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Dacia Maroc participe au rallye Aïcha des Gazelles
À l’occasion de la 34ᵉ édition du Rallye Aïcha des Gazelles, qui se déroulera du 11 au 26 avril dans le désert marocain, Dacia Maroc engage deux équipages 100% féminins, triés sur le volet via une sélection interne parmi les collaboratrices du Groupe Renault Maroc.
Quatre femmes ont été sélectionnées, deux d'entre elles faisant partie de l'équipage 302 et les deux autres de l'équipage 303. Dacia soutient ces participantes en leur offrant une formation intensive et un équipement dédié, pour que leur aventures se déroule dans les meilleures conditions possibles.
De l’audace dans le désert
L’équipage 302, surnommé "Les Audacieuses", est formé de Hanan et Sara, deux opératrices de l’usine Renault Tanger, âgées de 29 ans. Elles sont prêtes à relever ce défi avec l’objectif d’inspirer leurs collègues et de prouver que le Rallye Aïcha des Gazelles est accessible à toutes les femmes.
Quant à l’équipage 303, appelé "Gen’YZ du Désert", il réunit Sanaâ (38 ans), cheffe de projet chez Mobilize Financial Services Maroc, et Meriem (29 ans), responsable digital et business intelligence dans la même entreprise. Leur complicité et leur esprit d’équipe sont leurs atouts majeurs pour réussir cette compétition.
Le compagnon idéal
Pour affronter les défis de cette compétition, Dacia Maroc fait appel à son nouveau Duster 4x4. Lancé en 2024 en Europe et récemment au Maroc, ce SUV robuste est parfaitement adapté pour en découdre avec les obstacles les plus difficiles.
Il faut souligner que Dacia Maroc bénéficie du soutien de ses partenaires, à savoir Mobilize Financial Services Maroc et Axa Assurance Maroc, qui ne cessent d’encourager ces participantes à représenter fièrement les femmes marocaines.

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Jeep Maroc participe au Rallye Aïcha des Gazelles 2025
Dans le cadre de son soutien aux femmes et à l’aventure, Jeep Maroc se prépare à s'impliquer pleinement dans l'actuelle édition du Rallye Aïcha des Gazelles, qui se tiendra du 11 au 26 avril. Des équipes venues des quatre coins du monde se mesureront dans un esprit de solidarité et de persévérance, et Jeep Maroc soutient avec enthousiasme un équipage féminin prêt à relever ce défi.
Un duo de choc
L’équipage composé de Karima Laaroussi Mouhyi, une pilote expérimentée, et Anne-Marie Borg, une navigatrice chevronnée. Ces deux femmes, animées par une passion commune pour l’aventure et les sports mécaniques, forment une équipe qui incarne parfaitement l’idéal Jeep en faveur de l’aventure.
Designer d'intérieur de formation, Karima Laaroussi Mouhyi est une passionnée de sports mécaniques. Elle compte à son actif dix participations au Rallye Aïcha des Gazelles, conjugués à de nombreuses expériences dans bien d’autres compétitions exigeantes. Son amour pour les véhicules tout-terrain et son esprit compétitif sont des atouts précieux pour relever ce nouveau défi.
Quant à Anne-Marie Borg, elle est entrepreneuse et monitrice de ski, passionnée par le Maroc et les sports mécaniques. Avec 12 participations au Rallye Aïcha des Gazelles, son expertise et sa détermination en font une navigatrice exceptionnelle. En dehors de la compétition, elle cultive également ses passions pour le golf et le ski, démontrant ainsi sa polyvalence et son esprit d’aventure.
Un baroudeur d’exception
Pour cette édition du Rallye Aïcha des Gazelles 2025, Jeep Maroc a choisi d'engager son emblématique véhicule 4x4 Jeep Wrangler. Reconnu pour ses performances exceptionnelles, ce modèle ne tremble pas devant les obstacles. Cette prouesse, il la doit à sa conception robuste, son moteur performant et son système de transmission intégrale. Autant dire que le Wrangler est le véhicule parfait pour affronter les dunes et les terrains escarpés du désert marocain.

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Actualité nationale
Dacia Duster 2025 : aussitôt arrivé au Maroc il s’aventurera dans le désert !
Le nouveau Dacia Duster fera une entrée spectaculaire sur le marché marocain, avec une commercialisation prévue dès la deuxième quinzaine de février. Et pour marquer les esprits, le best-seller roumain s’apprête à défier les dunes du Sahara marocain dans l’une des compétitions les plus mythiques : le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc.
