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Nouveautés | Mercedes-Benz GLE 53 Hybrid 4Matic+ : Hybridation en marche
Le Mercedes-AMG GLE 53, restylé en janvier 2023, s’offre aujourd’hui une nouvelle propulsion hybride rechargeable, histoire de réduire son empreinte carbone et séduire les écolos amateurs de conduite débridée.
«Sportivité et électrification, ne sont pas inconciliables », telle est la devise des départements sportifs des constructeurs premium. Comme en témoigne BMW Motorsport qui vient de dévoiler les époustouflantes berlines 100% électriques : i5 M60 xDrive et i7 M70 xDrive. Idem pour la manufacture d'Affalterbach qui dégaine le Mercedes-AMG GLE 53 Hybrid 4Matic+. Doté d’une propulsion hybride rechargeable, ce dernier revendique des performances de pointe, doublées d’une bonne autonomie pour parader en ville. Autrement dit, il suffit de solliciter l’accélérateur pour que ce véhicule à vocation familiale se transforme en une vraie bête de course. De quoi épater les adorateurs des SUV Coupé sportif, soucieux de rouler écolo.
Du pareil au même
Globalement, le nouveau venu adopte les évolutions stylistiques et les équipements du GLE-AMG restylé en janvier 2023. Néanmoins, il s’en distingue par des entrées d’air intégrées au centre du bouclier avant, qui permettent d’augmenter le flux de refroidissement moteur. Mais aussi par des monogrammes spécifiques greffés sur les ailes et sur le hayon, signalant son appartenance au club des Mercedes hybrides.
Les évolutions intérieures sont encore plus subtiles. Désormais, l’affichage du système d’infodivertissement MBUX exhibe des caractéristiques spécifiquement hybrides. Entre autres, l'état de charge et la température de la batterie haute tension, ainsi que l'autonomie électrique.
Du reste, le GLE 53 Hybrid repose sur des jantes 21 pouces, livrées de série. A travers lesquelles on entrevoit les énormes disques de frein ventilés : 400 mm à l’avant et 370 mm à l’arrière.
Potentiel électromécanique augmenté
Sous le capot, on retrouve le 6-cylindres en ligne de 3,0 litres de cylindrée. Retravaillé par les motoristes de Stuttgart, sa puissance passe de 435 ch sur la version thermique à 449 ch sur la version hybride. Au passage, son logiciel a été reprogrammé pour accueillir un refroidisseur supplémentaire. Ce six-cylindres est associé à un moteur électrique de 100 kW, ce qui permet de délivrer la puissance cumulée de 400 kW (544 ch) pour un couple maximal de 750 Nm. Faut-il le rappeler, le couple du moteur électrique (480 Nm) est disponible dès le démarrage, ce qui autorise des performances impressionnantes : le 0 à 100 km/h est expédié en 4,7 secondes, tandis que la vitesse maximale est bridée à 250 km/h. Alimenté par une batterie de 31,2 kWh, cet engin revendique l’autonomie théorique d'environ 80 kilomètres, selon le cycle WLTP, et une consommation en électricité d'environ 30 kWh/100km. Tout comme il donne la possibilité de rouler à la vitesse maximale de 140 km/h, en mode tout électrique. Par ailleurs, la recharge de la batterie sur courant alternatif AC (domestique) peut être effectuée par le biais du chargeur 11 kW, livré avec le véhicule. Or, le chargeur rapide (60 kW) à courant continu DC, permettant de recharger la batterie de 10 % à 80 % en 20 minutes, est optionnel.
Dotation généreuse
Pour ce qui est de la dotation de base en équipements de confort et de divertissement, le nouveau venu fait preuve de générosité : toit ouvrant panoramique électrique, sièges avant chauffants, assistant de feux de route adaptatif et intégration d'un smartphone. Même le système d'échappement performance AMG, le système audio Burmester, le pilote de stationnement à 360 degrés, le pack KEYLESS GO et l'assistant d'angle mort sont eux aussi de série sur toutes les finitions. Ajoutez à toutes ces sophistications, le volant performance AMG avec boutons ronds, dont l’affichage permet de commander intuitivement plusieurs fonctions, et vous obtenez un cockpit digne d’un dreamliner.
Tout compte fait, en Europe, les tarifs du Mercedes-AMG 53 Hybrid 4Matic+ démarrent à 125 515 euros pour le SUV et 133 851 euros pour le Coupé.
