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Entretiens | Neo Motors, un rêve marocain | Rencontre avec Nassim Belkhayat
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La voiture 100% marocaine raconte une belle histoire humaine : celle de deux amis, deux patriotes, deux Marocains pur jus qui avaient un rêve. Et ils l’ont rendu tangible et sur quatre roues, en prime. Il s’agit de Nassim Belkhayat et de Mehdi Bensaid. Aujourd’hui, après sept années de travail acharné, des millions d’heures de mise au point et d’engagement, NEO est déjà commercialisée au Maroc et s’apprête à aller conquérir l’Afrique et le Moyen-Orient. Retour sur une success story à la marocaine.
Autonews : NEO, the ONE, c’est l’histoire d’un rêve. Racontez-nous la genèse de la naissance de cette voiture 100% marocaine ?
Nassim Belkhayat : Tout a commencé avec mon ami de fac de droit, Mehdi Bensaïd. Nous étions en 2016. Nous regardions les informations, et nous avons vu la signature de l’écosystème PSA au Maroc, avec l’arrivée d’un moteur fabriqué au Maroc. Grâce à la vision de Sa Majesté le Roi, Mohammed VI, nous avons vu une évolution réelle et concrète de la plateforme automobile marocaine. Mais, l’apogée, c’est l’arrivée d’un moteur, fabriqué en Afrique, au Maroc, ce qui marque la confiance d’un grand constructeur. C’est là que nous nous sommes dit que le Maroc mérite sa marque, vu qu’il y a aujourd’hui un moteur et qu’avant, il y avait déjà des fabricants de verre, de faisceaux, de sellerie, de pots d’échappement, de freins… Ce qui montre que l’écosystème marocain était déjà très étoffé en 2016. Nous nous sommes dit alors qu’on va fédérer cet écosystème d’équipementiers de rang 1 et de rang 2, qui font un travail exceptionnel, et qui ont passé tous les stades d’audit et de contrôle par les grands constructeurs. Nous nous sommes dit aussi qu’on va travailler avec eux, c’est-à-dire qu’on va créer une marque, mais cette marque vient fédérer un panel marocain, dans un véhicule que nous avons voulu exceptionnel.
Voici en somme notre première pensée, à l’époque. Il faut savoir qu’à ce moment-là, penser construire une voiture, il ne fallait pas le dire à voix haute, parce que les gens n’y croyaient pas. Nous-mêmes, nous savions que c’était compliqué, mais nous ne savions pas à quel point c’est une industrie très complexe, qui nécessite le concours de centaines de personnes. Grâce à Dieu, nous avons réussi à le faire avec l’aide de managers marocains travaillant dans ces multinationales. Grâce également à la confiance d’un de ces constructeurs automobiles, à savoir Stellantis, qui est implanté au Maroc, et qui nous a fait confiance en tant que startup dans l’industrie automobile, pour nous fournir nos moteurs, certains composants nécessaires à la collection qui équipe aujourd’hui NEO. Ils ont même été très bienveillants en nous fournissant des composants fabriqués au Maroc. Ce qui est l’ADN de notre vision pour atteindre le taux d’intégration que nous avons actuellement, avoisinant aujourd’hui les 65% du véhicule. Le reste est fabriqué par nos soins ou par d’autres fournisseurs locaux.
Autonews : Quelles sont les étapes de la conception de ce véhicule ?
N.B. :Pour la conception de ce véhicule, il faut savoir que ce ne sont pas que les intrants qui sont importants. Les composants atteignent 65%, mais il y a tout le volet conception, les volets recherche et développement, validation, contrôle, ingénierie, montage, essayage, prototypage, commercialisation… C’est tout un écosystème que nous sommes en train de mettre en place, ici au Maroc. Et qui dépasse le véhicule pour toucher le service après-vente, avec le partenariat que nous avons présenté le 1er décembre 2023, à savoir des partenaires bancaires, des assurances, l’OFPPT, pour la formation professionnelle des jeunes qui continuent de nous rejoindre.
Autonews : En parlant de formation, à la fin de l’usine NEO, il y a un centre de formation professionnelle.
N.B. :Effectivement, en face, il y a le centre de formation aux métiers de l’automobile, qui dépend de l’OFPPT. C’est le centre de formation Mohammed VI, qui va nous permettre d’accompagner ce centre pour les métiers qui nous sont utiles, ici à NEO Motors. Il s’agit de mettre en place des formations destinées aux jeunes qui vont leur permettre de trouver des débouchés immédiats chez NEO Motors. Ils vont acquérir une expérience pour ensuite rejoindre les points de SAV. C’est-à-dire que les personnes qui vont gérer le service après-vente du véhicule, ont été formées sur le véhicule qu’ils connaissent dans sa globalité, à la fois pour répondre aux questions, mais aussi pour apporter expertise, savoir-faire et conseil.
Autonews : Dans cette aventure, il faut aussi dire qu’il y a pour NEO un avant 15 mai 2023 et un après.