Dacia Maroc, un engagement qui dure
Pour la 4ᵉ année consécutive, Dacia Maroc aligne deux équipages dans cette épreuve unique en son genre. Composés de quatre collaboratrices issues des usines de Tanger et du Commerce Renault Group Maroc, ces binômes ont été sélectionnés après une rigoureuse phase de présélection interne. Leur mission ? Représenter fièrement la marque et prouver une fois de plus que le Dacia Duster est un aventurier intrépide, même dans les conditions les plus extrêmes.
Cette participation s’inscrit dans une dynamique qui dépasse le simple défi automobile. Le Rallye Aïcha des Gazelles, 100% féminin, est une compétition où la navigation à l’ancienne remplace la technologie moderne. Pas de GPS, pas d’assistance numérique : ici, seules une carte et une boussole guideront les équipages, avec un objectif clair : rallier chaque étape en parcourant la plus courte distance possible.
Dacia Duster 4x4 taillé pour les terrains hostiles
Le Dacia Duster s’est imposé comme le SUV le plus vendu au Maroc avec pas moins de 7.012 exemplaires écoulés en 2024. Ce succès, il le doit à son châssis robuste, sa polyvalence indéniable et son rapport qualité-prix imbattable. Taillé pour l’aventure, il brille aussi bien en milieu urbain que dans les zones les plus reculées, et le Rallye Aïcha des Gazelles sera une occasion parfaite de démontrer une fois de plus son endurance et sa fiabilité. Il faut souligner que les modèles engagés dans la course bénéficieront d’une préparation spéciale, avec des équipements adaptés aux conditions extrêmes du désert.
Dacia Maroc, accompagné de Mobilize Financial Services et Axa Assurance Maroc, met en place un dispositif de formation complet pour ses Gazelles. Dès leur sélection, les équipages bénéficient d’un entraînement intensif, alliant pilotage en conditions difficiles, navigation traditionnelle et préparation physique et mentale. Un véritable programme de guerrières, conçu pour maximiser leurs chances de briller dans cette compétition.
Le Duster bientôt dans les showrooms
Au-delà de cet engagement sportif, la troisième génération du Dacia Duster s’apprête à écrire un nouveau chapitre de son histoire sur le marché marocain. Connu pour son excellent rapport qualité/prix, son design repensé et ses performances optimisées, il arrive dans un segment ultra-concurrentiel, mais avec de solides arguments pour séduire.
Autant dire qu’avec ce lancement imminent et cette participation au Rallye Aïcha des Gazelles, le Duster s’impose une fois de plus comme un SUV urbain incontournable.
La rédaction d’Autonews vous donne rendez-vous dès février en concessions pour le lancement du nouveau Dacia Duster, puis en avril pour suivre son aventure au Rallye Aïcha des Gazelles avec des articles exclusifs à la clé !
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Uniraid Alpes 2024 : Quand la passion automobile rime avec la cause humanitaire
L’Uniraid Alpes 2024 fut une aventure extraordinaire, alliant le frisson du sport automobile à un engagement humanitaire profond. Cette édition, qui s’est déroulée du 14 au 19 juillet, a vu les équipes affronter les terrains exigeants entre Albertville, en France, et Monesi, en Italie. Parmi ces équipes, la Morocco Racing Team, représentée par Yassine Berrada Amor, Rayane Charif Chefchaouni et Ismail Lahlou, s’est distinguée non seulement par son esprit compétitif mais aussi par sa noble cause.
L’Uniraid Alpes 2024 a été bien plus qu’une simple course ; ce fut une aventure qui a mis en avant l’effort, la compétition et la découverte. Le rallye a traversé le site emblématique des Jeux Olympiques d’Albertville, franchissant des cols de haute montagne et des sites historiques, mettant en lumière la beauté époustouflante des Alpes. Avec 50 équipes venues du monde entier, l’évènement a été un mélange mémorable de sportivité et d’échange culturel.
ANIMÉS PAR LA PASSION
Yassine Berrada Amor, Rayane Charif Chefchaouni, Ismail Lahlou, le trio dynamique derrière le Morocco Racing Team, ont apporté́ une richesse d’expérience et de passion au rallye. Yassine, étudiant en Management et Business à l’Université de Bath, s’était déjà̀ fait remarquer au sein de l’équipe de course automobile universitaire en 2021. Rayane Charif Chefchaouni, étudiant en informatique à l’EPFL, a également rejoint le Morocco Racing Team. Passionné d’Intelligence artificielle et de mécanique, Rayane fait partie de l’AI Team et s’implique activement dans plusieurs associations, apportant une expertise technique précieuse et un engagement associatif exemplaire. Ismail, étudiant en Administration des affaires à l’IE Madrid, est un patriote engagé socialement, impliqué activement dans diverses activités associatives et sportives.
