Casablanca accueillera en novembre l’Africa EV Mobility Expo, premier salon panafricain dédié à la mobilité électrique. Un rendez-vous stratégique pour positionner le Maroc comme hub industriel vert du continent. Le virage électrique de l’Afrique prend forme au Maroc. Casablanca s’apprête à devenir l’épicentre des échanges sur l’avenir de la mobilité durable avec l’organisation de la toute première Africa EV Mobility Expo. Programmé du 19 au 22 novembre 2025 à Anfa Park, ce salon international réunira les grands noms de l’industrie, des décideurs publics, des investisseurs et des innovateurs engagés dans la transition vers une mobilité plus verte. Un événement soutenu par l’AMICA Coorganisée en partenariat avec l’AMICA (Association Marocaine pour l’Industrie et la Construction Automobile), cette exposition vient confirmer les ambitions industrielles du Maroc. Le soutien de cette structure-clé souligne la stratégie du Royaume : devenir un hub africain de la mobilité électrique, à travers une montée en puissance de l’écosystème industriel, des filières locales et des infrastructures dédiées à la décarbonation des transports. Le partenariat avec l’AMICA reflète également la volonté d’aligner les efforts publics et privés autour d’une vision commune, celle d’un avenir automobile propre, compétitif et africain. Une dimension internationale Avec des participants attendus d’Europe, d’Asie, du Moyen-Orient et bien sûr du continent africain, l’Africa EV Mobility Expo se positionne comme un catalyseur de coopérations internationales. Au-delà d’un simple salon, l’événement se veut un moteur d’attractivité pour les investissements étrangers dans les domaines stratégiques de la mobilité électrique : véhicules deux et trois roues, voitures particulières et utilitaires, batteries, systèmes de recharge et infrastructures. Il va sans dire que le Maroc mise sur ses avantages structurels — stabilité politique, réseau d’infrastructures moderne, stratégie industrielle claire — pour se poser en terre d’accueil des projets de co-développement et de production durable. Un salon au contenu riche et à la portée stratégique Loin de se limiter à une simple exposition, l’Africa EV Mobility Expo promet une expérience immersive à 360°, pensée pour conjuguer innovation, réflexion stratégique et mise en réseau. Le cœur du salon battra au rythme des dernières avancées en matière de mobilité électrique, à travers un espace d’exposition qui réunira des constructeurs, équipementiers et start-up venus présenter leurs technologies propres et solutions durables. Au-delà de l’innovation visible, l’événement s’ouvrira aussi à la réflexion de fond, grâce à un programme de conférences de haut niveau. Des experts internationaux, des décideurs publics et des industriels de premier plan prendront la parole pour débattre des enjeux majeurs de la transition énergétique, de l’électrification des transports et des perspectives de développement en Afrique. L’Africa EV Mobility Expo jouera également un rôle de plateforme de rencontres et d’opportunités d’affaires. Des sessions B2B seront organisées pour faciliter les échanges entre investisseurs, fournisseurs, institutions et grands donneurs d’ordre. Objectif : créer des passerelles concrètes vers des projets industriels communs. Enfin, parce que la mobilité électrique se vit autant qu’elle s’explique, le salon proposera des démonstrations grandeur nature. Sur une piste dédiée, les visiteurs pourront prendre le volant de véhicules électriques pour en éprouver les performances et découvrir, en conditions réelles, les atouts de cette nouvelle génération de mobilité. Le Maroc, en pole position de l’électrification À travers ce salon, le Maroc confirme sa position de leader régional dans la mobilité propre. L’événement offre à l’Afrique une plateforme unique pour réfléchir collectivement à son avenir énergétique, tout en plaçant le Royaume au centre des initiatives continentales en faveur du développement durable. L’Africa EV Mobility Expo s’inscrit dans la droite ligne des engagements du Maroc pour une croissance sobre en carbone et une industrialisation verte. À l’heure où les défis climatiques s’intensifient, le Royaume affiche clairement sa volonté de porter haut les ambitions africaines en matière de mobilité intelligente et décarbonée.