N.B. :Absolument. Il y a un avant et un après. Le 15 mai 2023 est notre date de naissance chez NEO Motors. C’est le jour où nous avions été reçus par Sa Majesté au Palais Royal. Il nous a félicités, nous a encouragés et nous a propulsés pour aller vers l’excellence. Aujourd’hui, nous avons pris un peu de temps. Ce temps était nécessaire par rapport aux nouvelles ambitions qu’a NEO Motors et par rapport au degré de rigueur et de sérieux que nous nous sommes imposés.
Autonews : Quelles sont les spécificités de ce véhicule ?
N.B. :Il y a du subjectif et de l’objectif. Objectivement parlant, nous avons un châssis qui est mécano soudé, qui est sûr et qui a fait ses preuves dans le cadre de la Ford Bronco, la Jeep Willis. C’est un châssis tubulaire, très résistant, très fiable, qui nous a permis de réussir les crash tests en Espagne. Il y a la carrosserie qui est en fibre de verre, matière composite ultra-résistante, légère et qui nous permet d’avoir un poids véhicule de 1 050 kilos. Un poids assez léger, mais qui lui offre cette robustesse, et aussi cette facilité de réparation. Sans oublier cette fibre écologique, parce que cette carrosserie est totalement recyclable par nos soins et par notre écosystème de fournisseurs et de gestionnaires des déchets. Les performances de ce véhicule sont celles d’un moteur qui est connu et éprouvé depuis un certain nombre d’années. C’est le moteur fabriqué à Kénitra, à savoir le moteur 115 ch, EC5 qui est une référence. C’est un 1.6 l en termes de performances, de fiabilité, et qui équipe plusieurs véhicules dont la Peugeot 208.
Subjectivement, qu’est-ce que c’est NEO ? NEO est un Mindset. C’est le nôtre, celui qui nous a permis d’oser entreprendre et briser ce plafond de verre. Qui nous a permis de rêver, de rêver grand, dans ce Maroc actuel, qui ne fait plus que seulement rêver, mais qui réalise ses rêves. C’est pour cela que nous n’avons rien dit durant tout le processus de conception jusqu’à l’obtention des homologations des instances nationales. C’est ce sésame, ce permis, qui nous a permis de construire et de commercialiser le véhicule au Maroc. Ce Mindset, c’est que le conducteur de la NEO est quelqu’un de spécifique. Il est différent. Il est unique. Comme la voiture est unique. C’est une voiture faite 100% à la main, par une équipe de jeunes passionnés, professionnels, formés qui apportent tout cet amour du travail bien fait. C’est dans ce sens que nous souhaitons retrouver cela chez nos clients. Ils vont, à leur tour, l’acheter pour de bonnes raisons, à savoir qu’elle est sûre, fiable, belle et aussi parce qu’elle est faite au Maroc par des compétences marocaines pour des Marocains qui se reconnaissent dans ce Maroc d’aujourd’hui. D’ailleurs, on le voit aujourd’hui, le made in Morocco a le vent en poupe. On lui fait confiance partout dans le monde, parce que nos produits sont de plus en plus qualitatifs et en plus, plus accessibles.
Autonews : C’est ce qui explique que le prix de ce véhicule est accessible pour des clients marocains.
N.B. :En effet. Nous nous étions fixés comme objectif, d’abord un prix abordable et accessible. Nous nous sommes battus avec nos ingénieurs et nos concepteurs pour ne pas déborder sur ce prix qu’on s’était fixé. Ensuite, il a fallu le soutien de notre écosystème qui nous a permis de ne pas être impactés par de faux frais. Aujourd’hui, quand vous achetez le véhicule NEO, vous achetez les composants. Vous ne payez pas de marketing, ni de recherche et développement. Et c’est grâce à nos partenaires que nous avons évité de répercuter ces prix-là dans celui du véhicule. Sans oublier que NEO est modulaire, un véhicule que vous pouvez utiliser du lundi au dimanche comme voiture de travail, véhicule de déplacement et aussi comme voiture de loisirs. Nous avons conçu ce véhicule pour les Marocains, qui pensent que quand ils font un investissement, il doit leur servir pour plusieurs fonctionnalités. C’est dans cet esprit que nous avons voulu faire de NEO Motors, ce que fut Volkswagen dans les années 60 en Allemagne. Nous voulions que NEO Motors soit cette voiture du peuple, grand public, pour cette jeunesse.
Actualité nationale | FEU VERT ANCRE SON PREMIER CENTRE-AUTO A MARRAKECH
Acteur majeur dans le domaine de l’entretien et de la réparation automobile Feu Vert opère sa première expansion sur le continent africain, plus précisément à Marrakech. Plus tard, plusieurs inaugurations auront lieu dans d’autres villes marocaines.
Doté d’un grand savoir-faire en matière de service d’entretien et d’équipement automobile, couronné de 50 ans d’existence et de 466 centres-auto répartis en Europe, le Groupe Feu Vert consolide sa position internationale en inaugurant un premier centre à Marrakech, lequel sera suivi par bien d’autres dans différentes villes du Royaume. A cet égard, le label français a mis en place deux modes de développement, sous forme de succursales ou de franchises qui ont fait preuve d’efficacité en France. Les futurs partenaires marocains devront répondre à un cahier des charges bien précis, où la satisfaction du client et l’innovation sont bien mis à l’honneur.