UN RALLYE AU CŒUR HUMANITAIRE
La participation du Morocco Racing Team à l’Uniraid Alpes 2024 allait au-delà̀ de l’adrénaline de la course. Ils s’étaient associés à l’Association marocaine d’aide aux enfants en situation précaire (AMESIP), dédiant leurs efforts à la collecte de fonds pour les enfants en situation précaire. Cet aspect humanitaire ajoutait une dimension de sens à leur participation, alignant leur passion pour le sport automobile avec une mission de faire une différence tangible dans la vie des enfants vulnérables.
De l’ADN Porsche sous le capot d’une Seat, oui ça existe, du moins ça a existé́ dans les années 80 et 90. L’Ibiza, premier modèle de Seat, marque un tournant dans l’histoire de la marque espagnole avec ses moteurs conçus par Porsche. Utilisé comme modèle pour des rallyes, Ismail, Rayane et Yassine ont concouru avec le système Porsche, installé sur une Seat Ibiza modèle 1992, avec laquelle ils ont emporté l’étape 4 du rallye reliant le col du Sommelier à Sampeyre en Italie.
NB : Cette participation a été rendue possible grâce au soutien des généreux sponsors : Seat Maroc, Outsourcia, Alafeta Capital, SUI, IE Madrid, EPFL.

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Rallye Aicha des Gazelles : Un podium pour Dacia Maroc
Lors de la 33ème édition du Rallye Aicha Des Gazelles du Maroc, les deux équipages de Dacia Maroc ont hissé l’étendard de Renault Group Maroc. Cette participation à la compétition féminine de renommée internationale, a été porteuse à tout égard. L’équipage 303, composé de Nada et Fatima-Zohra, a occupé la 3ème marche du podium de la catégorie Crossover, suivi de près par le 2ème équipage 302 (Ahlam et Hind), arrivé en 4ème position. La performance fut incontestablement au rendez-vous, tout au long de leur parcours.
Reconnue comme étant l’une des compétitions les plus redoutables en matière de conduite tout-terrain, de navigation et d’endurance dans le désert marocain, les équipages Dacia ont réussi néanmoins à tirer leur épingle du jeu. Elles ont fait preuve d’une volonté héroïque, en termes de ténacité et d’endurance. Au volant des Duster 4x4, les quatre gazelles ont bravé les obstacles et défié les embûches 9 jours durant.
Dès la ligne de départ et jusqu’à la fin à Essaouira, elles étaient chaperonnées par Cristina Gutierrez, un as des rallyes et future pilote de Dacia Sandrider sur le Dakar, ce qui a décuplé leur motivation. En marge de la célébration de leur victoire, la pilote espagnole a salué leur exploit et leur bravoure.
Certes, les deux équipages, portant les appellations «Rimes du Désert» et «les Amazones du Maroc», avaient fort bien déployé leurs talents, mais elles avaient sur qui compter : le robuste Dacia Duster 4x4.
Partageant les mêmes valeurs de noblesse et de confiance inhérentes à la marque Dacia, les partenaires de la marque franco-roumaine (Mobilize Financial Services Maroc et Axa Assurance Maroc) ont soutenu les participantes.
Autant dire que les qualités humaines et sportives des deux équipages incarnent à merveille l’esprit général de la gent féminine travaillant chez Dacia Maroc.
M. Mediouni

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Rallye Aicha des Gazelles : Dacia répond à l’appel du désert
Dacia Maroc participe à la 33 ème édition du Rallye Aicha des Gazelles mettant en place deux équipages féminins, armés d’un Dacia Duster 4x4. Cette compétition sportive, qui se tiendra du 12 au 27 avril 2024, sera supervisée par Cristina Gutierrez, pilote internationale de renom.
Reitérant pour la 3ème année consécutive son engagement, Dacia Maroc désigne deux équipages féminins, issus en interne du groupe Renault Maroc. Faisant l’objet d’une sélection minutieuse, ces candidates disposent des aptitudes correspondant aux exigences de la compétition. Pour l’anecdote, les candidates sont passées devant un jury pour prouver leurs compétences et leurs motivations. A cet égard, le challenge consistera à déjouer les terrains escarpés du désert marocain, tout en optimisant le parcours au strict minimum de kilomètres. Et ce, sans GPS, mais avec les moyens de bord : cartes et boussoles.
A bord de leur Dacia Duster, les équipages qui portent les immatriculations ‘’302’’ et ‘’303’’, sont représentés respectivement par « Les Amazones du Maroc » Hind et Ahlam, et « les rimes du désert » Nada et Fatim-Zahra. Totalement déterminées à porter les valeurs de Dacia Maroc en particulier, et du groupe Renault, en général. Cette aventure insolite, humaine et sportive, leur confèrera une expérience unique. Et pour qu’elle soit vécue dans les meilleures conditions, l’entreprise a mis au service de leur ténacité, un ensemble d’éléments adaptés. Ceci passe par des formations dédiées, ainsi que des équipements spécifiques pour parfaire le véhicule de prédilection.