Restylée en profondeur, enrichie en équipements et toujours aussi accessible, la Spring 2025 entend bien conserver sa place de leader des citadines électriques au Maroc. Le best-seller électrique de la marque Dacia s’offre un joli lifting. Nouveau design affirmé, technologies modernes et équipements revus à la hausse : la mini-citadine électrique la plus abordable du marché revient plus aboutie que jamais. Sans toucher à sa recette gagnante, elle renforce tout ce qui a fait son succès. Toujours aussi économique, désormais plus séduisante, elle reste fidèle à sa mission : démocratiser la voiture 100 % électrique dans le Royaume. Une silhouette revisitée Dès le premier regard, la DACIA Spring, millésime 2025, ne laisse pas indifférent. Fini le look de petite voiture sage : la mini-citadine électrique adopte désormais le nouveau langage stylistique de Dacia, inauguré par le dernier Dacia Duster. À l’avant, on découvre un nouveau bandeau noir horizontal qui relie les feux de jour en forme de « Y » – la nouvelle signature lumineuse de la marque. Le capot se muscle avec des nervures affirmées tandis que les boucliers redessinés accueillent de nouveaux stickers décoratifs qui renforcent l’impression de robustesse. L’arrière n’est pas en reste : là aussi, un bandeau noir strié relie les feux arrière, eux aussi en forme de « Y ». Le lettrage DACIA s’étire fièrement au centre, remplacé par le nouveau logo en relief. Avec ses nouvelles jantes de 15 pouces, une garde au sol optimisée et quatre teintes contemporaines, dont les très tendances Kaki Lichen et Bleu Ardoise, la Spring affirme une toute nouvelle personnalité, plus adulte, plus moderne. Intérieur modernisé À bord, la métamorphose se poursuit. La planche de bord entièrement repensée donne un sérieux coup de jeune à l’habitacle. Exit l’ancienne instrumentation, place à un combiné numérique de 7 pouces désormais de série. Plus ergonomique, l’écran tactile central de 10 pouces positionné plus haut, donne la possibilité de piloter intuitivement le système Media Display avec réplication smartphone, Bluetooth et ports USB. Un nouveau volant réglable en hauteur améliore la position de conduite, tandis que la console centrale modernisée accueille un levier de vitesses plus pratique que le précédent sélecteur rotatif. Celui-ci donne accès au mode de conduite « B » qui active un freinage régénératif renforcé : un vrai plus en ville pour gagner en autonomie. Et pour la première fois sur la Spring, on découvre les accessoires YouClip, bien connus des fans du nouveau Duster. Trois points de fixation permettent d’installer des éléments pratiques comme un porte-gobelet ou un support smartphone. Simple, intelligent, typiquement Dacia. Toujours efficiente Techniquement, la Spring reste fidèle à sa mission : faire simple, efficace, et électrique. Elle repose toujours sur une base légère – seulement 1032 kg –, un atout décisif pour la consommation. Sa batterie de 26,8 kWh alimente un moteur 100 % électrique de 65 ch, qui permet d’atteindre les 100 km/h en 13,7 secondes. Pas de sport ici, mais une vraie réactivité en usage urbain. Côté autonomie, 220 km en cycle mixte WLTP et 305 km en ville suffisent amplement pour les trajets quotidiens. La recharge ? Elle se fait en 11 heures sur une simple prise domestique, 4 heures sur une wallbox 7 kW, et 45 minutes seulement pour passer de 20 à 80 % via une borne en courant continu 30 kW. Mais la vraie nouveauté technologique de cette version, c’est la fonction V2L (Vehicle to Load) baptisée « Power to Object ». Elle permet d’utiliser la voiture comme une batterie géante pour alimenter des appareils électriques : une glacière, un ordinateur, ou même un projecteur pour une soirée ciné en plein air. Ingénieux, utile et unique à ce niveau de prix. La Spring 2025 soigne aussi son comportement en ville. Avec une nouvelle direction assistée électrique, une colonne de direction revue, un nouveau volant, et un rayon de braquage encore réduit, elle se manœuvre plus facilement que jamais. Elle confirme ainsi sa place de choix dans l’univers des petites citadines 100 % électriques, avec une touche de praticité en plus. Une offre taillée pour le Maroc Toujours fidèle à son ADN, la Dacia Spring ne sacrifie rien sur l’essentiel : le rapport prix/prestations reste imbattable. Le modèle restylé est désormais commercialisé dans tout le réseau Dacia Maroc à partir de 204 000 DH TTC. Pour son lancement, une offre de financement exceptionnelle (à partir de 1 190 DH/mois), risque bien de faire réfléchir les conducteurs de citadines thermiques. En définitive, plus moderne, plus valorisante, mais toujours aussi accessible, la Spring coche toutes les cases pour séduire les citadins marocains à la recherche d’une solution propre, fiable et abordable. La révolution électrique n’attend plus : elle roule, et elle s’appelle Spring. Galerie