Situé au sein de la plateforme commerciale du magasin Carrefour Targa, ce premier centre -auto a été lancé en grande pompe, le mardi 16 janvier 2023. Cette cérémonie a été marquée par la présence de Thierry Singuin, PDG du Groupe Feu Vert, et plusieurs invités de marque, d’autorités locales et de partenaires.
Par le biais de cette première ouverture prometteuse à Marrakech, Feu Vert compte bien se « calquer » aux besoins de ses clients marocains. Pour ce faire, il met en œuvre un plan d’action comprenant 3 avantages concurrentiels. Le premier étant de fournir des services d'entretien et de réparation aux normes internationales, en vertu de l’expérience cumulée par ses équipes hautement qualifiées. Le deuxième consiste à proposer une large sélection de produits et d’accessoires automobiles, qui s’étend de la pièce de rechange jusqu’aux produits d’entretien, en passant par l’électronique embarquée. Ajoutez à cela des diagnostics précis adaptés même aux véhicules hybrides, et vous obtenez un service cinq étoiles. L’écoresponsabilité n’est pas en reste, compte tenu de l’adoption des meilleures pratiques en matière de gestion des déchets, de tri, de recyclage, de valorisation…Autant dire que Feu vert Maroc apporte un vent nouveau à l’expérience des clients marocains dans le domaine du service automobile.
Nouveautés | Nissan Qashqai e-Power | Une technologie originale
Mettant l’accent sur la sobriété et les performances, la technologie e-Power arrive au Maroc avec le lancement du nouveau Nissan Qashqai e-Power. Il s’agit d’un mode de propulsion fluide et silencieux, comme celui d’un véhicule électrique, mais qui ne nécessite aucune recharge. Revue de détail.
Dans son cheminement vers l’électrification globale de sa gamme, prévue en 2030, la marque Nissan bonifie le Qashqai de la motorisation e-Power. La particularité de celle-ci réside dans la possibilité de rouler en mode 100% électrique, en générant de l’énergie à partir d’un bloc thermique.
Technologie originale
Plus concrètement, le moteur à essence du Qashqai fournit une quantité d’énergie stockée provisoirement dans une batterie. De sorte que cette dernière alimente, à son tour, le moteur électrique qui se charge de propulser le véhicule, en permanence. Ce mode opératoire étant génial, le Qashqai se révèle même plus sobre que ses concurrents hybrides qui sont alternativement animés, tantôt par le moteur thermique, lorsque le conducteur accélère, tantôt par le moteur électrique, lorsqu’il roule à faible vitesse. Le Nissan Qashqai, lui, roule uniquement en mode 100% électrique, grâce au moteur électrique de 140 kW, alimenté par le 1,5 litre turbo à essence de 188 ch. Résultat : la sobriété est exemplaire avec une consommation moyenne qui tourne autour de 4,7 l/100 km. De quoi parcourir jusqu’à 1 000 km avec un seul plein.
Plaisir au volant
Outre l’efficacité énergétique, le Qashqai revendique un réel plaisir de conduire, doublé de performances respectables : le 0 à 100 km/h est abattu en 7,9 secondes.
Autre innovation et non des moindres, l’accélération et le freinage s’effectuent désormais uniquement à l’aide de la « e-Pedal Step », livrée de série. Du coup, le conducteur n’a plus besoin de déplacer son pied entre l’accélérateur et le frein.
Fidèle à lui-même
Pour ce qui est du design, le Qashqai reste fidèle à lui-même. Sa face avant arbore toujours un look séduisant, mis en valeur par la calandre V-Motion et les phares à LED affinés.
Le profil, pour sa part, met l’accent sur le dynamisme avec une ceinture de caisse qui souligne la carrosserie de bout en bout. Les bas de caisse, tout comme les passages de roue, ajoutent une note d’élégance à l’ensemble.
L’intérieur est du même acabit, avec des matériaux de premier choix, assemblés dans une finition impeccable. La console centrale, avantageusement orientée vers le conducteur, et l’écran d’instrumentation numérique de 12,3 pouces procurent une belle expérience de conduite.
Dotation remarquable
Quant à la dotation en équipements, la finition d’entrée de gamme ACENTA, facturée 390 000 DH, offre à la clé : connectivité Apple Car Play et Android Auto, caméra de recul, radar de stationnement arrière, climatisation bi-zone et jantes 18 pouces.
Disponible à 425 000 DH, la finition intermédiaire N-CONNECTA, monte d’un cran en proposant la caméra 360°, le radar de stationnement avant, combiné d’instrumentation numérique 12,3 pouces, écran tactile 12, 3 pouces d’infodivertissement, système de navigation, chargeur de smartphone par induction et toit panoramique.