Par ailleurs, la marraine de cette édition, Cristina Gutierrez Herrero, pilote de référence des Rallyes tout-terrain et pilote de Dacia Sandriver sur le Dakar, vient consolider l’engagement de l’entreprise française auprès de cette édition. Au service de la cause féminine, Dacia Maroc et ses quatre gazelles démontrent la place centrale qu’occupe la femme marocaine, en plus de sa légitimité dans les disciplines les plus déroutantes, que sont les sports mécaniques.
Au final, les quatre gazelles, avec leur acolyte Dacia Duster, inspireront sans conteste, une partie de la jeunesse féminine marocaine.
Journaliste stagiaire M. Mediouni

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Le Dakar : Dacia s’engage à partir de 2025
A partir de 2025, Dacia sera engagée en tant que constructeur dans le championnat du monde de rallye-raid avec comme point d’orgue le Dakar. Cette aventure humaine hors du commun qui réunit chaque année depuis plus de 40 ans, plus de 60 nationalités et 500 aventuriers pour une compétition unique.
Le Dakar illustre parfaitement l’équilibre entre le rationnel et l’émotionnel qui sont au cœur de l’ADN de la marque.
Le rallye-raid est une aventure humaine et sportive en adéquation avec les territoires de marque Dacia : Une aventure «Robust & Outdoor» au volant d’un prototype 4 roues motrices développé pour affronter les conditions les plus extrêmes.
Une aventure «Eco-Smart» car Dacia est soucieuse de l’impact environnemental et roulera donc avec une voiture de course utilisant du carburant de synthèse.
Une aventure «Essential but Cool» avec un objectif ambitieux qui ne laissera pas de place au superflu.
Le Dakar sera un terrain d’expérimentation et un laboratoire d’idées pour Dacia. Il permettra de tester et d’éprouver de nouvelles solutions malignes «à la Dacia», en termes de fonctionnalités outdoor, mais aussi de choix énergétique.
Avant de relever le défi de la saison 2025, les prototypes Dacia seront mis à l’épreuve dès 2024 au Rallye du Maroc lors de phases de test.
Socle technique robuste et expérimenté
Dacia abordera cet excitant projet en comptant sur les compétences de Renault Group, et en s’appuyant sur l’expérience de Prodrive en termes de développement de prototypes pour le rallye-raid.
«Dacia et le Dakar forment une association parfaite : un véritable laboratoire pour prouver la robustesse de Dacia et un engagement fort en faveur d’une mobilité à faibles émissions de carbone. Nous sommes très enthousiastes à l’idée de participer au Dakar en utilisant la technologie du carburant de synthèse. Dacia, avec une équipe et des pilotes au meilleur niveau, est un concurrent sérieux pour le rallye», souligne Denis Le Vot, Directeur général de Dacia.
Depuis près de 40 ans, Prodrive est l’un des acteurs majeurs du sport automobile dans le monde, aidant de grandes marques à remporter de nombreux championnats internationaux.
Prodrive est impliqué dans le Dakar et le Rallye-Raid depuis 2020. Elle a ainsi participé aux trois derniers rallyes Dakar avec des voitures conçues et gérées par leurs propres équipes, obtenant la deuxième place au classement général en 2022 et 2023 avec Sébastien Loeb qui fait maintenant partie de la nouvelle équipe Dacia.
Loeb et Herrero pilotes de la marque
Pilote de rallye, Cristina Gutierrez Herrero est devenue la première femme espagnole dans la catégorie auto à terminer le Dakar en 2017. Agée de 31 ans, elle a déjà à son actif 7 participations au rallye Dakar entre 2017 et 2023. Cristina est également championne des rallyes tout-terrain (catégorie féminine) en Espagne depuis 2012.
Pilote de rallye français, âgé de 49 ans, Sébastien Loeb a remporté le championnat du monde des rallyes 9 fois consécutives de 2004 à 2012. Il est le pilote le plus titré du sport automobile et souvent considéré comme le plus grand pilote de rallye de tous les temps. Sébastien Loeb participe au Dakar depuis 2016. En 2021, il était au volant du Bahrain Raid Xtreme Hunter conçu par l’écurie britannique Prodrive. L’histoire entre Sébastien Loeb et Prodrive se poursuit maintenant au volant d’une Dacia.
Carburant de synthèse
Le prototype Dacia utilisera du carburant de synthèse produit par Aramco, leader mondial dans le secteur de l’énergie et des produits chimiques.
Les solutions de carburant de synthèse fournies par Aramco sont produites en combinant de l’hydrogène renouvelable avec du CO2 capturé, ce qui donne un carburant à faible teneur en carbone et compatible avec les moteurs d’aujourd’hui.