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Nouveautés | Mercedes Classe E (2023) - Auto-Moto
Toujours plus d’innovations, telle est la devise du constructeur Mercedes qui propose une nouvelle Classe E bardée d’interfaces numériques high-tech, d’assistants électroniques évolués, le tout dans un espace intérieur revu à la hausse.
A une époque où les SUV dominent sans partage le marché automobile, où les grandes berlines sont sans cesse fustigées par les défenseurs de la cause écologique, le constructeur Mercedes persiste et signe en dévoilant la nouvelle Classe E. Et ce, quand bien même les chiffres de vente de la «E» sont en constante régression.
Pour épater la galerie, la révélation eut lieu à Stuttgart au sein de l’usine Sindelfingen, considérée comme le berceau de la production Mercedes.
Le renouveau de ce modèle consiste en l’adoption d’une nouvelle plateforme, empruntée à sa grande sœur Classe S, et des roues arrière directrices, ce qui présage d’un confort princier et d’une tenue de route irréprochable. Son style dynamique dans la continuité du modèle précédent, recèle néanmoins un réel renouvellement, notamment au niveau de la face avant, plus élégante que jamais, avec des feux reliés à la calandre surdimensionnée.
En tout point de vue, la ligne cette grande berline allie tradition et modernité avec des proportions classiques à trois volumes et un design avant-gardiste. Sa silhouette, soulignée de porte-à-faux réduits et du long capot moteur nervuré, recèle une belle fluidité des lignes. Ce sentiment de dynamisme est d’autant plus renforcé par les poignées de porte affleurantes à la carrosserie, proposées optionnelles.
La face avant, en revanche, est mise en valeur par une nouvelle signature lumineuse, dont les nombreuses diodes soulignent les blocs optiques et le contour de la calandre.
Même constat à l’arrière où le graphisme des feux en étoiles trois branches procure une touche d’élégance à la poupe.
Longue de 4,95 m, la sixième génération de la Mercedes Classe E lorgne de plus en plus vers la Classe S, en adoptant un empattement revu à la hausse (+ 22 mm), au bénéfice de l’habitabilité.
Totalement inédite, l’intérieur de cette grande routière se dote de la dernière génération du système d’infodivertissement MBUX, compatible avec la connexion 5G. Mais, la palme de l’innovation réside dans le tableau de bord numérique, baptisé Superscreen.
En plus de la dalle numérique disposée face au conducteur, une surface en verre s’étend du volant jusqu’à la porte passager. Tenant lieu d’un poste de commande, cette partie abrite deux écrans juxtaposés. Outre l’écran d’infodivertissement érigé au milieu, le passager, lui aussi, bénéficie de son propre écran pour regarder les films en streaming ou surfer sur internet.
Pour ce qui est du mobilier,le cachet Mercedes est bien palpable, en raison du confort des assises et de la bonne facture des habillages. Les acheteurs ont l’embarras du choix des combinaisons des couleurs intérieures, dont la palette s’étend du beige clair, au gris cool, en passant par le marron.
L’agencement prend des couleurs avec un éclairage d’ambiance sous forme d’un arc reliant le pare-brise et les portières. Intégrée à la planche de bord, la console centrale abrite un espace de rangement et des porte-gobelets, surmontés d’un accoudoir rembourré.
Pour le reste, l’habitacle est truffé de caméras intérieures destinées à reconnaitre les gestes du conducteur pour activer une fonction. Il suffit, par exemple, qu’il tende la main vers le plafonnier pour que la liseuse s’allume. Plus insolite encore, une caméra placée au centre du tableau de bord permet de prendre des selfies.
Sous le capot de la nouvelle Classe E, on retrouve les blocs de la génération précédente. Il s’agit du bloc à essence de 204 ch qui équipe la version d’entrée de gamme, E 200, et du 4-cylindres Diesel développant 197 ch, qui anime la version 220d. Sobre à l’usage, ce dernier peut être secondé par la direction à deux ou quatre roues motrices. Les deux blocs bénéficient de la micro-hybridation (48 V), qui booste la puissance lors des relances.
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les prix et les équipements de Mercedes Classe E
L’offre en matière de motorisations hybrides rechargeables, quant à elle, se décline en deux versions (312 ch et 381 ch), dont l’autonomie électrique atteint environ 100 km.
Tout compte fait, la Mercedes Classe E, sixième du nom, réalise un bond qualitatif et quantitatif spectaculaire, ce qui fait presque disparaître les frontières avec la prestigieuse Mercedes Classe S. Ses tarifs seront dévoilés le 4 juillet, et sa commercialisation interviendra en septembre prochain.