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les prix et les équipements de Nissan Qashqai e-Power
Enfin, la finition haut de gamme TEKNA, dont le prix culmine à 455 000 DH, ajoute plusieurs raffinements, tels que la sellerie mixte TEO-Tissu, le système audio Bose Premium avec 10 hauts parleurs, feux de routes intelligents, jantes alliage 19 pouces et affichage tête haute.
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Nouveautés | Kia EV6 GT-Line 325 ch & GT 585 ch : Il tape dans le mille
Les voitures électriques (VE) sont en pleine expansion sur le marché marocain. Et, ceux qui s’interrogent encore sur leur autonomie ou l’efficacité de leurs dispositifs de recharge, qu’ils se rassurent. Les constructeurs font preuve de créativité et proposent des modèles électriques de plus en plus adaptables aux besoins des automobilistes. Démonstration avec la toute nouvelle Kia EV6 qui vient de débarquer dans le Royaume.
Reposant sur la nouvelle plateforme E-GMP, ce crossover affiche des proportions surprenantes et mélange les genres à la perfection. Aussi long qu’une berline, ce modèle arbore une silhouette typée Coupé abritant un habitacle digne d’un bon SUV.
Au Maroc, ce modèle est disponible en deux versions GT-Line et GT. Mais que les choses soient claires dès le début ! Il ne faut surtout pas confondre la finition EV6 239 KWh GT-Line, qui développe 325 ch, et la déclinaison sportive EV6 430 KWh GT, dont la puissance culmine à 585 ch. Dans les deux cas, la chaîne de traction se compose de deux moteurs électriques : le premier, greffé sur l’essieu avant, l’autre, placé sur l’essieu arrière. Ce qui en fait des véhicules à 4 roues motrices (4WD).
Design audacieux
Le style du Kia EV6 fait forte impression, et donne un coup de fouet avant même de mettre le contact. Ceci passe par une face avant «Digital Tiger Face», (traduisez : Tête de tigre numérique) qui arbore des feux de route à LED adaptatifs. Ces derniers intègrent des clignotants dynamiques généreusement étirés sur les ailes, totalement raccord avec le capot moteur nervuré.
Extrêmement fluide, le profil se signale par une ligne bien marquée surlignant les bas de caisse. Celle-ci est en totale harmonie avec la ligne de toit plongeante vers l’arrière. Ajoutez à cette allure dynamique des poignées de portes affleurantes, et vous obtenez un véhicule high-tech qui ne passe pas inaperçu.
La version GT, pour sa part, se paye le luxe d’adopter des jantes spécifiques de 21 pouces, qui laissent entrevoir des étriers de frein couleur vert Néon. Plus frappant encore, la poupe est soulignée d’une bande de feux à LED qui se prolonge dans les jupes. Idem pour le becquet arrière et le diffuseur d’air, qui rehaussent la sportivité de l’engin.
Dans l’air du temps
L’habitacle, lui aussi, est atypique avec une planche de bord sobre qui accentue la sensation de l’espace à bord. Celle-ci abrite une dalle numérique incurvée regroupant le combiné d’instrumentation (12,3’’) et le système d’infodivertissement (12,3’’). Ces derniers décrivent une courbe panoramique, gage d’une vision immersive et dégagée dans toutes les conditions de conduite.
Côté ergonomie, on apprécie l’absence des boutons sur la console centrale et la disposition très intuitive des commandes. En particulier le sélecteur rotatif des rapports de vitesse (Shift-By-Wire) qui permet de dégager de l’espace entre les sièges. Le confort est le maître mot à bord, comme en témoignent les sièges baquets enveloppants qui offrent un excellent maintien latéral. Même les occupants des places arrière disposent d’un espace généreux aux jambes, en raison de l’absence du tunnel de transmission.
La version GT, quant à elle, se démarque par une finition résolument sportive. Son ambiance intérieure est rythmée par des inserts métallisés avec logo GT couleur vert Néon.
Pour ce qui est de la dotation en équipements de confort et de divertissement, les deux versions proposent des dispositifs à la pointe de la technologie. La GT-Line offre d’emblée : régulateur de vitesse adaptatif avec Stop & Start, affichage tête haute avec réalité augmentée, assistant de stationnement à distance, système de freinage d’urgence, système de maintien dans la voie… Et bien d’autres équipements dans l’air du temps.
Performances redoutables
Fort d’une cavalerie de 585 ch, le EV6 430 KWh GT est le modèle le plus puissant jamais produit par Kia. Ses performances dignes d’une sportive de course donnent la possibilité d’accélérer de 0 à 100 km/h en 3,5 s et de flirter avec la vitesse maxi de 260 km/h. De quoi narguer un bon nombre de véhicules sportifs électriques, y compris le Porsche Taycan GTS (0 à 100 km/h en 3,7 s). L’accent étant mis sur les performances, cette version affiche une autonomie de 528 km, contre 630 km pour la version 239 KWh GT-Line. Ce qui permet de parcourir de longs trajets, en toute quiétude, avant de se ravitailler en courant électrique.