Le Dakar est le terrain d’expérimentation idéal de cette technologie pour la marque Dacia.

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Rétro – Rallye du Maroc : Once Upon A Time IN Casablanca
Une grande fête dédiée à l’automobile et à la vitesse qui a été remportée par Most. Ensuite, le circuit est devenu plus grand et attirait de grands noms. Cette première formule fut gagnée par Edouard Meyer en 1925, 1926 et 1927, en version internationale.
Mais il faudra attendre l’année 1929 pour que ce circuit marocain prenne une nouvelle tournure et s’installe dans la durée avec une vision plus professionnelle et plus ouverte sur le monde d’entre-deux-guerres. D’ailleurs, pour donner la chance à tous les grands pilotes de participer, les deux premières éditions du rallye ont été espacées de cinq ans, d’abord en 1929 puis en1934. Toujours organisé au mois de mai, la rallye aura plusieurs éditions et vivra jusqu’en 1988.
On y a vu de belles courses et surtout l’évolution de l’automobile, du début du siècle dernier à la fin des années 80, avec de nouveaux styles, de nouveaux modèles et des constructeurs toujours plus innovants. Ce qui fait dire à l’un des journalistes allemands de l’époque que le rallye du Maroc était un grand laboratoire pour les grandes firmes et pour les ingénieurs qui rivalisaient d’ingéniosité pour mettre de belles voitures sur le circuit.
Sans oublier que c’était là également un test grandeur nature pour les constructeurs parce que c’était un rallye réputé pour ses difficultés de terrain, un circuit exigeant, très retors, avec de véritables pièges pour les manœuvres des pilotes qui s’accordaient tous à dire que le rallye du Maroc est un casse-tête pour les plus forts d’entre eux et les plus expérimentés, comme l’avait dit Édouard Meyer, l’un des premiers vainqueurs à Casablanca.
Si les premières éditions étaient plus concentrées, à partir des années 30, le rallye du Maroc est disputé sur une distance de 5 000 kilomètres. Cette distance considérable est parcourue, en moyenne en sept étapes. Il faut savoir que toutes les liaisons étaient très longues dépassant souvent les 800 kilomètres. Ce qui était très éprouvant et très dur pour de nombreux pilotes qui ont abandonné en cours de route. Il faut aussi préciser ici une autre exigence de la part des organisateurs qui obligeaient les pilotes à tenir des vitesses moyennes élevées, quelque 90 kilomètres/heure par routes difficiles, par des passages nivelés et autres routes détrempées. Ce qui fait dire à Robert La Caze, un des grands noms du circuit du Maroc, que finir ce rallye est déjà une victoire en soi tant les manœuvres sont dures et les routes très tortueuses et piégeuses. Pour les organisateurs, ces difficultés étaient nécessaires pour attirer à chaque édition de nouveaux pilotes séduits par la réputation de l’une des courses par étapes les plus corsées au monde. Ce qui était le cas puisque de nombreux champions ont fait du Maroc un passage obligé pour asseoir leur réputation et se faire les dents pour gagner d’autres rallyes tous aussi durs les uns que les autres.
Il faut aussi dire qu’en l’espace de quelques années, le circuit du Maroc est devenu l’un des plus attirants au monde. La crème des courses automobiles s’y bousculait avec grand renfort de stars de la chanson, du cinéma, de la télévision et du monde politique, tous attirés par le spectacle qu’offrait le rallye du Maroc. Ce qui fait que trente ans plus tard, en 1969, seuls 7 véhicules terminèrent encore la course sur les 68 inscrits. C’est dire qu’à chaque édition, les difficultés étaient plus importantes et le circuit plus exigeant pour tous ceux qui le découvraient pour la première fois en faisant leur baptême de feu en terre marocaine. Cette belle réputation finira par inscrire Le Rallye du Maroc au Championnat du monde des rallyes en 1973, 1975 et 1976. Il a aussi fait les beaux jours du Championnat international des marques en 1971 et 1972. Une consécration pour cette course marocaine déjà vieille de plus de 50 ans avec de beaux palmarès et de beaux champions qui y ont inscrit leurs noms pour l’histoire. Cette présence au niveau mondial se déroulait avec des épreuves spéciales toutes de longueur très variable, pouvant même atteindre parfois plusieurs centaines de kilomètres. Le maître mot étant de mettre les pilotes à dure épreuve et de les pousser dans leurs derniers retranchements. Durant les trois années en WRC, la course démarrait de la capitale du Royaume, Rabat. Tout un symbole. Elle comptait une dizaine d’épreuves spéciales, comme celles considérées comme les plus dures de la zone de Bin el Ouidane ou du col du Tizi n’Test. Sans oublier d’autres étapes difficiles considérées comme les plus longues ayant été positionnées avant-dernières aux programmes, et dites Transmarocaines, qui reliaient Fès à Agadir en 1975 (786 kilomètres, remportée par Timo Makinen en 7 heures 50 minutes sur Peugeot 504), et 1976 (776 kilomètres, gagnée par Simo Lampinen, en 9 heures 41 minutes également sur Peugeot 504. L’arrivée finale et le sacre étaient célébrés à Casablanca ou à Marrakech.
