Après Casablanca et Marrakech, Porsche étoffe son réseau national avec l’implantation d’un nouveau centre à Tanger. Cette nouvelle ouverture a également donné lieu, à la présentation de la nouvelle Porsche Panamera. Les Tangérois férus de la maison Porsche disposent désormais d’un nouveau centre Porsche. L’ouverture de ce 3ème centre, stratégiquement situé dans le nord du Maroc, confirme l’aspiration de Porsche d’élargir son réseau afin d’établir une relation de proximité avec ses clients marocains. Indépendant du nouveau concessionnaire Porsche à Tanger (RA Motor), ce nouveau centre permettra aux adeptes de la marque allemande, de bénéficier d’une représentation significative en termes de services automobiles. Il est doté d’un atelier de 815 m2 dédié au service après-vente, un nouveau showroom, un service d’entretien et de recharge pour les modèles électriques, ainsi qu’un Carrera Café pour la pause détente de ses clients. Commentant cet évènement, Said El Rhana, Directeur Général du Centre Porsche Tanger, a déclaré : «Jusqu'à présent, la marque était principalement présente à Casablanca, ce qui limitait l'accès de ses clients résidant dans le nord du pays. Nous sommes donc ravis d'annoncer l'ouverture du nouveau Centre Porsche Tanger, qui rendra les services de vente et de maintenance plus accessibles à cette communauté». Par ailleurs, le coup d’envoi de cette nouvelle ouverture a été célébrée, autour d’un ftour cérémonial, en présence de clients, médias ainsi que d’Aileen Fahr, Responsable de la Région Afrique et Levant chez Porsche Middle East, et de Ralph Uhlmann, Directeur du Développement réseau et de la relation client (CPM) chez Porsche Middle East. Faut-il le rappeler RA Motor commercialise, à Tanger, également les marques Volkswagen, Audi, Seat, Cupra et Skoda. A quand l’ouverture du 4ème centre Porsche ?

Avec sa traction 100% électrique, le Macan marche sur les pas du Taycan, et devient le deuxième modèle «watté» de Porsche, consolidant ainsi sa position dans le créneau en vogue de l’électrification. Après 10 ans de fidèles et loyaux services, couronnés d’un remarquable bilan de ventes (800 000 unités), le Macan passe le témoin à une deuxième génération 100% électrique. Reposant sur la plateforme PPE (Premium Platform Electric), la silhouette du nouveau venu reste fidèle à celle de son prédécesseur, signe que les designers ont manqué d’audace pour modifier sa ligne. Si le Macan est toujours reconnaissable par son design expressif, son confort d’utilisation au quotidien, tout autant que ses performances dynamiques, ont été revus à la hausse. On reprend les mêmes… Avec ses proportions compactes, rythmées par des lignes et des surfaces épurées, le Macan reste fidèle à son ADN plutôt originale. Comme il fallait s’y attendre, la face avant fait l’impasse sur la calandre, mais conserve les feux à quatre points lumineux. Or, le tempérament sportif semble plus affirmé, en raison de la faible inclinaison du capot moteur et du galbe prononcé des ailes. Massive et trapue, la partie arrière est reconnaissable par son bandeau lumineux qui traverse le hayon d’un bout à l’autre. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de le Macan Le profil, pour sa part, se distingue par sa hauteur de caisse relevée (+16 mm, soit 1,622 m au total),ce qui permet de dégager de l’espace pour loger les batteries lithium-ion sous le plancher. Ajoutez à cela des jantes dont le diamètre peut atteindre 22 pouces, et vous obtenez une posture plus dominante que jamais. Idem pour l’empattement qui a été revu à la hausse (+86 mm), au bénéfice de l’habitabilité. Merci Taycan Pour ce qui est de l’aménagement intérieur, Porsche n’y est pas allé par quatre chemins, en jouant à fond la carte de l’économie d’échelle. La planche de bord, tirée tout droit de la banque d’organes du Taycan, se signale par un haut degré de digitalisation. Comme en témoigne l’écran tactile central, doublé d’un autre placé en face du passager avant, sans oublier le combiné d’instrumentation(12,6 pouces). Ambiance digitalisée La bande lumineuse à LED, soulignant le tableau de bord et les portières avant, ajoute une touche de gaieté à cette ambiance. Tout comme elle délivre des avertissements via des animations lumineuses, telles que l’accueil à bord, la recharge en cours, et l’activation des systèmes d’aide à la conduite. Quant au confort, la découpe des sièges avant semble plus sportive avec des rembourrages enveloppants et des assises plus basses (-28 mm) qu’auparavant. Du reste, le volume de chargement du coffre (540 litres), est extensible à 1 348 litres lorsque le dossier de la banquette est rabattu. À cela s’ajoutent 84 litres du compartiment à bagage situé sous le capot avant. Performances électrisantes Équipé de la dernière génération de moteurs électriques synchrones, le Macan se place à l’avant-garde