Recharge efficace
Cette autonomie prometteuse est inhérente à la batterie 77.4 kWh, dont le système de recharge à haute vitesse est compatible avec les bornes 800 V. Celles-ci permettent de recharger jusqu'à 80% en seulement 18 minutes, mais aussi de récupérer jusqu’à 100 km d'autonomie en seulement 4.5 minutes chrono.
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les prix et les équipements de Kia EV6
En définitive, le nouveau Kia EV6 effectue une entrée fracassante sur le marché national des voitures électriques. Disponible à partir de 679 000 DH, la version la moins puissante EV6 234 KW GT-Line offre un excellent rapport : prix/performances/charges d’utilisation. Même constat pour la variante sportive EV6 430 KW GT qui, quant à elle, réclame une rallonge de 100 000 DH.
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Nouveautés | Hyundai Santa Fe - Auto-moto du 10/9 /2023
La plupart des constructeurs automobile, généralistes comme premium, incitent leurs bureaux de design à se libérer des carcans du passé et de faire preuve davantage de créativité. La marque Hyundai n’échappe pas à cette logique avec une gamme complètement métamorphosée, comme en témoigne le tout dernier Hyundai Santa Fe, qui opère des changements radicaux en tout point de vue. Exit la silhouette rondouillarde du modèle sortant, le nouveau venu propose une ligne résolument cartésienne, rythmée par des surfaces et des volumes épurés. Inaugurée par le nouveau Land Rover Defender, cette composition esthétique se signale par sa rigidité. Tout comme elle véhicule les valeurs de sécurité et de robustesse, plutôt que celles de l’élégance artistique et de l’harmonie des courbes.
Audacieuse, la face avant impressionne d’emblée par sa calandre rectangulaire encadrée par des projecteurs en forme de H, surplombant un bouclier avant qui puise, lui aussi, son inspiration du logo Hyundai.
Même constat au niveau du profil, dont l’empattement allongé confère une allure plus statutaire. Ici, les flancs épurés sont soulignés par une ligne de toit qui s’étire doucement vers l’arrière.
De même, le dessin des ailes proéminentes est totalement raccord avec les passages de roues imposants. A noter que le nouveau Santa Fe repose sur des jantes spécifiques de 21 pouces.
Sans fioritures aucune, la partie arrière, nettement caractérisée par une vaste baie de hayon, rehausse l’impression de robustesse dégagée par le véhicule. Et, là encore, les feux font écho aux projecteurs avant.
Avec une longueur de 4,83 m, une largeur de 1,90 m et une hauteur de 1,72 m, le nouveau coréen se montre plus grand que son prédécesseur. En même temps, il se veut plus spacieux, en raison de son empattement allongé à 2,81 m, ce qui décuple le confort et le bien-être des occupants. Le renouveau du Santa Fe réside, justement, dans la possibilité de proposer une troisième rangée de sièges, permettant d’embarquer 6 passagers dans des conditions décentes. A l’avant, les sièges Relaxation avec repose-pied permettent de se détendre dans une position confortable tout en ayant la sensation d’être en apesanteur. Avec son coffre gigantesque et son plancher parfaitement plat, ce modèle peut même prétendre jouer au déménageur du week-end.
Outre le design extérieur manifestement cubique, l’agencement intérieur s’inscrit lui aussi dans cette même tendance. Là encore, on retrouve l’incontournable motif en H qui caractérise la planche de bord, dont les ouïes de ventilation dégagent une sensation de légèreté aérienne.
L’autre point fort du Santa Fe réside dans sa dotation high-tech, à l’instar de la tablette multifonction à stérilisation par UV-C, secondée par le double chargeur par induction pour smartphones. En même temps, il adopte une immense dalle d’affichage incurvée, intégrant le combiné d’instrumentation de 12,3 pouces et le système d'infodivertissement.
Cette interface numérique se veut à la fois pratique et ergonomique, ce qui offre une belle expérience optico-tactile. Dans ce même ordre d’idées, le sélecteur des rapports de la console centrale a été transféré vers la colonne de direction, afin de dégager plus d‘espace entre les sièges et, surtout, d’offrir une commande entièrement électrique.
En tant que grand SUV à vocation familiale, le Santa FE propose le plus vaste espace intérieur de son segment. Il n’en demeure pas moins un véhicule de loisir par excellence, notamment lorsque les sièges sont repliés et que le hayon est grand ouvert, ce qui en fait un SUV idéal pour les activités outdoor et les escapades en pleine nature.
Tout compte fait, le Santa Fe, dont la commercialisation est prévue en 2024, sera animé, au choix, par deux motorisations hybrides. D’un côté, il y a le 4-cylindres hybride turbo de 1,6 litre (180 ch), de l’autre, on trouve le 1,6 l 4-cylindres hybride rechargeable turbo essence. Les deux blocs s’accompagnent exclusivement de la boîte automatique à six rapports.
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Essais | Honda HR-V : Revu de fond en comble
Fort d’un arsenal technologique de haut vol et d’un look élégant, le Honda HR-V s’est profondément métamorphosé pour séduire les amateurs de petits SUV. Animé d’un seul bloc à essence, il devra tout de même faire face à des adversaires plutôt coriaces.
