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Actualité nationale
Location de voitures : Perspectives prometteuses pour 2023
Dans le sillage de la relance du tourisme qui a pu récupérer en 2022, 84% comparativement à la période d’avant Covid-19, le secteur de la location de voitures s’inscrit lui aussi dans la même dynamique. Il a terminé l’année dernière sur une note favorable permettant à de nombreux opérateurs de l’activité de panser les plaies causées par la pandémie. Certes, plusieurs professionnels n’arrivent toujours pas à redresser la barre sous l’effet de la dette et autres contraintes mais ils ont montré des aptitudes de rattrapage extraordinaires.
Selon Tarik Dbilij, président de la Fédération des loueurs d’automobiles sans chauffeurs au Maroc (Flascam), «2022 a été une bonne année surtout le deuxième semestre. Le premier trimestre de 2023 a été très moyen. Au mois de Ramadan, nous marquons une pause. Mais nous restons confiants pour le reste de l’année. Le Maroc devient une destination prisée par les TO. Avec le renforcement des dessertes aériennes, le retour des MRE et le déploiement du tourisme intérieur, la demande pour la location de voitures devrait marquer un net bond en avant surtout lors de la période estivale».
En attendant, les opérateurs de l’activité se préparent pour répondre aux besoins des clients. Les efforts se concentrent essentiellement sur le renforcement ou le renouvellement de leurs flottes. A ce niveau, ils déplorent des problèmes en matière d’approvisionnement de véhicules. Les délais de livraison s’allongent surtout pour le segment premium. Il faut noter aussi que les coûts d’acquisition ont nettement augmenté. Ce qui impacte l’exploitation des entreprises.
«Nous accusons un renchérissement de nos charges alors que nous ne pouvons pas augmenter nos prix pour répercuter cette augmentation car le marché est étriqué et très concurrentiel», explique Dbilij.
Assurances
Assurance - Location de voitures : Les points à vérifier
Le secteur de la location de voitures est en plein essor. Il bénéficie de la croissance du tourisme et aussi d’une évolution des modes de mobilité chez les consommateurs. Toutefois, il est utile de vérifier certains éléments lors de la conclusion du contrat.
Partout dans le monde, la location de voitures est de plus en plus sollicitée. De grandes multinationales opèrent dans plusieurs pays et ont des filiales marocaines. Les clients optent pour cette formule occasionnellement à l’occasion des vacances, un voyage d’affaires ou comme moyen de mobilité permanent dans le cadre de la location longue durée (LLD). Rappelons que le secteur n’a cessé d’évoluer pour atteindre près de 3 000 entreprises en plus des loueurs opérant dans l’informel. La filière regroupe plus de 140 000 véhicules. Toutefois, l’essor de l’activité a été freiné par la pandémie, qui a réduit sensiblement le nombre d’opérateurs et celui de la flotte.
Actuellement, on note une certaine relance. Avec la reprise de l’activité économique et notamment touristique, le secteur devrait retrouver ses performances d’antan sinon les dépasser. Il est utile de rappeler à un client ayant choisi de louer une voiture de vérifier certains éléments au risque de se retrouver avec des surprises désagréables.
A cet égard, il est essentiel de lire attentivement le contrat notamment la date et les heures de la location de la voiture, le tarif, les obligations de service (dont le nettoyage du véhicule), le lieu de réception et de restitution. Outre ces formalités, il est important de contrôler les documents de la voiture avant la conclusion de la transaction. Par inattention, certains opérateurs omettent de renouveler les documents notamment la police d’assurance, la visite technique ou la carte grise. Car en cas d’accident de la route ayant entraîné des dégâts corporels, le conducteur risque d’être verbalisé voire incarcéré.
Tout comme l’assurance, le contrôle technique doit être valide. Il ne doit donc pas y avoir de points de réserve sur celui-ci, car il en va de la sécurité des passagers et aussi des autres usagers de la route. En effet, la voiture peut représenter un danger lors de la conduite. Si le loueur a une responsabilité civile en cas d’un accident, le conducteur assume dans ce cas la responsabilité pénale qui peut être sanctionnée par de l’emprisonnement.
Lors de la réception du véhicule, veillez à vérifier le kilométrage du véhicule et l’inscrire sur le contrat. Cela permet d’anticiper tous les futurs litiges. En effet, certains loueurs précisent le prix du kilomètre au-delà d’un certain forfait. En l’inscrivant au contrat, le client ne prend aucun risque de sur facturation. Par ailleurs, il est nécessaire de vérifier également l’état du véhicule en vue de détecter certaines anomalies et, si besoin, de les enregistrer sur le contrat. Comme il est recommandé de contrôler l’état des pneus, les rétroviseurs, les commandes au volant, le niveau d’huile. Et prendre des photos de tous les côtés du véhicule pour utiliser ces clichés en cas de problème. De préférence, le conducteur doit essayer le véhicule pendant quelques kilomètres pour avoir une idée sur son comportement et son bon fonctionnement. Sur route, le conducteur doit vérifier les points de contrôle d’usage comme la pression des pneus, l’eau des essuie-glaces et le niveau de l’huile moteur.
Une fois la durée du contrat expirée, le locataire doit rendre la voiture dans les délais convenus sans quoi il risque de payer des pénalités de retard. Il doit également veiller à préserver l’état technique du véhicule. Lors de la livraison, il est préférable d’obtenir une décharge dûment signée par le loueur attestant avoir bien reçu son véhicule en bon état.
Que faire en cas d’accident ?