des SUV compact premium à tendance sportive. Répartis entre les trains avant et arrière, les deux moteurs lui confèrent un formidable rendement énergétique optimal, assorti d’une belle cavalerie. Jugez plutôt, en activant la fonction Launch Control, le Macan 4 développe jusqu’à 408 ch (300 kW), pour un couple de 650 Nm. Plus puissant encore, le Macan Turbo revendique jusqu’à 639 ch (470 kW), et un couple faramineux de 1 130 Nm. Et bien sûr, les performances sont impressionnantes : le Macan 4 expédie le 0 à 100 km/h en 5,2 secondes et atteint la vitesse maximale de 220 km/h. De son côté, le Macan Turbo plie l’affaire en seulement 3,3 secondes et flirte avec les 260 km/h, en vitesse de pointe. Sur le papier, l’autonomie peut aller jusqu’à 613 km, en fonction des conditions d’utilisation et du mode de conduite. Avec l’adoption de la plateforme PPE (Premium Platform Electric), le Macan bénéficie de l’architecture 800 V. Du coup, la recharge de la batterie (95 kWh utiles) de 10 à 80% peut être effectuée en 21 minutes, à condition d’utiliser une borne appropriée. Idem pour la puissance de récupération d’énergie qui peut atteindre 240 kW. Au final, la commercialisation du Macan électrifié interviendra, en Europe, à partir du deuxième semestre 2024, à des tarifs qui s’échelonnent de 86 439 euros, pour le Macan 4, à 118 910 euros, pour le Macan Turbo. Des tarifs somme toute exorbitants. Galerie

Aussi efficace soient-ils, mais privés de motorisation Diesel, les modèles Honda peinent à séduire la clientèle marocaine, principalement adepte du mazout. C’est le talon d’Achille de plusieurs marques automobiles qui, pour y remédier, diversifient leur gamme par l’introduction de nouvelles versions hybrides. C’est justement le cas de Honda qui introduit la nouvelle version du CR-V e:HEV Full Hybrid. Outre l’hybridation, le nouveau Honda CR-V adopte des assistants électroniques dernier cri, et offre des prestations améliorées. La qualité perçue n’est pas en reste avec des matériaux et des revêtements hauts en couleurs. Le nouveau Honda CR-V prétend même détenir un positionnement premium. Plus long et plus large, le Honda CR-V arbore une dégaine sportive. Sa silhouette est mise en valeur par des lignes tendues, une ceinture de caisse élevée ainsi qu’un capot moteur allongé. Reposant sur des jantes en alliage de 18 pouces, il prend de la stature. A l’avant, la calandre massive, reliée aux phares à LED, surplombe une large entrée d’air. La partie arrière, pour sa part, se signale par des feux à diodes électroluminescentes disposés verticalement. A l’intérieur, le tableau de bord est rehaussé par un bandeau décoratif en nid d'abeilles, faisant office de ligne de séparation entre la console et l’écran central (9 pouces). Face au conducteur, le combiné d’instrumentation numérique (10,2 pouces), défile les informations de fonctionnement. Sur notre marché, le catalogue du Honda CR-V Full Hybrid propose deux finitions. Celle de base, dénommée Executive, abrite un remarquable lot d’équipements : 8 airbags, sièges avant électriques, chargeur de smartphone par induction, clim automatique bi-zone, système audio Bose, toit ouvrant panoramique, feux AV adaptatifs, jantes 18 pouces. La finition haut de gamme, Titanium, ajoute plusieurs assistants à la conduite, entre autres le régulateur de vitesse adaptatif. Désormais, le SUV nippon est animé uniquement par la propulsion eHEV Full Hybrid, qui combine le bloc essence 2.0 litres à deux moteurs électriques. La puissance combinée s’affiche à 204 chevaux pour un couple maximal de 335 Nm. Du coup, le modèle gagne en sobriété en réclamant une consommation moyenne de 5,1 L/100 Km. Enfin, le prix de la finition d’entrée de gamme, Executive, est de 504 000 DH. La finition, Titanium, quant à elle, réclame une rallonge de 46 000 DH. Prix CR-V e:HEV Executive   504 000 DH CR-V e:HEV Titanium     550 000 DH Porsche Panamera 2024 Présentée au même moment à Shangaï et à Dubaï, la Porsche Panamera, troisième du nom, s’est renouvelée pour plaire aux riches clients passionnés de berlines de luxe. Avec ses proportions équilibrées, la Porsche Panamera s’inscrit dans la continuité du précédent modèle, mais recèle quelques menus changements. Notamment au niveau de sa face avant rehaussée par un bouclier plus agressif, et encadrée par des prises d’air élargies. Les optiques sont redessinées, et les phares matriciels à LED conservent leurs quatre points lumineux. Subtils, les changements au niveau du profil se limitent à la forme remodelée du vitrage latéral et de la lunette arrière. Or, l’agencement intérieur est nettement soigné avec une planche de bord évoluée. Face au conducteur, l’instrumentation à affichage numérique s’offre un graphisme nouveau, mettant en scène les fonctionnalités du véhicule. Outre la large dalle numérique située au centre de la planche, le