Après une carrière plutôt discrète, l’ancienne génération du Honda HR-V passe le témoin à un nouveau modèle entièrement repensé pour s’inscrire dans la tendance actuelle du marché. Néanmoins, cette opération de redéploiement sera tout sauf une promenade de santé. Le SUV nippon devra composer avec des stars qui jouissent d’un immense succès, à l’instar du Peugeot 2008.
Qu’à cela ne tienne, le HR-V a plus d’un tour dans son sac. A commencer par sa dégaine extérieure attrayante, doublée d’une polyvalence et d’un réel plaisir de conduire. De surcroît, le nouveau venu se montre plus grand et plus accueillant que son prédécesseur, tout comme il se veut plus confortable en vertu des Magic Seats (traduisez sièges magiques), qui offrent un niveau de modularité de premier ordre.
Influences de style
Fidèle à la philosophie Honda en matière de design, le nouveau HR-V mélange les influences du style conventionnel et sportswear, ce qui lui offre une allure plutôt charismatique. Du coup, le dessin expressif de la calandre est raccord avec le capot moteur allongé et les phares à LED effilés.
Le profil, pour sa part, se révèle plus audacieux avec une ligne aussi fluide qu’élancée, mise en valeur par le toit panoramique à faible émissivité. Il s’agit d’une technologie innovante qui réduit le rayonnement infrarouge, ce qui donne de la fraîcheur à l’habitacle pendant les journées ensoleillées. Idem pour les stores arrière qui peuvent être retirés ou installés en quelques secondes, offrant ainsi un niveau de confort individuel aux passagers arrière.
La partie arrière, en revanche, adopte des feux à diodes électroluminescentes, reliés par une baguette à LED qui traverse le hayon de bout en bout, ce qui procure un aspect plus élégant que celui de l’ancien modèle.
Pour plaire à tous les goûts, le Honda HR-V propose une belle palette de couleurs extérieures et intérieures : le blanc Opale Argenté nacré, le bleu Sport Brillant Métallisé, le gris Météorite Métallisé, le noir Perlé Cristallin et le rouge Cerise Métallisé.
L’habitacle est de même acabit, comme en témoigne l’agencement de la planche de bord. A la fois sobre, celle-ci offre une ergonomie remarquable, grâce à l’écran d’infodivertissement qui se veut très intuitif.
Ici, le design met l’accent sur la facilité d’utilisation et la sensation d’espace. Or, les habillages de tissus (pour la finition LX) ou de cuir (pour la finition EX), combinés à des revêtements de bonne facture, ajoutent une note de raffinement à cette ambiance.
Modularité à la carte
Si, à l’avant, le conducteur et son homologue sont bien choyés, à l’arrière, trois passagers peuvent prendre place dans les ultra innovants sièges Magic Seats. Dotés d’une modularité bien étudiée, ces derniers se déploient en un claquement de doigts, et dégagent suffisamment d’espace dans le coffre pour embarquer des objets encombrants, de la taille d’un vélo.
Fidèle à la longue tradition de Honda, le HR-V présente de nombreux systèmes de sécurité active et passive : 6 airbags, une large caméra de vision arrière, le contrôle de la descente en pente (HDC), ainsi que le contrôle de la structure de la carrosserie (ACE), baptisé Advanced Compatibility Engineering. Lequel assure une meilleure protection des occupants en cas de collision frontale.
Un seul bloc à essence
Sous le capot, le SUV nippon adopte le moteur à essence 1,5 litre qui développe la puissance de 119 ch pour un couple de 145 Nm. Il s’accompagne de la très efficace transmission à variation continue (CVT) qui contribue à la réduction de la consommation, soit environ 6 litres de sans plomb en conduite mixte.
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les prix et les équipements de le Honda HR-V
Sur la route, le Honda HR-V fait preuve de sérénité et offre un confort de roulement bien meilleur que celui de la plupart de ses concurrents.
Pour ce qui est de la tarification, le nouveau Honda HR-V se positionne un cran au-dessus de ses concurrents en réclamant 320 000 DH pour la finition LX et 340 000 DH pour la version EX.
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Nouveautés | BMW Série 3 restylée : Ode à la digitalisation
Piquée au vif par le succès de la Mercedes Classe C, la BMW Série 3 rétorque en soignant ses lacunes et en adoptant des interfaces numériques à la pointe de la technologie. Présentation.
Vendue à plus de 16 millions d’unités un peu partout dans la planète, la BMW Série 3 est un produit phare de la marque à l’hélice. De génération en génération, les designers maison avaient bien géré les opérations de renouvellement, ou de restylage, afin de ne pas bousculer les habitués du modèle. C’est aussi le cas aujourd’hui avec cette septième génération de la BMW série 3 qui, apparue en 2018, s’offre une bonne cure de jouvence.