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Nouveautés | Mercedes EQS SUV : Plus que parfait, mais Electrochoquant
Inspiré de la limousine électrique, le Mercedes EQS SUV se place à l’avant-garde de la mobilité verte, à la lumière de son autonomie et de sa rapidité de recharge, ainsi que pour ses nombreux assistants électroniques de conduite et de confort, qui procurent une expérience de conduite ultra sophistiquée.
Doucement, mais sûrement, le constructeur Mercedes tourne le dos aux propulsions thermiques, et s’engage progressivement dans la voie de l’électrification. Après l’EQA, l’EQB, l’EQC, l’EQE, l’EQS, la marque à l’étoile a révélé dernièrement un somptueux SUV EQS, décliné de la berline hyponyme.
Totalement inédit, le nouveau né de la gamme électrique est gratifié d’innovations avant-gardistes et d’un habitacle aussi somptueux que spacieux pour sept passagers. Grâce à ses puissants moteurs électriques, à sa transmission intégrale 4MATIC très réactive et à son programme de conduite OFFROAD intelligent, ce modèle est capable de s’aventurer hors des sentiers battus. Bien que sa taille semble plus réduite que celle de la berline, le nouveau venu affiche des mensurations régaliennes : 5,12 m de long, pour 1,959 m de large, et une hauteur de caisse pointant à 1,71 m… Mais avant de prendre place à bord, faisons le petit tour du propriétaire.
Carrure athlétique
Sur le plan esthétique, le premier SUV 100% électrique de Mercedes arbore un design bien inspiré, conciliant la sensualité des lignes et les exigences aérodynamiques. Ceci se traduit par des surfaces et des volumes généreusement modelés, qui se succèdent dans une fluidité remarquable.
Monolithique, la partie avant se distingue par des phares au dessin très original, reliés à la bande lumineuse qui souligne le faciès. Mais aussi par la calandre noire (Black Panel) qui abrite les nombreux capteurs et des systèmes d’aide à la conduite, tels que l’ultrason, la caméra et le radar. L’ensemble est surmonté d’un capot moteur bien nervuré.
Le profil est de même acabit avec des ailes avant arrondies et des épaules musclées, ce qui procure un aspect bodybuildé à l’engin. Le montant C étant repoussé loin vers l’arrière, l’habitacle semble visuellement plus spacieux. Reposant sur de grandes roues de 20 à 22 pouces, l’EQS SUV se signale également par son caractère robuste. Outre les poignées de porte affleurantes, livrées de série, un toit ouvrant panoramique est disponible en option. Celui-ci se compose de deux modules qui forment ensemble une très grande surface vitrée et offrent ainsi beaucoup de transparence et de luminosité dans l’habitacle.
Du reste, les éléments du feu arrière, taillés sous forme d’une hélice 3D incurvée, se combinent à merveille avec le bandeau lumineux, ce qui lui procure une signature lumineuse distinctive… Pour ce qui est de l’accueil à bord, le nouveau SUV partage avec l’EQS berline la même longueur d’empattement, 3,2 m, ce qui suggère un niveau d’habitabilité royal.
Ambiance Star Trek
A l’intérieur, la numérisation est poussée à son paroxysme : l’Hyperscreen MBUX, abritant les écrans haute résolution de l’interface média et de l’instrumentation, recouvre la quasi-totalité de la planche de bord. Qui plus est, le passager avant bénéficie de son propre écran OLED de 12,3 pouces.
Ici, on apprécie la forme des sorties d’aération dessinées sous forme de turbines, ainsi que la monumentale console centrale qui délimite l’espace entre les deux sièges avant. En tant que véhicule électrique, l’EQS est dépourvu de transmission intégrale, et ladite console centrale abrite un gigantesque espace de rangement.
Outre l’ergonomie, le nouveau né de Mercedes revendique une modularité inédite : 7 passagers peuvent prendre place sur trois rangées de sièges. Dans cette configuration, la banquette fractionnable du deuxième rang s’escamote électriquement pour permettre l’accès à la troisième rangée. Dédiée accessoirement à des occupants au gabarit réduit, cette dernière se replie en deux temps trois mouvements dans le plancher. Enfin, le volume de chargement du coffre peut passer de 565 litres en configuration 5 places à 2 000 litres lorsque les banquettes sont rabattues. Hormis le confort et le bien-être à bord, l’EQS SUV dispose d’une carte maîtresse dans sa manche : l’autonomie de sa propulsion efficiente.
Alors que la commercialisation effective de l’EQS SUV interviendra en Europe à partir du premier semestre 2023, son carnet de commande est déjà ouvert dans plusieurs pays. L’offre se compose d’une version d’entrée de gamme (450 4Matic) et une autre plus huppée (580 4Matic).