passager avant dispose, lui aussi, d’un écran (10,9 pouces). A partir duquel, il peut commander les systèmes d’infodivertissement, y compris visionner des vidéos en streaming. Sur le plan mécanique, la Porsche Panamera s’offre un large choix de motorisations. A commencer par le V6 essence de 2,9 litres de cylindrée qui, boosté de 23 ch supplémentaires, développe désormais 353 chevaux pour un couple de 500 Nm. La Panamera Turbo e-Hybrid, quant à elle, est animée par le V8 4 litres, qui travaille de concert avec un moteur électrique de 190 ch. Du reste, toutes les versions de la Porsche Panamera sont gérées par la boîte PDK à double embrayage à 8 rapports. Pour ce qui est de la tenue de route, les évolutions sont bien palpables, en raison des multiples assistants à la conduite qui défient les lois de la physique. Au premier chef, la suspension pneumatique qui, bonifiée de la fonction Active Ride, procure un niveau de confort inégalé. Il s’agit d’un système qui régule automatiquement l’inclinaison du véhicule pour l’adapter à la trajectoire du virage et au relief de la route. Du coup, les occupants ne subissent plus l’effet de la force centrifuge. Le potentiel de la Panamera est hallucinant, ses tarifs aussi. Le carnet de commandes étant déjà ouvert en Europe, sa version la plus basique démarre à environ 1 200 000 DH . Sans compter les options, bien sûr.

La berline sportive allemande a fait l’objet d’un renouvellement intérieur profond, et reçoit de nouvelles motorisations et des aides à la conduite sophistiquées, à l’instar du dispositif d’inclinaison dans les virages. Les détails. Présentée simultanément à Shanghai et à Dubaï, la Porsche Panamera, troisième du nom, s’est renouvelée pour plaire aux riches clients passionnés de berlines de luxe. Avec ses proportions équilibrées, la Porsche Panamera s’inscrit dans la continuité du précédent modèle, mais recèle quelques menus changements extérieurs. Notamment au niveau de sa face avant rehaussée par un bouclier plus agressif, et encadrée par des prises d’air élargies. Les optiques sont redessinés, et les phares matriciels à LED conservent leurs quatre points lumineux. Subtiles, les changements au niveau du profil se limitent à la forme remodelée du vitrage latéral et de la lunette arrière. Numérisation à profusion Or, l’agencement intérieur est nettement soigné avec une planche de bord évoluée. Face au conducteur, l’instrumentation à affichage numérique s’offre un graphisme nouveau, mettant en scène les fonctionnalités du véhicule. Outre la large dalle numérique située au centre de la planche, le passager avant dispose, lui aussi, d’un écran (10,9 pouces). A partir duquel, il peut commander les systèmes d’infodivertissement, y compris visionner des vidéos en streaming. Montée en puissance Sur le plan mécanique, la Porsche Panamera s’offre un large choix de motorisations. A commencer par le V6 essence de 2,9 litres de cylindrée qui, boosté de 23 ch supplémentaires, développe désormais 353 chevaux pour un couple de 500 Nm. La Panamera Turbo E-Hybrid, quant à elle, est animée par le V8 4 litres, qui travaille de concert avec un moteur électrique de 190 ch. Au total, la cavalerie culmine à 680 ch et le couple tutoie les 930 Nm. Or, son autonomie en mode 100% électrique est limitée à environ 90 km, selon le cycle WLTP. Et encore, il ne faut pas trop accélérer, tout comme il faut éviter d’utiliser la clim, le chauffage et bien d’autres fonctions de confort. Auquel cas vous pourriez faire baisser la consommation à 1,2 l/100 km, tel qu’il est mentionné dans le catalogue. Du reste, toutes les versions de la Porsche Panamera sont gérées par la boîte PDK à double embrayage à 8 rapports. Salon roulant Pour ce qui est de la tenue de route, les évolutions sont bien palpables, en raison des multiples assistants à la conduite qui défient les lois de la physique. Au premier chef, la suspension pneumatique qui, bonifiée de la fonction Active Ride, procure un niveau de confort inégalé. Il s’agit d’un système qui régule automatiquement l’inclinaison du véhicule pour l’adapter à la trajectoire du virage et au relief de la route. Du coup, les occupants ne subissent plus l’effet de la force centrifuge. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de la Porsche Panamera Comme il fallait s’y attendre, les performance de la version Turbo Hybride sont au rendez-vous avec le 0 à 100 km/h expédié en 3,2 s, et la vitesse maximale qui flirte avec les 315 km/h. Le potentiel de la Panamera est hallucinant, ses tarifs aussi. Le carné de commande de la Porsche Panamera étant déjà ouvert en Europe, sa version la plus basique démarre à environs 110 000 euros, tandis que la déclinaison Turbo se négocie à partir de 195 000 euros. Sans compter les options, bien sûr. Sa commercialisation au Maroc devrait intervenir quelques mois plus tard.