Sa carrosserie, tout autant que son habitacle, ont fait l’objet d’un bon nombre de remaniements esthétiques et technologiques. À coup de petites retouches, la ligne extérieure semble plus affirmée, notamment au niveau du faciès et de la poupe. Idem pour l’habitacle qui s’inscrit dans la modernité en mettant l’accent sur la digitalisation. Autant dire que les transformations apportées ne manqueront pas de booster les ventes et, surtout, de redorer l’image de la bavaroise dans la catégorie des familiales haut de gamme.
Mais parviendra-t-elle à détrôner la star Mercedes Classe C qui, depuis bien longtemps, occupe la première marche du podium sur le marché national, en raison de ses nombreux atouts ? Éléments de réponse.
Look remodelé
Que les choses soient claires dès le début ! La série 3 que vous voyez sur ces images est une finition Pack M, c’est-à-dire la plus huppée et la plus chère. Les versions d’entrée de gamme, elles, ne bénéficient pas d’autant de soins esthétiques.
Mais globalement, l’opération de lifting a bien renforcé le caractère dynamique de la bavaroise. Notamment au niveau du bouclier avant qui accueille de fausses écopes latérales en forme de «L». Celles-ci encadrent la nouvelle entrée d’air centrale, dont la taille a été revue à la hausse. En revanche, les naseaux conservent des mensurations raisonnables comparativement à celles de la dernière BMW Série 4. Fort heureusement !
Pour ce qui est de l’éclairage, les blocs optiques full LED, livrés de série, sont enveloppés d’une belle signature lumineuse. Ce qui n’est pas vraiment le cas des feux arrière qui conservent leur forme originale. De même pour le profil qui n’a subi aucun changement notable. La Série 3 est toujours campée sur ses jantes 17 pouces, pour les modèles d’entrée de gamme, tandis que les versions M Sport reposent sur des roues de 18 pouces.
Par ailleurs, les acheteurs ont droit à une nouvelle palette de couleurs extérieures, telles que le Skyscraper Grey, le M Brooklyn Grey, le Frozen Pure Grey, ou encore le Frozen Tanzanite Blue.
Dans l’air du temps
A l’intérieur, le mobilier évolue en profondeur, comme en atteste la nouvelle planche de bord entièrement digitalisée, ou presque. La bonne vieille instrumentation sous la casquette des anciens modèles, laisse place à une gigantesque dalle numérique incurvée : BMW Curved Display. Inédite, cette interface, inaugurée par les modèles électriques BMW i4 et iX, met l’accent sur l’ergonomie et l’intuitivité de fonctionnement. Elle se compose d’un écran d’instrumentation de 12,3’’, érigé face au conducteur, et d’un écran d’infodivertissement de 14,9’’, placé au milieu du tableau de bord.
Dans cette même logique de modernisation, le levier de la boîte de vitesses automatique à huit rapports, elle aussi livrée en série, est remplacé par un petit sélecteur de vitesse, ce qui dégage de l’espace au niveau de la console centrale.
Du reste, la Série 3 offre un niveau de confort correct à l’avant, avec des sièges enveloppants. Sauf que l’occupant de la place centrale arrière devra composer avec le tunnel de transmission centrale pour caser ses pieds.
Différentiel des prix injustifié
Au Maroc, le catalogue de la familiale allemande propose trois finitions : Sport, Elégance et Pack M. La plus basique, 318d finition Sport, disponible au tarif exorbitant de 477 000 DH, offre les équipements suivants : 8 airbags, avertisseur de crevaison et détection de somnolence, limiteur/régulateur de vitesse, boîte auto 8 rapports avec palettes au volant, caméra de recul, GPS, assistant «Hey BMW», capteur de pluie et de lumière, clim auto trois zones, pneus de 17’’ avec roulage à plat.
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Or, la finition intermédiaire, 320d Elégance, réclame la somme de 535 000 DH, soit un différentiel de 58 000 DH. Mais, elle n’en rajoute que très peu d’équipements : 10 haut-parleurs, toit ouvrant, et recharge de téléphone par induction. Enfin, pour accéder à la 320d Pack M, il faudra débourser 616 000 DH, et vous obtiendrez en contrepartie : un spoiler arrière, quelques inserts décoratifs, et des jantes 18’’. Autant dire que la belle allemande vend ses charmes au prix fort.
Large choix de motorisation
Sur le plan mécanique, les changements ne sont pas notables. La nouvelle venue reconduit le même 2,0 litres Diesel qui se décline en deux niveaux de puissance : 150 ch, pour la version 318d, et 190 ch, pour la version 320d. Les performances sont toujours au rendez-vous avec respectivement des vitesses maximales de 218 km/h et 235 km/h, tandis que les accélérations de 0 à 100 km/h s’exécutent en 8,4 secondes et 7 secondes.
La consommation, quant à elle, s’affiche à 5 litres/100 km, pour les deux versions. Les amateurs de modèles essence ont le choix entre les versions 320i, 330i et 340i. Comme mentionné plus haut, toute la gamme bénéficie des services de la boîte Steptronic à 8 rapports, qui se veut très douce de fonctionnement.
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Nouveautés | Audi A8 restylée : On reprend les mêmes…
Le restylage de l’Audi A8 rime avec des modifications esthétiques à peine sensibles et des améliorations technologiques discrètes. C’est tout l’inverse de son tarif qui ne cesse de grimper.