Autonomie élevée
Si la première affiche une puissance de 360 ch pour un couple de 800 Nm, l’autre génère la cavalerie de 536 ch, au bas mot. Les deux modèles sont alimentés par une batterie de 107,8 kWh, et réclament une consommation électrique qui s’échelonne entre 20,2 kWh et 24,3 kWh /100 km. De quoi assurer l’autonomie inédite de 613 km, à condition qu’ils soient chaussés de pneumatiques de 20 pouces. Autre performance et non des moindres, l’opération de recharge s’effectue en environ 30 secondes pour atteindre 80%. Ceci il le doit à ses batteries perfectionnées qui autorisent une charge de 200 kW.
Quant au confort de roulement et la tenue de route, le SUV de Stuttgart adopte la suspension pneumatique Airmatic qui travaille de concert avec l’amortissement piloté, dont la rigidité est régulée automatiquement. Ajoutez à cela un système à quatre roues directrices, dont l’angle de braquage peut être porté jusqu’à 10 degrés, et voilà le gigantesque SUV de 2,6 tonnes qui affiche une agilité déconcertante sur les routes sinueuses. Autant dire que ce modèle se conjugue au plus que parfait sur tous les registres, sauf celui de… l’accessibilité. Son tarif démarre à quelque chose comme 1,8 million de DH. C’est électrochoquant !
Nouveautés | Mercedes EQS SUV : Plus que parfait, mais Electrochquant
Inspiré de la limousine électrique, le Mercedes EQS SUV se place à l’avant-garde de la mobilité verte, à la lumière de son autonomie et de sa rapidité de recharge, ainsi que pour ses nombreux assistants électroniques de conduite et de confort, qui procurent une expérience de conduite ultra sophistiquée.
Doucement, mais sûrement, le constructeur Mercedes tourne le dos aux propulsions thermiques, et s’engage progressivement dans la voie de l’électrification. Après l’EQA, l’EQB, l’EQC, l’EQE, l’EQS, la marque à l’étoile a révélé dernièrement un somptueux SUV EQS, décliné de la berline hyponyme.
Totalement inédit, le nouveau né de la gamme électrique est gratifié d’innovations avant-gardistes et d’un habitacle aussi somptueux que spacieux pour sept passagers. Grâce à ses puissants moteurs électriques, à sa transmission intégrale 4MATIC très réactive et à son programme de conduite OFFROAD intelligent, ce modèle est capable de s’aventurer hors des sentiers battus. Bien que sa taille semble plus réduite que celle de la berline, le nouveau venu affiche des mensurations régaliennes : 5,12 m de long, pour 1,959 m de large, et une hauteur de caisse pointant à 1,71 m… Mais avant de prendre place à bord, faisons le petit tour du propriétaire.
Carrure athlétique
Sur le plan esthétique, le premier SUV 100% électrique de Mercedes arbore un design bien inspiré, conciliant la sensualité des lignes et les exigences aérodynamiques. Ceci se traduit par des surfaces et des volumes généreusement modelés, qui se succèdent dans une fluidité remarquable.
Monolithique, la partie avant se distingue par des phares au dessin très original, reliés à la bande lumineuse qui souligne le faciès. Mais aussi par la calandre noire (Black Panel) qui abrite les nombreux capteurs et des systèmes d’aide à la conduite, tels que l’ultrason, la caméra et le radar. L’ensemble est surmonté d’un capot moteur bien nervuré.
Le profil est de même acabit avec des ailes avant arrondies et des épaules musclées, ce qui procure un aspect bodybuildé à l’engin. Le montant C étant repoussé loin vers l’arrière, l’habitacle semble visuellement plus spacieux. Reposant sur de grandes roues de 20 à 22 pouces, l’EQS SUV se signale également par son caractère robuste. Outre les poignées de porte affleurantes, livrées de série, un toit ouvrant panoramique est disponible en option. Celui-ci se compose de deux modules qui forment ensemble une très grande surface vitrée et offrent ainsi beaucoup de transparence et de luminosité dans l’habitacle.
Du reste, les éléments du feu arrière, taillés sous forme d’une hélice 3D incurvée, se combinent à merveille avec le bandeau lumineux, ce qui lui procure une signature lumineuse distinctive… Pour ce qui est de l’accueil à bord, le nouveau SUV partage avec l’EQS berline la même longueur d’empattement,3,2 m, ce qui suggère un niveau d’habitabilité royal.
