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Récemment dévoilé, le Toyota Urban Cruiser est un petit SUV 100% électrique qui présente de sérieux arguments pour séduire. Doté d’une allure musclée et d’un habitacle fonctionnel, le nouvel opus de Toyota devra composer avec des concurrents sérieux, tels que les Peugeot e-2008 et Hyundai Kona. Vous avez aimé le Land Cruiser, vous allez adorer l’Urban Cruiser ! Dans le segment des SUV Urbains, où la concurrence se fait à couteaux tirés, le constructeur Toyota se distingue une fois de plus en proposant le nouvel Toyota Urbain Cruiser. Ce modèle se distingue par des atouts qui en font un choix séduisant. Malgré son gabarit compact, ce modèle offre de bonnes côtes d’habitabilité. Mais son point fort réside dans son efficacité énergétique, avec une motorisation zéro émission alimentée, au choix, par une batterie de 49 kWh ou de 61 kWh. Ajoutez à cela un design robuste et une transmission intégrale adaptable à l’utilisation en ville, et vous obtenez un baroudeur en herbe prêt à en découdre avec tous les types de chaussées. Allure boursouflée Le nouveau Toyota Urban Cruiser arbore une face avant plutôt sympathique. Sa calandre en forme de trapèze, encadrée par des projecteurs à LED, lui confère un regard incisif. Idem pour sa silhouette rythmée par des volumes arrondis et des protections noires de bas de caisse, qui accentuent son caractère athlétique. Voilà donc ce qui lui permettra de tirer son épingle de la circulation urbaine sans égratignures. La partie arrière du Toyota Urban Cruiser se signale par son design compact, rehaussé par des feux reliés par un large bandeau lumineux noir. Mais aussi par un pare-chocs robuste qui renforce son aspect fonctionnel. Et puis, le hayon arborant discrètement le logo Toyota, permet un accès facile au coffre. Plus long que la Toyota Yaris Cross L’intérieur du Toyota Urban Cruiser adopte un design fonctionnel, avec une attention particulière portée aux détails. On constate d’emblée que le poste de conduite est dominé par un tableau de bord minimaliste, assorti d’une dalle d’instrumentation (10,25 pouces) et d’un grand écran tactile (10,1 pouces). Ergonomique, l’interface numérique permet une navigation fluide, tandis que les commandes physiques restent présentes pour une utilisation aisée, même en conduite. L’Urban Cruiser se distingue aussi par sa connectivité avancée, avec la prise en charge des systèmes Apple CarPlay et Android Auto. Pour ce qui est du confort, l’espace est optimisé malgré le gabarit compact de l’auto. Son empattement est relativement plus long (+ 14 cm) que celui du frérot Toyota Yaris Cross. Mais, la capacité de chargement du coffre laisse à désirer, pas plus de 320 Litres. Heureusement qu’il se rattrape par des sièges arrière coulissants, ce qui permet de moduler l’espace de rangement en fonction du besoin. Enfin, l’éclairage d’ambiance propose 12 couleurs différentes pour créer une atmosphère appropriée à tout un chacun. Deux ou quatre roues motrices Pour ce qui est du groupe motopropulseur, la version d’entrée de gamme, animée par un moteur électrique de 144 ch, est alimentée par une batterie de 49 kWh qui entraîne les roues avant. En revanche, la version à 4 roues motrices est propulsée par deux moteurs électriques dont la puissance cumulée atteint (184 ch), qui s’associent à une batterie plus capacitive (61 kWh). L’ajout du deuxième moteur sur l’essieu arrière permet à l’Urban Cruiser de crapahuter sur des terrains meubles et de rouler en toute sécurité sur les routes glissantes. En définitive, le Toyota Urban Cruiser s’impose comme une alternative intéressante face à ses concurrents, compte tenu de l’efficacité de ses deux modes de propulsion électrique. Cependant, l’Urban Cruiser n’est pas exempt de quelques limitations. A commencer par son coffre, bien que pratique, qui reste de taille modeste, ainsi que son design, bien qu’attrayant, pourrait ne pas plaire à ceux qui recherchent une silhouette plus audacieuse ou sportive. Galerie