En cas d’accident, le conducteur doit prendre les dispositions préconisées par le code la route. Il faut immédiatement allumer les feux de détresse et couper le moteur. Une fois la voiture totalement immobilisée, il est utile de porter le gilet de sécurité et installer le triangle de signalisation. Par la suite, s’assurer qu’il n’y a pas de blessés, sans quoi il faut prévenir rapidement les secours.
Que le conducteur soit responsable ou pas du sinistre, il doit remplir un constat. En cas de dégâts corporels, la présence d’un agent verbalisateur est obligatoire. Ce dernier fixe, à l’issue d’un procès-verbal, les responsabilités notamment la présence d’éléments aggravants comme la consommation d’alcool ou de psychotropes. Toutes les sociétés de location mettent à la disposition de leurs clients un numéro de téléphone d’urgence pour que ces derniers puissent les contacter en cas d’accident. Les responsables de l’agence de location aideront le conducteur à déterminer si oui ou non il peut reprendre la route (s’il s’agit par exemple que de tôle froissée) ou s’il doit être dépanné. Dans le second cas, il ne doit pas abandonner le véhicule sur place.
Actualité nationale
Location de voitures : Le secteur reprend sa dynamique
Fortement lié à l’activité touristique, le secteur de la location de voitures était parmi les activités les plus impactées par la pandémie. Plus de 3 000 opérateurs ont mis la clef sous la porte et plus de 60% des professionnels ont rencontré des difficultés importantes. Mais la reprise de l’activité économique a permis aux loueurs de redresser un tant soit peu la situation.
Lors de son assemblée générale ordinaire tenue le 20 décembre dernier, la Fédération des loueurs d’automobiles sans chauffeur au Maroc (Flascam) a noté avec satisfaction cette relance. Elle a, à cette occasion, mis en exergue les problématiques qui impactent le secteur comme la prolifération de l’informel dont les opérateurs s’adonnent à une concurrence déloyale et ne répondent à aucune exigence en matière de sécurité et de qualité de service.
Actualité internationale
Location de voitures : 3 200 entreprises déclarent faillite
Fortement lié au tourisme, le secteur de la location de voitures figure parmi les activités les plus impactées par la crise Covid-19. Les opérateurs espéraient, au cours de la période estivale et avec l’entrée en vigueur du pass sanitaire, un certain redressement de leur situation. Mais la persistance des restrictions sanitaires avec l’apparition de nouveaux variants qui ont entraîné la suspension des vols avec l’Allemagne, l’Angleterre et les Pays-Bas ont porté un coup dur à l’activité.
Tarik Dbilij, président de la Fédération des loueurs d’automobiles sans chauffeurs au Maroc (FLASCAM), donne quelques données révélatrices sur l’ampleur de la crise qui affecte le secteur.
Il souligne que «3 200 entreprises ont déjà déclaré faillite, soit 30% du secteur. Ce chiffre devrait augmenter davantage car la plupart des entreprises ont perdu plus de 90% de leurs fonds propres. Sous l’effet des décisions de justice (affaires d’impayés) ou pour réduire la flotte afin de maîtriser les charges, plus de 27 000 véhicules ont été vendus». S’agissant des mesures initiées par le gouvernement pour venir en aide au secteur, Dbilij est catégorique à ce sujet : «Excepté le report des crédits, il n’existe aucune mesure spécifique au profit de notre activité. Même le report a eu un coût insupportable, puisque les frais financiers ont atteint 120 millions de DH, à cause de l’absence d’un taux d’intérêt allégé».
Il révèle aussi que le manque de visibilité devrait aggraver davantage la situation, tout en déplorant l’effet nuisible de certaines décisions.
Actualité nationale
Location de voitures : Le secteur agonise
La crise sanitaire a porté un coup dur au secteur de location de voitures. Le déclin du tourisme et le ralentissement de l’économie nationale ont asséné un coup fatal à l’activité. La quasi-totalité des entreprises sont immobilisées.
Les professionnels ont négocié avec les banques et les organismes de financement le différé de remboursement des échéances moyennant des intérêts. Les concessionnaires ont répondu favorablement à leur demande en laissant les commandes de véhicules en stand-by. Ces mesures restent insuffisantes pour assurer la survie de certaines entreprises qui seront contraintes de mettre la clé sous la porte.
Le secteur recense au total près de 2 900 loueurs basés essentiellement dans les grandes villes et les zones touristiques. Il gère une flotte globale de plus de 140 000 véhicules et génère en moyenne pas moins de 6 milliards de DH.
Actualité nationale
Location de voitures : Hertz Maroc rassure
Suite à la faillite de Hertz Global Holdings, la société franchisée au Maroc confirme le maintien de ses activités.
En effet, le géant mondial de la location de voitures et certaines de ses filiales américaines et canadiennes ont volontairement déposé une demande de réorganisation en vertu des procédures du chapitre 11 des États-Unis.
Ce dépôt n’inclut aucunement les opérations de Hertz en Europe, en Australie ou en Nouvelle-Zélande.
Il faut rappeler que Hertz Maroc est franchisé Hertz International, dépendant de GBH www.gbh.fr et indépendant depuis 1963.
En dépit d’une période extrêmement compliquée, la société rappelle que toutes ses agences restent toujours ouvertes, et ce depuis le début du confinement, fort de l’engagement sans faille de ses équipes, pour sortir encore plus fort de cette épreuve.
Partenaire des grands acteurs de transport comme l’ONCF ou la RAM, l’entreprise propose différents services comme la location à l’étranger ou une offre pour les sociétés marocaines (Hertz Business Solution). Durant la crise sanitaire, elle soutient les professionnels de la santé (mise à disposition de véhicules gratuite en relation avec la willaya de Casablanca).
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