Ambiance Star Trek
A l’intérieur, la numérisation est poussée à son paroxysme : l’Hyperscreen MBUX, abritant les écrans haute résolution de l’interface média et de l’instrumentation, recouvre la quasi-totalité de la planche de bord. Qui plus est, le passager avant bénéficie de son propre écran OLED de 12,3 pouces.
Ici, on apprécie la forme des sorties d’aération dessinées sous forme de turbines, ainsi que la monumentale console centrale qui délimite l’espace entre les deux sièges avant. En tant que véhicule électrique, l’EQS est dépourvu de transmission intégrale, et ladite console centrale abrite un gigantesque espace de rangement.
Outre l’ergonomie, le nouveau né de Mercedes revendique une modularité inédite : 7 passagers peuvent prendre place sur trois rangées de sièges. Dans cette configuration, la banquette fractionnable du deuxième rang s’escamote électriquement pour permettre l’accès à la troisième rangée. Dédiée accessoirement à des occupants au gabarit réduit, cette dernière se replie en deux temps trois mouvements dans le plancher. Enfin, le volume de chargement du coffre peut passer de 565 litres en configuration 5 places à 2 000 litres lorsque les banquettes sont rabattues. Hormis le confort et le bien-être à bord, l’EQS SUV dispose d’une carte maîtresse dans sa manche : l’autonomie de sa propulsion efficiente.
Alors que la commercialisation effective de l’EQS SUV interviendra en Europe à partir du premier semestre 2023, son carnet de commande est déjà ouvert dans plusieurs pays. L’offre se compose d’une version d’entrée de gamme (450 4Matic) et une autre plus huppée (580 4Matic).
Autonomie élevée
Si la première affiche une puissance de 360 ch pour un couple de 800 Nm, l’autre génère la cavalerie de 536 ch, au bas mot. Les deux modèles sont alimentés par une batterie de 107,8 kWh, et réclament une consommation électrique qui s’échelonne entre 20,2 kWh et 24,3 kWh /100 km. De quoi assurer l’autonomie inédite de 613 km, à condition qu’ils soient chaussés de pneumatiques de 20 pouces. Autre performance et non des moindres, l’opération de recharge s’effectue en environ 30 secondes pour atteindre 80%. Ceci il le doit à ses batteries perfectionnées qui autorisent une charge de 200 kW.
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les prix et les équipements de Mercedes EQS SUV
Quant au confort de roulement et la tenue de route, le SUV de Stuttgart adopte la suspension pneumatique Airmatic qui travaille de concert avec l’amortissement piloté, dont la rigidité est régulée automatiquement. Ajoutez à cela un système à quatre roues directrices, dont l’angle de braquage peut être porté jusqu’à 10 degrés, et voilà le gigantesque SUV de 2,6 tonnes qui affiche une agilité déconcertante sur les routes sinueuses. Autant dire que ce modèle se conjugue au plus que parfait sur tous les registres, sauf celui de… l’accessibilité. Son tarif démarre à quelque chose comme 1,8 million de DH. C’est électrochoquant !
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Nouveautés | Mercedes-AMG GT 63 S E Performance : L’étoile filante
Mercedes dégaine son premier modèle E Performance avec le coupé quatre portes AMG GT 63 S E Performance. Son tonitruant V8 maison, secondé par un moteur électrique, lui permet de revendiquer le titre du modèle AMG de série le plus puissant de toute l’histoire de la marque. Belle prouesse !
Aucune marque automobile n’échappe au dictat de l’électrification, y compris les départements sportifs des labels de luxe. Après avoir électrifié avec succès la presque totalité de sa gamme, le constructeur Mercedes s’attèle désormais à la conversion de ses bolides, signés AMG. Le nouveau coupé E Performance, en tant que première voiture hybride Performance de Mercedes-AMG, s’inspire largement de l’univers de la Formule 1.
Son système de propulsion hybride est animé par un moteur électrique et une batterie greffés sur l’essieu arrière. Résultat : la consommation de carburant combinée se limite à quelque chose comme 8,6 l/100 km et les émissions de CO2 ne dépassent pas 196 g/km.
4 roues motrices
Bien qu’elle soit sobre, cette sportive n’en demeure pas moins dynamique en affichant des performances impressionnantes. Ceci, elle le doit à une chaîne cinématique ad hoc, faisant appel au bloc V8 biturbo de 4,0 litres, combiné à un moteur électrique. L’ensemble génère la puissance stratosphérique de 843 ch pour un couple de 1 400 Nm. Des caractéristiques dignes d’une locomotive de TGV.