Apparue en 2018, la troisième génération du Porsche Cayenne s’offre aujourd’hui un restylage de mi-carrière plutôt consistant. Ceci passe par des évolutions majeures apportées sur les motorisations, le châssis, le design et même en termes de dotation en équipements. L’objectif assigné consiste non seulement à parfaire ses performances sur route et ses capacités en tout-terrain, mais aussi, à offrir un niveau de confort encore plus raffiné. Comme en témoignent le nouvel affichage numérique et les commandes qui procurent une nouvelle expérience optico-tactile. Mais avant de prendre place à bord, faisons l’habituel tour du propriétaire. Esthétiquement, la face avant du Cayenne (2023) semble plus expressive, en adoptant un nouveau bouclier surmonté d’un capot moteur redessiné. Plus larges, les blocs optiques au design high tech évoquent une certaine filiation avec le Porsche Taycan. Ceux-ci peuvent être équipés de la technologie «HD Matrix LED», en option. Il s’agit d’un éclairage Haute Définition, mettant en œuvre 32 000 pixels afin de diriger précisément le faisceau lumineux. L’arrière, en revanche, se distingue par des feux en relief, conjugués à une découpe verticale du hayon, ce qui relègue désormais la plaque d’immatriculation au pare-chocs. La palette des couleurs de la carrosserie s’enrichit de trois teintes, doublée d’un large choix de jantes de 20, 21 et 22 pouces, proposées en option. A l’occasion de son restylage, l’intérieur du Cayenne a fait l’objet d’un soin particulier en adoptant le Porsche Driver Expérience. Il s’agit d’un système novateur de commande et d’affichage numérique, qui se tient dans la ligne de mire du conducteur. De ce fait, la commande des systèmes d’aide à la conduite s’effectue directement à partir du volant. Idem pour le sélecteur de la boîte automatique qui prend désormais place à gauche du volant. Les évolutions ne s’arrêtent pas là, le poste de conduite se bonifie d’un combiné d’instrumentation incurvé, 12,6 pouces, entièrement numérique. Tout comme le conducteur, le passager a désormais droit à son propre écran (10,9 pouces), lui permettant d’activer en toute autonomie les fonctions d’infodivertissement, voire même de visionner des vidéos en streaming. Pour soigner le «bien-être» à bord, un système veillant en permanence sur la qualité́ de l’air, est fourni de série. Grâce aux données de navigation prédictives, ce dernier est capable de détecter l’imminence d’un tunnel et active automatiquement la fonction de recyclage de l’air. Pour ce qui est des motorisations, il faut savoir que le Cayenne, troisième du nom, est le dernier à se faire animer par des blocs thermiques. La quatrième génération, attendue pour 2026, adoptera un mode de propulsion 100% électrique. En attendant, la puissance des versions actuelles a été légèrement révisée à la hausse : le bloc à essence V6 3.0 Turbo de la version d’entrée de gamme, affiche 353 ch pour un couple de 500 Nm. Le Cayenne E-Hybrid, quant à lui, affiche la puissance de 470 ch, pour une autonomie électrique de 90 km. Par ailleurs, le confort et la tenue de route sont grandement améliorés, grâce à l’adoption d’un châssis optimisé, qui s’appuie sur des suspensions à ressorts en acier et des amortisseurs à réglage différencié. En Europe, la version d’entrée de gamme du Cayenne (2023) s’affiche à plus d’1 million de DH. Le carnet de commande est déjà ouvert pour une éventuelle commercialisation en juillet prochain. Son arrivée sur le marché marocain devrait intervenir quelques mois plus tard. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de le Porsche Cayenne Galerie

Porsche a clos son exercice 2022 avec de nouveaux records. Le constructeur lance un programme ambitieux baptisé «Road to 20» pour atteindre son objectif de rentabilité à long terme.Contrairement aux tendances du marché automobile mondial toujours en déprime, le chiffre d’affaires du groupe Porsche, au titre de l’exercice 2022, a atteint 37,6 milliards d’euros, en hausse de 13,6% (v/s 33,1 milliards d’euros en 2021). Pour l’exercice en cours, «Dans un contexte difficile, nous enregistrons le meilleur résultat de l’histoire de Porsche, et de loin. Nous avons également réussi à proposer à nos clients, cette année encore, de nouveaux produits d’exception. Cette