phénoménal sur notre marché. Et il en existe à tous les goûts et tous les budgets : les trop chers mastodontes, qui offrent un raffinement de classe, tels que les BMW X5, Audi Q8 et Porsche Cayenne; les SUV compacts, comme les Volkswagen Tiguan, Peugeot 3008 ou encore Kia Sportage qui sont dotés d’une belle polyvalence aussi bien pour l’utilisation quotidienne que pour les loisirs. Mais il existe aussi les petits SUV, pratiques en ville, compte tenu de leur gabarit réduit et de leur agilité impeccable. Dans le lot de cette dernière catégorie, la Toyota C-HR et la Hyundai Kona excellent sur plusieurs registres. A commencer par leur chaîne de propulsion hybride, qui offre l’avantage de rouler écolo sans faire exploser le budget du carburant. Avec son style de coupé SUV, doublé d’une silhouette admirable, la Toyota C-HR joue la carte de la séduction. L’originalité de sa ligne typiquement japonaise, est profondément inspirée des bandes dessinées Manga. Comme en témoignent les feux de jour bridés généreusement étendus sur les ailes, sa calandre minimaliste frappée du logo Toyota au milieu, ou encore sa large prise d’air inférieure encadrée par de petits antibrouillards. Si le profil se distingue par une ligne de toit arrondie et des bas de caisse élargis, la partie arrière, quant à elle, semble atypique avec une extrémité du hayon trop saillante. Look élégant et allure paisible, la Hyundai Kona cultive l’art du classicisme empreint d’un esprit plutôt fun. Sa calandre en nid d’abeilles surmontant la large prise d’air greffée de touches façon aluminium brossé, ainsi que ses doubles optiques, ne passent pas inaperçus. La partie latérale, en revanche, se distingue par des passages de roues foncés en raccord avec le toit noir. La poupe, elle aussi, ne manque pas d’harmonie avec un hayon arrondi, des feux bien dessinés et une protection de bouclier arrière contrastante. Autant dire que les deux concurrentes ne passent pas inaperçues, nous leur accordons un point chacune. Ceci dit, le design est une affaire de goût. Et comme les goûts ne se discutent pas, à vous de juger celle qui convient le plus à votre feeling. Passons maintenant aux choses plus concrètes et examinons comment nos deux prétendantes accueillent les passagers. Une fois à bord de la Toyota, on constate que l’ambiance est moderne. La qualité visuelle et tactile des revêtements et des commandes, est particulièrement soignée. L'écran tactile 8" du système audio est légèrement orienté vers le conducteur. Son réglage est intuitif et facile à gérer en conduisant. Pour ce qui est du confort, les sièges avant se caractérisent par un dossier enveloppant avec une section haute étroite. La banquette arrière, en revanche, n’est pas assez spacieuse pour embarquer trois passagers. La Toyota souffre également de son empattement réduit qui ne mesure que 2,6 m, soit 2 cm de moins que la Hyundai. A bord de la Kona, on apprécie surtout l’ambiance high-tech avec l’interface d’instrumentation numérique de 10,25 pouces. Celle-ci recoupe l’ensemble des informations de conduite dans une mise en scène haute en couleur. L’ergonomie n’est pas en reste avec un écran tactile érigé en plein centre de la planche de bord. Si la position de conduite élevée permet de mieux dominer la route, les sièges avant offrent une assise confortable et un excellent maintien latéral. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de la Hyundai Kona La Hyundai Kona est un crossover à vocation familiale, et il le fait savoir à bien des égards. Outre l’avantage d’être spacieux pour 5 passagers, le volume de chargement du coffre de 377 litres, reste identique à celui de la Toyota. Mais la Kona a l’avantage de proposer plusieurs espaces de rangement à bord. Le bilan intérieur est sans appel : la Hyundai Kona prend le dessus, et on lui accorde un deuxième point. Sans plus tarder, l’élément le plus marquant de la différenciation technique : Sous le capot de la coréenne, on retrouve le 4-cylindres 1,6 GDi à injection directe de 105 ch, combiné à un moteur électrique de 43,5 ch. Du coup, le duo électro-thermique affiche la puissance globale de 141 ch. Étant alimentée par une batterie lithium-ion de 1,56 kWh, la Kona est dotée de la boîte automatique DCT-6 à double embrayage, très douce de fonctionnement. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de la Toyota C-HR La Toyota C-HR, pour sa part, est animée par une chaîne hybride de seulement 122 ch, ce qui théoriquement devrait se traduire par une consommation plus faible. Ce n’est nullement le cas, puisque les deux voitures affichent la même consommation moyenne de 3,8 litres aux 100 km. Sur le plan technique, en particulier celui de l’efficience, les deux rivales font jeu égal. Enfin, à propos du positionnement tarifaire, les choses sont encore plus claires. Affichée à partir de 315 000 DH, la Toyota est environ 30 000 DH plus chère que la Hyundai, dont le tarif d’attaque démarre à 286 000 DH. Le bilan financier est donc sans appel. La Hyundai Kona surclasse littéralement la Toyota C-HR, et obtient un triple score. Galerie    
Bmw serie 5 mercedes classe e 230 maroc autonews 1
Matchs | Comparatifs | BMW Série 5 vs Mercedes Classe E : Duel au sommet
Le  | Par Hicham Atabi