Sortie en 2021, l’Audi A8 restylée arrive enfin dans le Royaume. En tant que vitrine technologique de la marque Audi, la limousine allemande s’est toujours offerte des innovations de haut vol, au fil des générations. Or, la nouvelle venue déroge à cette règle. Et ceux qui s’attendaient à une version nettement évoluée en seront rapidement déçus. L’essentiel de la mise à jour tient à une petite opération de rhinoplastie extérieure, et l’adoption d’une nouvelle interface numérique, sans plus. De quoi rester dans le coup face aux cousines germaines, BMW Série 7 et Mercedes Classe S.
Il convient, tout de même, de souligner que l’actuelle génération de l’A8 cédera bientôt sa place à un nouveau modèle 100% électrique, dont l’arrivée interviendra en 2023. En attendant, elle demeure l’une des favorites des hommes d’affaires et des cadres officiels, en raison de son gabarit gigantesque et son charisme épuré, sans trop de fioritures. Tour d’horizon des changements les plus marquants de l’Audi A8 restylée.
Changements discrets
Sur le plan stylistique, les modifications relèvent du jeu des sept erreurs. A l’avant, l’A8 s’offre une large calandre assortie d’une nouvelle grille avec un motif plus expressif. Imposante, celle-ci ronge la quasi-totalité du faciès. Le bouclier, pour sa part, accueille des prises d’air latérales redessinées et des phares matrix assortis d’une nouvelle signature lumineuse.
Même son de cloche à l’arrière où les feux héritent de la technologie OLED, livrée de série, avec un graphisme intérieur personnalisable.Il s’agit d’un éclairage automatique, qui s’active dès qu’un véhicule s’approche à moins de deux mètres.
Flanquée d’inserts chromés et de quatre sorties d’échappement, la partie arrière met l’accent sur le dynamisme et la sportivité. Ce sentiment est d’autant renforcé par la taille monumentale du diffuseur d’air greffé sur le bouclier arrière.
Pour le reste, la carrosserie extérieure s’allonge de 2 cm, soit une longueur totale de 5,19 m. Or, la largeur (1,95 m) et la hauteur (1,47 m), n’ont pas subi d’inflation. Passons maintenant à l’intérieur.
Salon exubérant
Fidèle à elle-même, l’Audi A8 restylée propose une ambiance intérieure presque identique à celle du précédent modèle. On y retrouve le même mobilier caractérisé par son ergonomie indéniable et les mêmes sièges somptueux offrant un confort royal. Mais les interfaces numériques changent, en particulier celle du système d’infodivertissement qui reçoit une dalle tactile de 8,6 pouces. Sophistiquée, cette dernière permet de gérer la navigation MMI Plus et bien d’autres fonctionnalités d’une manière intuitive. Tout comme elle adopte, à l’instar de la BMW Série 7, la commande vocale «Hey Audi» !
Face au conducteur, l’instrumentation numérique 10,1” défile l’essentiel des informations de conduite dans un graphisme haut en couleur.
Pour ce qui est des habillages des sièges, on note l’apparition de matériaux plus raffinés, tels que la microfibre Dinamica. Il s’agit d’un revêtement agréable à l’œil et au toucher, et qui s’annonce résistant à l’usure.
Généralement conduite par un chauffeur, l’Audi A8 propose un niveau de raffinement aux places arrière. Ici, les heureux propriétaires ont droit au must des équipements de confort. Jugez plutôt : les sièges «first class» sont adaptables à la physionomie de tout un chacun, tout comme ils offrent plusieurs réglages de massage et de ventilation. Ajoutez à ce confort un compartiment réfrigéré, un diffuseur de fragrance, un repose- pieds, une console avec tablette dépliante, et des écrans 10,1” full HD greffés sur le dos des sièges… et vous obtenez un impressionnant salon roulant. Sauf que l’ensemble des équipements que vous voyez sur ces images, sont des options.
Équipements sophistiqués
Pour ce qui est des aides à la conduite, pas moins de 40 dispositifs sont disponibles, avec en option la fonction parking automatique déjà vue sur la BMW Série 7. Entièrement autonome, ce système est capable de garer le véhicule en deux temps trois mouvements, même lorsque le conducteur est en dehors du véhicule.
Sur le plan mécanique, l’Audi A8 50 TDI est animée par le 3.0 litres qui délivre 286 ch pour un couple de 600 Nm. Ce 6-cylindres en V s’accompagne de la boîte automatique Tiptronic à 8 rapports, qui se révèle très douce en fonctionnement. Et bien sûr, les performances sont au rendez-vous avec un 0 à 100 km/h expédié en 5,9 secondes.
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Par bonheur, la consommation est réduite avec une moyenne de 7 litres/100 km. Il n’y a qu’en ville où elle dépasse les 8 litres/100 km.
Question finance, l’Audi A8 50 TDI, finition Signature, réclame le tarif stratosphérique de 1 230 000 DH, sans compter les options, bien sûr.
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