réussite est le fruit d’un formidable travail d’équipe»,a déclaré Oliver Blume, président du Directoire, en dressant le bilan positif du dernier exercice.Son carnet de commandes bien rempli, Porsche a réussi à livrer à ses clients 309 884 voitures l’an dernier malgré les incidences négatives de la guerre en Ukraine, les contraintes liées à la pandémie de coronavirus et les difficultés persistantes qui entravent les chaînes logistiques à l’échelle mondiale, un chiffre en hausse de 2,6% en glissement annuel (v/s 301 915 unités en 2021). L’équipe Porsche continue de se fixer des objectifs élevés pour assurer son avenir. En 2023, l’entreprise lance un programme ambitieux, baptisé «Road to 20», visant à permettre au groupe d’atteindre à long terme une rentabilité opérationnelle supérieure à 20 %. Porsche poursuit la mise en œuvre de sa stratégie de luxe moderne. Selon le rapport Luxury & Premium, établi par le cabinet de conseil Brand Finance, Porsche est la marque de luxe qui affiche la plus grande valeur au monde. «Nous offrons à la fois des produits d’exception et la possibilité de faire une expérience entièrement personnalisée. Par ailleurs, la marque assume pleinement ses responsabilités au sein de la société», souligne Oliver Blume. Dans le même temps, Porsche entend poursuivre son ambitieuse stratégie d’électrification de son offre. Le Macan entièrement électrique est entré dans la dernière ligne droite de son développement et sera proposé à la vente aux clients en 2024. Avec l’arrivée de la version tout électrique prévue pour le milieu de la décennie en cours, le 718 ne sera à moyen terme disponible que dans sa déclinaison 100% électrique. Il sera suivi par le Cayenne entièrement électrique. La quatrième génération du SUV sportif viendra ainsi parachever la stratégie de Porsche qui est d’atteindre une part supérieure à 80% de modèles entièrement électriques sur l’ensemble de ses livraisons de voitures neuves d’ici 2030.

Animé par le V8 biturbo de 4,0 l développant la puissance de 640 ch, le Cayenne Turbo GT franchit un nouveau cap dans la démesure. Sa ligne à couper le souffle reste presque inchangée, mais il accueille un bon nombre de dispositifs qui accentuent son agilité. Il va y avoir du sport ! A sa sortie en 2002, le Cayenne fut considéré comme un modèle hérétique dénotant avec la pureté originale de Porsche, et la plupart des «porschistes» prétendaient alors qu’il ne survivra pas trop longtemps. Que nenni ! Il est même devenu le modèle le plus vendu de Porsche, ne cessant jamais d’honorer son blason d’une génération à l’autre. La troisième en date, celle de 2019, s’est même déclinée en version Cayenne Coupé, qui se renforce aujourd’hui par la version Turbo GT. Conçu pour offrir des performances hors normes et un plaisir de conduire inégalé, le nouveau Cayenne Turbo GT demeure un SUV de luxe conciliant le confort et la polyvalence pour une meilleure utilisation. Mais avant de parler des spécificités techniques, faisons un petit tour du propriétaire. Style original Arborant une silhouette originale, ce dernier se distingue par sa ligne de toit arrondie et sa partie arrière râblée, qui lui procurent un soupçon de ressemblance avec la mythique Porsche 911. Tout comme il s’anime des motorisations les plus tonitruantes et des systèmes dynamiques sophistiqués. Au début de sa carrière, le Cayenne Coupé se déclinait en trois motorisations thermiques : Coupé (340 ch), Coupé S (440 ch) et Coupé Turbo (550 ch). Il n’en fallait pas plus pour narguer des concurrents coriaces, à l’instar des Audi Q8, BMW X6 et le Mercedes GLE Coupé. Mais la boulimie du Cayenne est insatiable. Record mémorable Dévoilé en juin dernier, le nouveau Cayenne Turbo GT place dans son viseur le Lamborghini Urus. Globalement, les deux bolides affichent des caractéristiques techniques identiques, et font presque jeu égal en matière de performances… Au détail près que le Cayenne Turbo GT peut se targuer d’un fait d’armes mémorable. Sur la Boucle Nord du Nürburgring (20,832 km), il a réalisé un temps autour de 7 min 38 s 9’’, établissant ainsi le nouveau record officiel dans la catégorie des SUV. La marque Porsche ne pouvait espérer meilleure entrée en matière pour son nouvel opus ! Arme fatale Ce record, le Cayenne Turbo GT le doit à