Jean Deschazeaux remporta deux fois cette compétition, à 16 ans d’écart. Robert La Caze aussi, mais à 13 ans d’intervalle. Jean-Pierre Nicolas en fut le seul triple vainqueur (1968, 1974 et 1976), le constructeur Renault en étant (avec Alpine pour moitié) quadruple lauréat. C’est dire que les constructeurs français rivalisaient d’ingéniosité pour marquer cette prestigieuse course à leur palmarès. Un défi de taille pour les autres constructeurs qui se risquaient sur un terrain alors dédié aux plus vaillants des pilotes.
Au fil de l’histoire, ce rallye a fini par devenir l’un des plus grands événements sportifs en Afrique et dans le monde arabe. Il a marqué les esprits et surtout a fait émerger de nombreux pilotes marocains qui n’ont pas gagné le circuit mais qui se sont frottés à l’une des courses les plus dures au monde avant de disparaître en 1988, laissant derrière elle un véritable vide après plus de 70 ans d’histoire.

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Entretiens
Sport automobile - Moulay El Alaoui : L’étoffe du champion
Moulay El Alaoui est ce qu’on appelle un talent pur. Doué au pilotage, il incarne aujourd’hui l’avenir des sports automobile. Doté d’un calme à toute épreuve, le champion marocain vise les plus hautes marches des podiums mondiaux. Entretien.
Autonews : Vous êtes sacré champion du Maroc à 17 ans. C’est un grand exploit. Parlez-nous de ce sacre et de votre parcours ?
Moulay El Alaoui : Je suis ravi de pouvoir partager avec Autonews mon expérience en tant que champion du Maroc à l’âge de 17 ans. C’était un moment spécial pour moi et cela a été le résultat de beaucoup d’années de travail acharné et de dévouement envers ma passion pour la course automobile. Mon parcours a commencé dès mon plus jeune âge, lorsque j’ai découvert ma passion pour la course automobile en regardant des courses de Formule 1 avec mon père à la télévision. Dès lors, j’ai su que je voulais devenir pilote automobile. J’ai commencé à m’entraîner intensément, en participant à des courses et en travaillant dur pour m’améliorer. J’ai progressé rapidement, en partie grâce au support de mon entourage et de mon équipe, et j’ai commencé à participer à des compétitions plus importantes, y compris des courses à l’international et en Formule 4 en Malaisie. Mon travail acharné a finalement porté ses fruits lorsque j’ai remporté le titre de champion du Maroc à l’âge de 17 ans, en gagnant 3 des 4 manches du championnat. Ce sacre a été un moment inoubliable pour moi, et cela a été le résultat d’un travail laborieux, de discipline et de détermination. Cela m’a également donné la motivation et la confiance nécessaires pour continuer à travailler dur et à poursuivre mes rêves dans le domaine de la course automobile.
Autonews : Vous représentez aujourd’hui l’équipe nationale. Comment prenez-vous cette responsabilité et comment gérez-vous le poids d’une telle mission ?
M. E. A. : Représenter le Maroc en tant que pilote de l’équipe nationale est un honneur et une grande responsabilité que je prends très au sérieux. Cela signifie que je suis le visage de ma nation sur la scène internationale, et cela implique une pression considérable pour réussir et pour représenter mon pays avec fierté et dignité. Selon moi, la pression peut être positive si elle est canalisée de manière appropriée.
Je suis également très fier de représenter mon pays, c’est pour cela que ma couleur préférée est le rouge, que l’on aperçoit sur mon casque, et cela me donne une motivation supplémentaire pour réussir. Je me sens honoré de faire partie de l’équipe nationale et je suis déterminé à tout donner pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. Nous avons fini deuxième de la MENA Nations Cup 2020 à Oman où tous les meilleurs pilotes s’affrontent pour hisser leur drapeau national sur la plus haute marche du podium. L’objectif pour la prochaine édition est de remporter la course et c’est avec honneur et détermination que j’accepte cette mission.
Autonews : Quel est votre agenda pour l’année 2023 ?
M. E. A. : En 2023, j’intègre la Ligier European Series. C’est un championnat qui se déroule en Europe sur des circuits de renommée internationale qui accueillent des Grands Prix de Formule 1. Le championnat se compose de six week-ends de course, chacun comprenant deux courses de 50 minutes chacune. Ainsi, je participerai à ce championnat avec l’équipe Smart Driving basée en Italie.