Selon le constructeur allemand, l’entraînement électrique de l’essieu arrière assure une agilité impressionnante, conjuguée à des montées rapides du couple. De telles modifications procurent une expérience de conduite très dynamique, pareilles à celles d’une Formule 1, tant la batterie est bien conçue pour fournir et absorber rapidement la puissance.
Les limites de l’hybridation
Techniquement, la récupération d’énergie s’effectue selon 4 modes, qui s’étendent de la régénération nulle, c’est-à-dire rouler exclusivement avec le moteur thermique, jusqu’au fonctionnement «One Pedal» qui peut ralentir la voiture jusqu’à l’arrêt en régénérant plus de100 kW. Ceci est mis en œuvre à travers 7 modes de conduite : Dynamic Select AMG «Electric», «Comfort», «Sport», «Sport+», «RACE», «Chaussée glissante» et «Individual». Chacun d’eux donne la possibilité d’optimiser au mieux la nouvelle configuration de propulsion hybride rechargeable.
Tout cela est beau, mais demeure irrémédiablement insuffisant pour prétendre à de réelles économies de carburant : l’autonomie de la batterie étant limitée à seulement 12 kilomètres en mode 100%, les relances du moteur thermique devront s’effectuer en permanence pour venir à la rescousse de son homologue électrique.
A couper le souffle
Pour ce qui est du design, le Mercedes-AMG GT arbore un design expressif avec un capot moteur effilé, une silhouette musclée et abaissée, ainsi qu’un imposant hayon arrière soulignant les gènes sportifs du coupé 4 portes. La jupe avant caractéristique, qui reprend le design de l’AMG GT deux portes, est un élément marquant. Les prises d’air extérieures sont plus larges et plus pointues vers le centre de la voiture. Le flux d’air est canalisé par trois ailettes verticales vers les radiateurs des passages de roue.
Le bouclier arrière abrite la trappe de prise de chargement de la batterie, et la double sortie d’échappement trapézoïdale. Sur le côté, aucun changement notable, si ce n’est le monogramme «E Performance» flanqué sur les ailes. Globalement, ce bolide brille par quelques touches spécifiques greffées çà et là sur la carrosserie, rappelant sa propulsion hybride. En même temps, de larges possibilités de personnalisation sont proposées, à l’instar du Pack Sport Black AMG II, qui subjugue par sa sportivité débridée. En outre, de nouvelles jantes alliage 20 et 21 pouces sont disponibles en deux variantes de coloris chacune.
Dotation spécifique
Par ailleurs, l’AMG GT 63 S E Performance, en tant que nouveau fleuron de sa série, est particulièrement bien équipé. On note surtout l’intégration du train de roulement AMG RIDE CONTROL+, mettant en œuvre un nouveau système d’amortissement. Mais aussi un nouveau système de freinage bonifié de gigantesques disques en carbone - céramique.
Enfin, l’ambiance intérieure respire la sportivité même dans les infimes détails. Du volant à double branches intégrant les boutons de changement de vitesse, jusqu’aux sièges baquet avant et arrière séparés par la console qui délimite l’habitacle dans le sens de la longueur, en passant par la garniture en carbone de la planche de bord, ou encore le système multimédia MBUX avec écrans spécifiquement dédiés à la version hybride…
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Nouveautés | Mercedes-benz S 680 GUARD 4MATIC : La Tanière des Loups
Sûre et ultra protégée, la nouvelle limousine allemande est digne de la «Tanière du loup», le tristement célèbre quartier général qui servait d’abri pour le Führer durant la Seconde Guerre mondiale. Avec son luxe démesuré et ses équipements hors du commun, elle séduira probablement les nouveaux Loups de… Wall Street.
Protégée par des blindages indestructibles, la Mercedes Classe S 680 GUARD 4MATIC est une forteresse roulante capable de procurer toute la sécurité requise à des chefs d’Etat en bisbille avec leurs opposants, aux richissimes hommes d’affaires craignant pour leur vie et celles de leurs proches, ainsi qu’aux «barons» qui trempent dans le trafic des substances illicites, Ô combien humanisées dans les séries de Netflix. Selon le constructeur allemand, cette machine de guerre, particulièrement résistante aux charges explosives, répond au niveau le plus élevé des tests balistiques. En même temps, elle est la première berline, typée GUARD, d’origine Mercedes, qui bénéficie de la transmission intégrale 4MATIC.