son impressionnant arsenal technique. A commencer par le bloc 4.0 litres V8 à essence de 640 ch, qui gagne 90 ch par rapport à celui du Cayenne Turbo. Le couple, lui aussi, a été revu à la hausse (850 Nm), soit 80 Nm de plus. Tout ce potentiel est canalisé par la boîte automatique Tiptronic S à 8 rapports, secondée par une nouvelle boîte de transfert bénéficiant d’un circuit de refroidissement par eau, supplémentaire. A propos des performances, l’allemand revendique la vitesse maximale de 300 km/h, soit 5 km/h de moins que son rival italien. Mais il exécute le sprint du 0 à 100 km/h en seulement 3,3 s, soit 0,3 s de moins. Pour ce qui est de la tenue de route, le châssis et l’essieu avant ont fait l’objet d’un soin particulier en adoptant des réglages spécifiques, ce qui a permis d’abaisser la caisse de 15 mm. Il ne fait aucun doute que le recordman des SUV sportifs, dont la rigidité de la suspension pneumatique a été augmentée de 15%, tire largement profit de l’amortissement Porsche Active Suspension Management (PASM). Pour le reste, une kyrielle d’assistants électroniques veillent au grain pour rendre l’expérience de conduite plus sécurisée que jamais, tels que l’essieu arrière directeur, le dispositif de stabilisation active du roulis (PDCC) ou encore le système Porsche Traction Management (PTM). Sans oublier le Porsche Torque Vectoring (PTV), qui permet d’enrouler les épingles dans une souplesse déconcertante. A couper le souffle On ne peut parler du Cayenne Coupé Turbo GT sans s’attarder sur ses sophistications stylistiques. Si la version standard disposait déjà d’une ligne parfaitement léchée, avec une calandre béante, pare-brise, et lunette arrière très inclinée, un centre de gravité très bas et une ligne de toit fortement cintrée, la déclinaison Turbo GT dénote par ses jantes de 22’’ et sa double sortie d’échappement encadrant le gigantesque diffuseur en carbone. Ajoutez à ce look très suggestif un toit en carbone et un aileron proéminent, et vous obtenez un SUV aussi svelte pour affoler les chronos que charmant pour parader devant les grands palaces. A bord, le confort n’est pas en reste avec des sièges sport à l’avant et une banquette arrière à deux places, dont la sellerie est rehaussée d’une bande centrale en Alcantara perforée, et ornée du monogramme «turbo GT» sur les appuie-têtes. Signe des temps, le Cayenne Turbo GT adopte la nouvelle génération du système Porsche Communication Management (PCM). Celle-ci est dotée d’une nouvelle interface utilisateur et d’un nouveau système de commande, compatibles avec toutes les grandes marques de smartphones. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de Porsche Cayenne Coupé Disponible sur commande au tarif astronomique dépassant 2 millions de DH, le Cayenne Coupé Turbo GT n’ambitionne pas d’exploser les ventes. Mais vise à reconquérir les lettres de noblesse de Porsche dans le cercle des SUV ultra sportifs. Galerie

Il y a 12 ans, la marque germanique présentait la première version GTS de la 911. Aujourd’hui, Porsche dévoile la nouvelle génération de cette variante sportive. Celle-ci arbore un style sportif et plutôt discret, qui se caractérise par des éléments de carrosserie noirs contrastant et par les teintes foncées autour des optiques des phares. Le noir donne également le ton dans l’habitacle : de nombreux éléments sont habillés en Race-Tex, un tissu en microfibre, gage d’une atmosphère sportive et élégante. Dans l’habitacle, la sportivité est affichée, sur le plan visuel comme sur le plan fonctionnel. Le levier de vitesse de la boîte manuelle à sept rapports proposée en option a été réduit de 10 mm, pour un changement de vitesse encore plus rapide. Le volant sport GT et le pack Sport Chrono avec sélecteur de mode, application Porsche Track Precision et affichage de la température des pneumatiques sont inclus dans la dotation de série. La carrosserie des 911 GTS se caractérise par de nombreux accents stylistiques noirs ou foncés. Sur la 911 Targa 4 GTS, l’arceau et le monogramme typiques du modèle sont également déclinés en noir. De nombreux éléments sont peints en noir finition satinée : la lèvre du spoiler avant, les jantes en alliage léger avec écrou central, les lamelles de la grille du capot moteur ou encore le monogramme «GTS» inscrit sur les portes et la poupe. Le pack extérieur disponible en option permet de décliner d’autres éléments stylistiques en noir finition brillante. Tous les modèles 911 GTS sont dotés des finitions spécifiques du pack Sport Design à l’avant, à l’arrière et au niveau des jupes latérales. Le contour des phares et des feux de jour est foncé. Par ailleurs, les nouvelles sportives sont dotées de série de phares à LED avec Porsche Dynamic Light System Plus (PDLS Plus). Avec une puissance accrue et un caractère toujours plus affirmé, la nouvelle Porsche 911 GTS offre une dynamique de conduite hors pair. Son moteur six-cylindres à plat délivre 480 ch, 30 ch de plus que sa devancière et la génération actuelle de la 911 Carrera S. Équipée d’une boîte à double embrayage PDK à huit rapports ou d’une boîte manuelle à sept rapports, elle bénéficie d’un châssis doté de réglages spécifiques aux modèles GTS avec système Porsche Active Suspension Management (PASM) ainsi que du système de freinage à hautes performances de la911 Turbo.

Porsche a livré 272 162 nouveaux véhicules neufs dans le monde en 2020, un chiffre en baisse de seulement 3% par rapport au record établi en 2019, malgré les circonstances défavorables. Avec 6 202 véhicules neufs livrés dans la région Moyen-Orient et Afrique, l’entreprise peut se féliciter d’une reprise encourageante après les mesures de confinement sanitaire. Le second semestre 2020 est le meilleur depuis six ans en termes d’entrées de commandes et le carnet de commandes a atteint un niveau jamais enregistré depuis 2015. Malgré le contexte difficile, le constructeur a organisé de nombreux événements sur différents marchés à l’occasion du lancement du Taycan, son premier modèle 100% électrique. En 2020, 20 015 exemplaires du Taycan ont été livrés dans le monde, malgré un arrêt de la production pendant six semaines, au moment même où le modèle devait arriver sur le marché. Le Cayenne arrive en tête des ventes à l’international avec 92 860 unités livrées. La popularité des sportives à deux places ne se dément pas. 21 784 modèles de la gamme 718 ont été livrés, un chiffre en hausse de 6% en glissement annuel. 34 328 exemplaires de la Porsche 911, le modèle emblématique de la marque, ont été livrés dans le monde en 2020.

Connotation vintage programmées par Porsche, la nouvelle 911 Targa 4S Heritage Design hérite du style emblématique ayant marqué ses aïeux des années 1950 et le début des années 1960… Nostalgie quand tu nous tiens ! Faire du neuf avec du vieux constitue aujourd’hui le chemin le plus court pour aller droit aux succès. Le plus stupéfiant est que cette méthode marche parfaitement bien dans presque tous les domaines. On ne compte plus le nombre d’artistes qui, en revisitant des répertoires tombés en désuétude, parviennent à se hisser subitement dans les hit-parades. Et voilà les constructeurs automobiles qui cultivent le grand jeu de l’émotion, la nostalgie et du souvenir affectif afin de mieux séduire les clients. Pour le comprendre, il suffit de considérer le succès engrangé grâce au revival de quelques modèles mythiques, à l’instar des Fiat 500 , la VW Beetle, la Mini ; ou encore la prolifération du design néo-rétro sur des modèles ultra sophistiqués, comme la nouvelle BMW Série 4. Autant dire que l’«inspiration vintage» constitue un précieux vecteur de développement et que la plupart des constructeurs exploitent à fond le filon. Disposant d’un bon nombre de bolides ayant marqué leur époque, la marque Porsche n’hésite plus à les remettre au goût du jour. Ce fut le cas, en 2019, avec la 911 Speedster produite à 1 948 exemplaires, tous vendus au prix fort de 3 millions de DH. Rien d’étonnant si le constructeur allemand récidive, aujourd’hui, avec le programme Heritage Design, donnant naissance à des «Séries limitées» dont le design est tiré tout droit de l’histoire de la marque. Ledit programme est initié par la Porsche 911 Targa 4S Heritage Design, objet de cet article, laquelle est basée sur la 911 Targa, Type 922, qui vient de voir le jour en juin dernier. Plus tard, trois autres «Éditions limitées» complèteront cette gamme, signée Porsche Exclusive Manufaktur – le département dédié à la personnalisation au sein de la marque de Zuffenhausen. A l’occasion de sa