Tesla débarque au Maroc avec une filiale ambitieuse mêlant voiture électrique, énergie solaire et bornes de recharge. Une implantation stratégique qui place le Royaume au cœur de sa vision pour l’Afrique. C’est désormais officiel : Tesla pose ses valises au Maroc. Le géant californien de la voiture électrique vient d’annoncer la création de Tesla Morocco SARL, une filiale à part entière qui amorce une nouvelle phase de son développement sur le continent africain. Mais attention, il ne s’agit pas simplement de vendre des voitures électriques. L’ambition est bien plus vaste. Un pied dans le royaume, les yeux vers l’avenir Enregistrée le 27 mai 2025 au registre de commerce sous le numéro 681101, la société Tesla Morocco marque l’entrée formelle de la marque d’Elon Musk sur le marché marocain. Son siège ? Une adresse prestigieuse : la Tour Crystal, en plein cœur de la Marina de Casablanca. Une vitrine qui reflète l’importance stratégique de cette implantation. Dotée d’un capital social de 27,5 millions de dirhams, la nouvelle entité a été constituée par deux structures néerlandaises du groupe : Tesla International B.V. et Tesla Motors Netherlands B.V. Elle comprend pas moins de 275.274 parts sociales, chacune d’une valeur de 100 dirhams. Avec cette filiale, Tesla ne se contente pas d’ouvrir des showrooms. Le constructeur entend déployer un véritable écosystème automobile intégré, couvrant l’ensemble de la chaîne de valeur : de l’importation à la vente, en passant par la distribution, l’entretien et la réparation. À cela s’ajoutent des services complémentaires, comme la mise à disposition de véhicules de remplacement — un standard de service à la hauteur des exigences du premium. Tesla, acteur de la transition énergétique Mais l’implantation marocaine va bien au-delà de l’automobile. Tesla Morocco a également pour mission de s’attaquer à un autre chantier majeur : l’énergie. La société serait autorisée à produire, stocker et distribuer de l’énergie, notamment à travers le développement de solutions solaires (panneaux photovoltaïques, systèmes de conversion, batteries stationnaires…). En clair, Tesla ambitionne de devenir un acteur influent de la transition énergétique marocaine. Autre volet essentiel du projet : le déploiement d’infrastructures intelligentes. Tesla Morocco prévoit l’installation d’un réseau de bornes de recharge pour véhicules électriques à l’échelle nationale. Elle serait également habilitée à proposer des services de réseau et même à vendre de l’électricité. Une orientation qui ouvre la voie à des synergies potentielles avec les acteurs du système électrique marocain, dans un contexte où la mobilité durable devient une priorité nationale. Une implantation qui en dit long L’arrivée de Tesla au Maroc n’est pas un hasard. Elle s’inscrit dans une dynamique continentale et traduit la volonté du constructeur de renforcer sa présence en Afrique, avec le Maroc comme tête de pont. Ce choix confirme également l’attractivité du Royaume en matière d’investissements dans les nouvelles technologies et les énergies renouvelables.

Le marché marocain s’apprête enfin à accueillir Smart, dans sa nouvelle gamme 100 % électrique, à travers un plan de déploiement porté par Auto Nejma. Alors que la marque Smart existe depuis 1994 et s’est imposée depuis des années comme un emblème de la mobilité urbaine en Europe, elle n’avait jusqu’ici jamais été commercialisée au Maroc. Un paradoxe étonnant, d’autant plus qu’elle appartient au giron de Mercedes-Benz, déjà solidement représentée au Royaume par Auto Nejma. Ce dernier aurait pu, depuis longtemps, intégrer Smart à son portefeuille. Mais pour des raisons qui restent inconnues, la marque Smart a été tenue à l’écart… jusqu’à aujourd’hui Expansion ciblée C’est dans cette dynamique que Smart s’apprête à faire son entrée officielle sur le marché marocain, par Auto Nejma, distributeur de Mercedes-Benz et de la marque chinoise BYD au Royaume. Avec cette annonce, le Maroc devient son 38e marché mondial, mais surtout, un maillon clé dans sa stratégie d’expansion régionale. Auto Nejma voit dans cette intégration l’opportunité de consolider sa position sur le marché des voitures à zéro émission. A ce titre, la marque compte déployer six points de vente d’ici 2027, répartis dans les plus grandes villes du pays : Casablanca, Rabat, Marrakech, Agadir, Tanger et Fès. Pour Mme Mandy Zhang, Chief Marketing Officer de Smart, ce lancement ne doit rien au hasard : « Le