Faut-il rappeler que la marque allemande, chez qui le sultan Hassan 1er avait commandé un modèle avec baldaquin, en 1892, propose de larges possibilités de personnalisation stylistiques et techniques sur l’ensemble de sa gamme. Mais ceci n’est pas le cas de la S 680 GUARD qui, compte tenu de sa vocation exclusivement sécuritaire, se veut un modèle à part entière. Plutôt que d’adopter une structure soudée avec des matériaux de protection intégrés, son nouveau système de protection intégré (iSS) se compose d’une caisse nue spécifique GUARD. Il s’agit d’une cellule protectrice autoportante, taillée dans des matériaux hautement résistants, dissimulée sous une carrosserie en aluminium au style à la fois charismatique et discret.
Bunker roulant
Rien d’étonnant donc que l’allure générale de la S 680 GUARD demeure en tout point inchangée par rapport à la version standard. Sa face avant imposante arbore tous les signes de robustesse dignes d’une bonne Mercedes, sa silhouette élancée souligne la grandeur de son prestige, tandis que la partie arrière, lestée d’un coffre surélevé, confirme son statut de grande berline.
Mais ce qui frappe davantage dans ce modèle, ce sont les matériaux et la qualité des vitres sandwich multicouche, dont l’épaisseur impressionnante répond aux exigences élevées de la classification de sécurité VR10. Bien qu’elles soient recouvertes d’une protection pare-éclats en polycarbonate renforçant leurs propriétés protectrices, cela ne les empêche pas de procurer une bonne qualité visuelle.
Étant certifiée par le Beschussamt d’Ulm (un organisme d’essai pour les armes), la nouvelle Classe S 680 GUARD répond aux exigences de la plus haute classe de protection : la carrosserie et les vitres doivent être capables de résister à un tir de fusil d’assaut avec des munitions en acier dur. Elle est aussi considérée comme étant le premier véhicule civil à réussir haut la main tous ces tests, où elle a obtenu le score de trois étoiles sur trois pour la protection du toit, du plancher et des parties latérales. A l’issue des essais, les mannequins biofidèles utilisés n’avaient pas subi des dommages corporels notables.
Gadgets insolites
L’habitacle, lui aussi, bénéficie des hauts standards de sécurité, tout comme il respecte les codes du langage «Seamless» privilégiant la clarté sensuelle. Ceci il le doit à la forme réduite des jointures de la carrosserie. Déclinée en deux versions (quatre et cinq places), la nouvelle venue offre un niveau de confort identique à celui de la limousine Classe S. A cet égard, elle propose plus de 80 possibilités de personnalisation, allant de l’éclairage d’ambiance actif aux sièges arrière First-Class et aux airbags arrière, en passant par l’écran média à technologie OLED. Il n’y a pratiquement aucune restriction en termes d’inserts décoratifs et de combinaisons de couleurs. En revanche, par souci de sécurité, des options, comme le toit ouvrant, n’ont pas droit d’exister.
Autres perfectionnements et non des moindres, la S 680 GUARD 4MATIC est équipée d’actuateurs de portes électromécaniques minimisant l’effort lors de l’ouverture et de la fermeture. Leur blindage, lourd et massif, ne se fait pas trop sentir lors de leur actionnement sur un terrain plat, et même lorsque le véhicule est garé sur une pente. Du coup, les gardes du corps ont les mains libres pour agir rapidement à n’importe quel moment.
Plus insolite encore, les boutons des lève-vitres se dédoublent de commandes de secours hydrauliques. Placées sur la console centrale, celles-ci peuvent être toujours actionnées pour fermer les vitres, même en cas de défaillance du réseau électrique provoquée par une explosion. Pour ce qui est des gadgets de sécurité, la limousine de Stuttgart dispose d’un système d’extinction d’incendie avec fonction de déclenchement automatique, assorti d’un système d’air frais d’urgence qui protège contre les gaz irritants. Sans oublier toute la panoplie dédiée aux autorités, telle que la sirène, les feux à éclats, les émetteurs-récepteurs radios, un système d’alarme pour les personnes en danger…
V12 sophistiqué
Question motorisation, la plus sûre des Mercedes ne fait pas non plus dans la dentelle avec le V12 biturbo, dont le turbocompresseur, le collecteur d’échappement et le refroidissement par air ont été largement perfectionnés. C’est un douze-cylindres de 5 980 cm3 de cylindrée, qui délivre la puissance de 612 ch pour un couple maxi atteignant 830 Nm, dès 2 000 tr/min. Malheureusement, les performances ne sont pas à la hauteur de ces chiffres impressionnants : la vitesse de pointe se limite à 190 km/h. Tout comme la consommation gargantuesque qui tourne autour de 20 l/100 km. C’est, justement, le tribut à payer pour l’embonpoint colossal.