présentation virtuelle sur les réseaux sociaux, Oliver Blume, Président du Directoire de Porsche AG, a clairement résumé l’esprit de cette gamme historique : «Avec les modèles Heritage Design, nous entendons rendre hommage au style des années 1950, 1960, 1970 et 1980 et répondre ainsi aux attentes des clients de la marque, en mariant l’ancien et le moderne d’une manière dont Porsche a le secret. Avec ces éditions spéciales exclusives, nous créons une nouvelle ligne axée sur la dimension «lifestyle» de notre stratégie produit». En clair, un concept marketing moderne qui repose sur les vestiges du passé. Esthétique Née sous le signe de la nostalgie, la nouvelle venue endosse une livrée faisant référence à la Porsche 356. Inspiré de la coccinelle, ce modèle est réputé surtout pour sa participation aux compétitions disputées au cours des années 1950 et au début des années 1960. En son temps, elle incarnait le paradigme de la pureté et la simplicité des lignes. De prime abord, on constate que la 911 Targa 4S Heritage Design revêt tous les menus détails ravivant la flamme des caisses accastillées à l’ancienne. Ceci passe par la palette de quatre couleurs exclusives, à l’image de la nuance rouge cerise métallisé que vous voyez sur ces images. Le choix des teintes s’accorde bien aux stickers blanc collés sur le prolongement des ailes avant, rappelant ainsi l’accastillage spécifique aux premières Porsche engagées dans la course automobile. La touche historique obéit également à la logique de réinterprétation des armoiries, à la lumière de l’ancien écusson doré que l’on retrouve partout. Du capot moteur aux enjoliveurs, en passant par le volant et la clé du contact, le look authentiquement vintage est omniprésent. A l’arrière, la grille du moteur reçoit le badge Porsche Heritage, véritable insigne de mérite auquel n’avaient droit que les anciennes Porsche 356 ayant atteint la barre des 100 000 kilomètres. Cette sorte de certification qualité de l’époque vaut également pour les quatre modèles Porsche Heritage Design. Le profil, de son côté, met l’accent sur le diamètre démesuré des jantes 20/21 pouces, livrées de série, aux moulures spécifiques Carrera Exclusive Design, laissant entrevoir les étriers de frein teints noir. Vie à bord L’intérieur est une belle réinterprétation du passé avec une sellerie en cuir bicolore exclusif, combinant des teintes de bordeaux rouge, de noir ou de beige Alcantara. De même que la réintroduction du velours côtelé sur les assises et les dossiers des sièges ainsi que sur la garniture des portières est un autre clin d’œil à la Porsche 356. Dans ce même ordre d’influence de la décoration rétro des années 1950, les compte-tours et le chronomètre s’illuminent en vert. Outre l’éclairage de l’instrumentation, le tableau de bord accueille une plaque métallique indiquant le numéro du véhicule, sachant que ce modèle ne sera fabriqué qu’en série limitée à seulement 992 unités. Enfin, le ciel du pavillon s’habille en tissu perforé microfibre. Cliquez ici pour découvrir les prix et les équipements de la Porsche 911 Targa Techniquement, le premier modèle Heritage Design est doté de technologies de pointe en matière de châssis, de systèmes d’assistance et d’infodivertissement. A la lumière de ses ancêtres, il abrite l’incontournable 6-cylindres à plat (flat 6) en position longitudinale arrière. C’est un biturbo développant 450 ch (331 kW) qui, associé à la boîte de vitesses à double embrayage 8 rapports, autorise des vitesses de pointe hallucinantes de 304 km/h. Doublé d’un 0 à 100 km/h abattu en moins de 3,6 s grâce à la vivacité générée par le système Launch Control. Les heureux propriétaires les plus addicts à l’adrénaline pourront opter pour la boîte de vitesses manuelle à sept rapports incluant le Pack Sport Chrono, disponible en option. Conclusion Enfin, ceux qui ne sont pas trop portés sur la version Targa, ou qui n’en ont pas les moyens, peuvent personnaliser leur nouvelle Porsche 911 (type 992) à l’aide des options issues du pack Heritage Design. En revanche, ils ne pourront pas prétendre au précieux Chronographe, signé Porsche Design, qui sera remis exclusivement aux propriétaires de la 911 Targa 4S Heritage Design, dont la production, rappelons-le, est limitée à 992 exemplaires. Galerie