Maroc représente notre deuxième marché nord-africain et notre septième marché dans la région MENA pour Smart. Cinquième économie africaine, fortement liée aux marchés européens, le Royaume offre des opportunités de croissance uniques en matière de mobilité durable. » Une gamme électrique Smart opère un tir groupé en lançant les modèles #1, #3 et #5, trois SUV urbains à la fois connectés, compacts et au design affirmé, axés sur les nouveaux usages de la mobilité moderne. Un virage assumé vers le haut de gamme électrifié, sans pour autant renier les fondamentaux de praticité et d’innovation qui ont fait la réputation de la marque. Ces modèles seront déployés dès le second semestre 2025, avec un réseau de distribution à la hauteur des standards internationaux de la marque. Que dire encore sur l’implantation de Smart au Maroc, sinon qu’elle intervient dans un contexte encore timide en matière de mobilité électrique. Si la volonté existe, les incitations restent limitées et le réseau de bornes de recharge demeure embryonnaire. Dans ce paysage encore en construction, l’arrivée de Smart peut être perçue comme un pari audacieux. De la micro-citadine à l’électromobilitéRetour rapide sur une success story. Créée en 1994 à la croisée des chemins entre Swatch, maître suisse de l’horlogerie créative, et Mercedes-Benz, Smart — contraction de Swatch Mercedes Art — est née d’une idée audacieuse : inventer une voiture urbaine aussi compacte que futée.Dès 1998, le pari est tenu avec la célèbre Smart Fortwo, deux places à l’encombrement minimal, devenue en quelques années un symbole de la mobilité agile. La marque élargira ensuite sa gamme avec des variantes comme la Forfour ou le Roadster, tout en gardant cette ADN urbaine et avant-gardiste.Mais c’est en 2019 que la révolution s’accélère : Smart entre dans une nouvelle ère en devenant une coentreprise entre Mercedes-Benz et le géant chinois Geely. Objectif : en faire une marque 100 % électrique, avec une production modernisée et orientée vers les besoins de demain.

Les changements stylistiques de la Citroën C4 riment avec l’amélioration du confort et des progrès notables en matière de technologie embarquée. Avec une montée en gamme assumée, cette compacte à l'âme de crossover entend bien se faire une place de choix sur le marché marocain. Voici tout ce qu'il faut savoir ! La Citroën C4 restylée adopte une face avant plus imposante, avec des feux LED redessinés qui s'étirent jusqu'aux ailes, lui conférant une signature lumineuse plus moderne et affirmée. La calandre intègre désormais le nouveau logo Citroën, tandis que le bouclier se muscle avec une grande entrée d'air et un sabot de protection contrasté, renforçant son look baroudeur. L'arrière aussi se modernise avec une nouvelle signature lumineuse à quatre barrettes, tandis que le logo disparaît au profit du nom "Citroën" en toutes lettres sur le bandeau reliant les feux. Habitacle Plus Technologique et Confortable L'intérieur bénéficie de plusieurs mises à jour. Les sièges Advanced Comfort ont été repensés pour offrir un meilleur maintien latéral, assurant un confort optimal sur les longs trajets. L'espace à bord reste l'un des atouts de la C4, avec une habitabilité généreuse pour les passagers arrière et un coffre de 380 litres extensible à 1.250 litres. La version haut de gamme "Max" intègre désormais un combiné numérique de 7 pouces, un écran tactile de 10 pouces, un affichage tête haute et un système de navigation 3D. L'interface a été améliorée pour une utilisation plus intuitive, renforçant encore l'image premium de cette compacte. Motorisation Hybride et Electrique La grande nouveauté, c'est la disparition du bloc Diesel 1.5 BlueHDi 130 ch. À la place, Citroën propose une motorisation micro-hybride essence de 136 ch, combinant un moteur 1.2 Turbo à un bloc électrique 48V. Deux versions électriques sont au programme : C4 électrique 136 ch avec une batterie de 50 kWh et une autonomie de 342 km, et C4 électrique 156 ch avec une batterie de 54 kWh et une autonomie de 412 km. Ces motorisations offrent une efficience accrue et permettent à Citroën de s'aligner sur les tendances du marché, tout en garantissant un agrément de conduite optimal. Commercialisation au Maroc en 2025 Une annonce prometteuse pour les passionnés de la marque aux chevrons : la Citroën C4 restylée arrivera au Maroc en avril 2025. Grâce à son positionnement plus haut de gamme et ses motorisations modernisées, elle s'impose comme une concurrente de poids aux autres compactes du marché. Alors, la Citroën C4 2025 a-t-elle les épaules pour s'imposer face à la concurrence ? Rendez-vous sur les routes marocaines pour le découvrir !