Malgré leur positionnement tarifaire presque identique, les BMW Série 5 et Mercedes Classe E offrent des prestations routières, un confort à bord et un niveau d’équipement entièrement différents. Comparatif. Montée fulgurante des véhicules SUV, les grandes berlines jouent des coudes pour survivre. Néanmoins, quelques-unes d’entre elles font toujours l’unanimité, à l’instar des BMW Série 5 et Mercedes Classe E. Plus luxueuses que les familiales Série 3 et Classe C, elles restent bien plus raisonnables que les limousines Série 7 et Mercedes Classe S. Autant dire qu’elles offrent le meilleur des deux mondes. Arrivées en 2016, les dernières générations des BMW Série 5 et Mercedes Classe E, ont fait l’objet d’un léger lifting. Spacieuses, charismatiques et, surtout, commercialisées à des tarifs quasiment identiques, elles repartent dans un nouveau challenge sur le marché national. C’est justement l’occasion de les passer sur le banc d’essai d’Autonews, histoire de déceler laquelle des deux prétendantes, répond le mieux aux aspirations des acheteurs. Des routières pures et dures Avec son regard racé et sa silhouette élancée, la Série 5 cultive un air de dynamisme empreint de noblesse. Ses surfaces galbées et ses lignes tendues ne laissent aucun doute sur ses prétentions sportives, comme en témoignent ses naseaux surdimensionnés, surmontés d’un capot moteur élancé, et d’une ligne de toit bien fluide. La fluidité aérodynamique est palpable sur l’ensemble de la carrosserie, notamment au niveau de la calandre Active Air Stream, dont les volets s’ouvrent et se referment automatiquement pour refroidir les freins et le moteur. Elle est livrée d’office sur la finition d’entrée de gamme, 520d Heritage, qui bénéficie également d’antibrouillards et de vitres teintées, malheureusement absents de la liste d’équipement de sa concurrente, la Classe E 220d Business. Autre point de différenciation, la bavaroise repose sur des jantes 18 pouces en alliage léger avec pneus roulage à plat qui, en cas de crevaison, permettent de continuer à rouler jusqu’à 80 km. La Mercedes, quant à elle, s’appuie sur des roues de 17», assorties d’un kit crevaison pour un dépannage de circonstance. Esthétiquement, la berline de Stuttgart fait honneur à ses racines avec sa face avant imposante, flanquée du gros logo au milieu. Sachant que les nostalgiques peuvent toujours opter pour l’étoile sur le bout du capot. Et bien sûr, les deux options se facturent différemment. A l’instar de la calandre diamantée que vous voyez sur l’image de la page d’ouverture, exclusive à la finition haut de gamme, AMG Line. Pour le reste, la Merco arbore une silhouette bien musclée, mais elle se voit lestée par des jupes latérales rebondies et une poupe un peu massive. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de BMW Série 5 Comme les goûts ne se discutent pas, chacun est libre de penser ce qu’il veut du design de l’une et de l’autre. Pour notre part, nous nous bornerons à la comparaison de la fourniture en équipements de série. Et là, on peut conclure que la bavaroise remporte avec brio le premier round. Comment nos deux prétendantes accueillent leurs occupants ? Une fois à bord, on retrouve la qualité de finition essentiellement allemande. Si la Série 5 se distingue par son cachet raffiné typiquement BMW avec des assises confortables offrant un excellent maintien latéral, la Classe E propose un confort proverbial marqué par des sièges avant bien moelleux. Sauf que, sur la finition Business, leur commande est manuelle, contrairement à ceux de la béhème qui sont entièrement électriques. Dans les deux modèles, les systèmes d’assistance s’invitent massivement, à l’instar du MBUX de Mercedes qui permet de piloter oralement certaines fonctionnalités, ou de la commande vocale «Hey BMW», qui assiste le conducteur pour réaliser quelques tâches, à travers l’interface media de 10,25 pouces. Or, sur ce plan, la Classe E double littéralement la mise, en proposant deux écrans juxtaposés, qui semblent fusionner dans une seule dalle numérique. Disposant de 7 airbags à la clé, les deux voitures se veulent ultra-sûres. De plus, la Mercedes offre le freinage d’urgence assisté actif, très efficace en ville lorsqu’on roule à basse vitesse. Mais, elle est dépourvue de l’alerte de franchissement de ligne, et de la navigation GPS, disponibles d’office chez sa concurrente. Sans oublier le système auto-parking 100% autonome, signé BMW, qui réalise automatiquement la manœuvre de stationnement, en marche arrière, sur une longueur de 50 mètres. Compte tenu des points forts de chacune, on peut dire que les deux modèles font jeu égal sur le plan de l’accueil et de la sécurité. Une fois au volant, les prestations ne sont pas les mêmes. La Mercedes Classe E est une routière pure et dure. Sous son capot, on retrouve le diesel 2.0 litres, développant 194 ch pour un couple de 400 Nm. Associé à la boîte automatique à 9 rapports, ce 4-cylindres se caractérise par son tempérament linéaire, et des montées en régime assez modérées. Mais, une fois lancé, il prend suffisamment de punch pour assurer une conduite régalienne. Certes, le domaine de prédilection de la Classe E, ce sont les grandes voies rapides plus que les routes sinueuses, en raison de sa suspension typée confort. Propulsée par le diesel 2.0 litres de 190 ch pour 400 Nm, la Série 5 est une excellente routière, mais très sportive dans l’âme. Plus à son aise sur autoroute, elle parvient tout de même à faire preuve d’agilité et de vivacité sur les routes escarpées. Ceci, elle le doit à sa suspension conciliant le confort d’une belle berline au dynamisme d’une voiture sportive, mais aussi à sa direction offrant une précision chirurgicale. Cet agrément routier lui vaut la réputation d’une grande routière ultra-dynamique, offrant un plaisir de conduire rare dans sa catégorie. Le bilan routier est donc sans appel, la BMW Série 5 surclasse littéralement la Mercedes Classe E, et enregistre un triple score. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de Mercedes Classe E Pour ce qui est du profil des acheteurs, les deux cousines germaines visent la même clientèle, ou presque. Mais la Série 5 reste la voiture préférée des hommes d’affaires, jeunes et dynamiques. Galerie