Mon objectif pour 2023 est d’être le premier pilote marocain à participer à ce championnat et de représenter mon équipe et mon pays afin de donner le meilleur de moi-même lors de chaque course. Je suis impatient de relever les défis à venir et de voir ce que l’avenir me réserve pour cette saison 2023 avec des objectifs très relevés et de nombreuses victoires attendues.
Autonews : Comment préparez-vous vos courses et comment se déroulent vos entraînements ?
M. E. A. : En dehors des week-ends de course, je continue à m’entraîner intensément pour améliorer mes compétences de conduite et rester en forme pour les compétitions à venir. Je travaille également avec l’équipe pour affiner notre stratégie et nous assurer que nous sommes en mesure de rivaliser avec les meilleurs concurrents de la série. Pour cela, j’ai de nombreuses journées de tests sur les circuits européens avec mon équipe afin d’être en mesure de remporter chaque course à laquelle nous participons. Pour y parvenir, je m’entraîne physiquement pour être en forme pour la course. Je fais de nombreux exercices permettant d’améliorer ma force, mon endurance et mes réflexes.
Lorsque le week-end de course approche, j’étudie le circuit sur lequel je vais rouler en analysant chaque virage, chaque ligne droite et chaque dénivelé afin d’adapter ma conduite en conséquence et gagner du temps avant les séances d’essais. Ensuite, je travaille avec mon équipe pour régler ma voiture afin qu’elle soit en mesure de performer sur ce circuit. Nous adaptons la voiture au mieux en vue d’être parfaitement réglée pour les conditions de course. En fin de compte, la préparation pour une course est une combinaison de travail acharné, de concentration et d’analyse minutieuse de chaque aspect de la compétition. Tout cela me permet d’aborder la course en toute confiance et de maximiser mes chances de succès.
Autonews : Vous visez une carrière internationale. Quelles sont les étapes pour atteindre cet objectif ?
M. E. A. : Pour parvenir à mon objectif d’une carrière internationale, il me faut un palmarès important afin d’être repéré par les meilleures équipes européennes. Aujourd’hui, mes victoires comme le championnat du Maroc, les 24 Heures d’Agadir, mes participations à la MENA Nations Cup avec le Maroc ou encore ma course en Formule 4 en Malaisie m’ont permis d’être repéré par les meilleures équipes de la Ligier European Series. Il me faut également des sponsors pour financer mes courses. Aujourd’hui, je peux compter sur des partenaires, tels que CIH Bank et la MDJS qui m’accompagnent dans mon projet et encouragent la jeunesse marocaine à performer à l’international. Je suis toujours à la recherche d’autres partenaires prêts à me suivre dans mon projet !
Cette année, j’ai pour objectif de remporter de nombreuses courses afin d’accéder à un championnat supérieur doté de plus de courses à l’international. Avec de la persévérance, du travail et de la rigueur, j’espère atteindre mon objectif de faire carrière dans la course automobile internationale et de représenter mon pays au plus haut niveau possible.

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Sport automobile – Moulay El Alaoui : L’étoffe du champion
Moulay El Alaoui est ce qu’on appelle un talent pur. Doué au pilotage, il incarne aujourd’hui l’avenir des sports automobile. Doté d’un calme à toute épreuve, le champion marocain vise les plus hautes marches des podiums mondiaux. Entretien.
Autonews : Vous êtes sacré champion du Maroc à 17 ans. C’est un grand exploit. Parlez-nous de ce sacre et de votre parcours ?
Moulay El Alaoui : Je suis ravi de pouvoir partager avec Autonews mon expérience en tant que champion du Maroc à l’âge de 17 ans. C’était un moment spécial pour moi et cela a été le résultat de beaucoup d’années de travail acharné et de dévouement envers ma passion pour la course automobile. Mon parcours a commencé dès mon plus jeune âge, lorsque j’ai découvert ma passion pour la course automobile en regardant des courses de Formule 1 avec mon père à la télévision. Dès lors, j’ai su que je voulais devenir pilote automobile. J’ai commencé à m’entraîner intensément, en participant à des courses et en travaillant dur pour m’améliorer. J’ai progressé rapidement, en partie grâce au support de mon entourage et de mon équipe, et j’ai commencé à participer à des compétitions plus importantes, y compris des courses à l’international et en Formule 4 en Malaisie. Mon travail acharné a finalement porté ses fruits lorsque j’ai remporté le titre de champion du Maroc à l’âge de 17 ans, en gagnant 3 des 4 manches du championnat. Ce sacre a été un moment inoubliable pour moi, et cela a été le résultat d’un travail laborieux, de discipline et de détermination. Cela m’a également donné la motivation et la confiance nécessaires pour continuer à travailler dur et à poursuivre mes rêves dans le domaine de la course automobile.