Au final, la Mercedes S 680 GUARD devrait faire son premier show, en septembre, au salon de Munich. Son tarif supérieur à 5 millions de DH est à la hauteur de sa démesure.
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Nouveautés | Mercedes Classe E restylée : Du pareil au même
Dans la gamme Classe E, ce sont les versions «berline» et «break», les premières à faire l’objet d’une discrète mise à jour. Elles seront bientôt suivies par les déclinaisons «coupé» et «cabriolet».
Globalement, ce lifting de mi-carrière se résume en un semblant de ravalement de façade, qui se limite à des phares avant redessinés et un nouveau volant… Pas vraiment de quoi réanimer la grande routière Mercedes qui, traînant une physionomie disgracieuse et un design un peu vieillot, ne paye pas de mine face à des rivales plus fringantes.
Dans cette guéguerre de créativité stylistique, la BMW Série 5 se place en avant-garde : allure svelte et tempérament dynamique en font la routière la plus dynamique du marché. Pour ne rien dire de la toute nouvelle Audi A6, totalement renouvelée, tant et si bien qu’elle fait magistralement cohabiter le luxe d’un vaisseau amiral à la vivacité d’une belle berline.
Éternel retour
Avec plus de 14 millions d’exemplaires livrés, depuis 1946, la Classe E détient le record des ventes dans l’histoire de Mercedes-Benz. Sa dixième génération, lancée en 2016, se contente donc de dupliquer l’ancienne recette avec des phares avant remodelés. Leur découpe un peu moins grande forme une pointe vers la calandre. Celle-ci voit tout simplement son trapèze inversé.
A l’arrière, les modifications sont un peu plus intéressantes. Pour la version berline, les feux verticaux laissent place à des feux horizontaux qui, débordant sur le couvercle de la malle, sont reliés par une baguette chromée. La grande routière de Stuttgart est également disponible en un pack AMG Line, au look plus musclé. En revanche, la version break baroudeur All-Terrain, non importée au Maroc, adopte désormais de nouveaux phares et une calandre hexagonale.
Le confort d’abord
A l’intérieur, les changements sont encore plus subtils. Si la planche de bord n’a fait l’objet d’aucune retouche, le poste de conduite bénéficie, tout de même, d’un nouveau volant avec des branches dédoublées, pourvues de touches tactiles, de chaque côté. Le conducteur a droit à deux écrans de 10,25 pouces, juxtaposés l’un à côté de l’autre. Le premier recoupe les données de l’instrumentation, l’autre affiche les informations relatives à l’infodivertissement. Comme il fallait s’y attendre, ce modèle adopte le système multimédia MBUX avec les commandes vocales «Hey Mercedes». De nouvelles ambiances et selleries sont proposées. Question aménagement, le design des sièges avant taille XXL souligne le cachet haut standing du modèle, en assurant un maintien latéral maximal sans négliger le confort, grâce au rembourrage prononcé sur les côtés. A ce titre, de nouveaux habillages en tissu, similicuir ARTICO, cuir gaufré ou encore cuir Nappa avec matelassage en losange, font leur apparition.
Hybridation totale
Côté équipements, rien à signaler, si ce n’est le volant qui devient capacitif, c’est-à-dire que le conducteur peut utiliser la fonction de conduite semi-autonome, sans qu’il ait besoin de braquer légèrement le volant pour signaler qu’il reste attentif. Il lui suffit seulement de toucher la jante du volant. Dans ce même ordre d’idées, l’assistant d’angle mort reçoit un avertisseur de sortie du véhicule, qui alerte de la présence d’une autre voiture ou vélo, au moment d’ouvrir la porte. Sur le plan des aides à la conduite, cette grande «étoile» s’offre une aide à la conduite dans les embouteillages, qui se charge de relancer automatiquement l’engin après une minute d’arrêt.
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les prix et les équipements de la Classe E
Sous le capot, il y a une large gamme de moteurs essence et diesel. Parmi lesquels, on trouve un 4-cylindres doté d’une micro-hybridation avec alterno-démarreur. Compte tenu de la récupération d’énergie et de la possibilité de rouler en mode croisière, c’est-à-dire moteur coupé, ce bloc essence promet une belle efficience. La Classe E s’animera également du nouveau 6-cylindres essence en ligne, également pourvu de la micro-hybridation. D’autres versions hybrides rechargeables essence et diesel arriveront plus tard.
Concernant la date d’importation, rien n’est encore sûr avec le report du Salon Auto-Expo, qui devait se tenir en juin prochain.
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