Autonews : Vous représentez aujourd’hui l’équipe nationale. Comment prenez-vous cette responsabilité et comment gérez-vous le poids d’une telle mission ?
M. E. A. : Représenter le Maroc en tant que pilote de l’équipe nationale est un honneur et une grande responsabilité que je prends très au sérieux. Cela signifie que je suis le visage de ma nation sur la scène internationale, et cela implique une pression considérable pour réussir et pour représenter mon pays avec fierté et dignité. Selon moi, la pression peut être positive si elle est canalisée de manière appropriée.
Je suis également très fier de représenter mon pays, c’est pour cela que ma couleur préférée est le rouge, que l’on aperçoit sur mon casque, et cela me donne une motivation supplémentaire pour réussir. Je me sens honoré de faire partie de l’équipe nationale et je suis déterminé à tout donner pour atteindre les objectifs que nous nous sommes fixés. Nous avons fini deuxième de la MENA Nations Cup 2020 à Oman où tous les meilleurs pilotes s’affrontent pour hisser leur drapeau national sur la plus haute marche du podium. L’objectif pour la prochaine édition est de remporter la course et c’est avec honneur et détermination que j’accepte cette mission.
Autonews : Quel est votre agenda pour l’année 2023 ?
M. E. A. : En 2023, j’intègre la Ligier European Series. C’est un championnat qui se déroule en Europe sur des circuits de renommée internationale qui accueillent des Grands Prix de Formule 1. Le championnat se compose de six week-ends de course, chacun comprenant deux courses de 50 minutes chacune. Ainsi, je participerai à ce championnat avec l’équipe Smart Driving basée en Italie.
Mon objectif pour 2023 est d’être le premier pilote marocain à participer à ce championnat et de représenter mon équipe et mon pays afin de donner le meilleur de moi-même lors de chaque course. Je suis impatient de relever les défis à venir et de voir ce que l’avenir me réserve pour cette saison 2023 avec des objectifs très relevés et de nombreuses victoires attendues.
Autonews : Comment préparez-vous vos courses et comment se déroulent vos entraînements ?
M. E. A. : En dehors des week-ends de course, je continue à m’entraîner intensément pour améliorer mes compétences de conduite et rester en forme pour les compétitions à venir. Je travaille également avec l’équipe pour affiner notre stratégie et nous assurer que nous sommes en mesure de rivaliser avec les meilleurs concurrents de la série. Pour cela, j’ai de nombreuses journées de tests sur les circuits européens avec mon équipe afin d’être en mesure de remporter chaque course à laquelle nous participons. Pour y parvenir, je m’entraîne physiquement pour être en forme pour la course. Je fais de nombreux exercices permettant d’améliorer ma force, mon endurance et mes réflexes.
Lorsque le week-end de course approche, j’étudie le circuit sur lequel je vais rouler en analysant chaque virage, chaque ligne droite et chaque dénivelé afin d’adapter ma conduite en conséquence et gagner du temps avant les séances d’essais. Ensuite, je travaille avec mon équipe pour régler ma voiture afin qu’elle soit en mesure de performer sur ce circuit. Nous adaptons la voiture au mieux en vue d’être parfaitement réglée pour les conditions de course. En fin de compte, la préparation pour une course est une combinaison de travail acharné, de concentration et d’analyse minutieuse de chaque aspect de la compétition. Tout cela me permet d’aborder la course en toute confiance et de maximiser mes chances de succès.
Autonews : Vous visez une carrière internationale. Quelles sont les étapes pour atteindre cet objectif ?
M. E. A. : Pour parvenir à mon objectif d’une carrière internationale, il me faut un palmarès important afin d’être repéré par les meilleures équipes européennes. Aujourd’hui, mes victoires comme le championnat du Maroc, les 24 Heures d’Agadir, mes participations à la MENA Nations Cup avec le Maroc ou encore ma course en Formule 4 en Malaisie m’ont permis d’être repéré par les meilleures équipes de la Ligier European Series. Il me faut également des sponsors pour financer mes courses. Aujourd’hui, je peux compter sur des partenaires, tels que CIH Bank et la MDJS qui m’accompagnent dans mon projet et encouragent la jeunesse marocaine à performer à l’international. Je suis toujours à la recherche d’autres partenaires prêts à me suivre dans mon projet !
Cette année, j’ai pour objectif de remporter de nombreuses courses afin d’accéder à un championnat supérieur doté de plus de courses à l’international. Avec de la persévérance, du travail et de la rigueur, j’espère atteindre mon objectif de faire carrière dans la course automobile internationale et de représenter mon pays au plus haut niveau possible.
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